calculus a écrit:Je l‘ai lu après avoir écouté son interview sur France Culture - en lien plus haut, merci zourbi - et cela m‘a aidé à apprécier d‘autant plus la démarche. A écouter FLoc‘h qui parle de son aversion pour le mouvement, je regrette presque qu‘il n‘ait pas joué le jeu encore plus à fond pour nous offrir un récit totalement intimiste et en huis clos, à la façon des Bijoux…, par exemple une histoire qui resterait confinée au Centaur Club ou à l’appartement du 99 bis Park Lane. D’ailleurs, je trouve que sur les scènes d’action de la fin, on sent que Floc’h est moins à l’aise (me semble-t-il).
Oui, les scènes d'action sont le gros point faible de l'album. Son Olrik courant est aussi emprunté et bancal que celui d'Etienne Schréder et ce n'est pas un compliment même si je sais que ce dernier a joué le pompier de service pour l'éditeur.