C'est mal de taper sur l'ancêtre !
J'achèterai sans coup férir ce BDM, comme je me suis procuré toutes les éditions précédentes (depuis 1979 et la première version format A4 sous couverture de Chaland, collectionneur lui aussi. Je suis sûr qu'il aurait acheté cette édition 2017/2018)
Le BDM restera un catalogue encyclopédique pour moi, des origines de la bande dessinée au XIXème siècle, jusqu'à 2015.
C'est l'avantage d'avoir toutes les éditions, avec ces chapitres non repris d'un BDM à l'autre.
Irremplaçable documentation ! Je suis comme l'ami Burp, je me promène dans ce bouquin, j'apprends (ah ça, je ne connaissais pas !), je me réjouis (tiens, cette édition rare, je l'ai !), je peste (merde ! j'ai la deuxième !).
Les cotes (l'autre aspect du BDM) j'aime bien aussi. Pour le fun, puisque je ne revends rien. Mais j'achète beaucoup plus sur les brocs qu'en librairie, à petits prix, c'est suave quand c'est validé par la cote BDM.
Michel Denni prends peut être sa retraite, mais il y a quelques jours il était toujours dans sa librairie Lutèce, aimable et disponible. Mellot, je ne le connais pas vraiment (croisé à Angougou il y a des années, avec son associé Moliterni, deux gars très actifs et qui ont leur part dans l'histoire du neuvième art). Béra, jamais vu. Quoiqu'il en soit de leur implication respective dans l'ouvrage, ça restera toujours le BDM.
Pour être complet je précise qu'en matière de recherche je suis éclectique, empruntant aussi à la bédéthèque, qui m'a rendu service avec ses visuels (c'était mon grand regret cette absence d'images dans le BDM, mais désormais il y faudrait plusieurs volumes).
Comme Morti, j'ai vibré aux premiers bouquins recensant les albums ( les "Chlorophylles", dans les années 70), avant que Horus et le BDM prennent la relève. Vous n'imaginez pas le bonheur que c'était d'avoir, enfin, une doc sur le sujet.
Je reste fidèle à mes premiers amours en me procurant le prochain BDM.