Olaf Le Bou a écrit:non, ce serait cautionner cette absence de professionnalisme et ce m'enfoutisme ambiant, et inciter l'éditeur à ne rien changer.
Oui, si on espère que l'éditeur améliore ses éditions, dans un proche avenir, il faut commencer par ne pas acheter les livres défectueux [*] (pages en doublon ou absente, absence de correction sérieuse, etc...) et faire connaître si possible quels sont nos griefs. La démarche ne garantit rien, mais c'est la première des attitudes à tenir. Montrer son mécontentement et le traduire en chiffres de ventes.
[*] Ou bien alors en solderie, bradés à dix euros la pièce.
Genug a écrit:S'agissant de la page 55, la planche est reproduite en fac-similé dans l'édition
luxe pourrave, et on voit que la première erreur avait été remarquée dans la marge, mais la correction n'a pas été apportée.
Dans cette même page, tu as eu la magnanimité de ne pas relever une vraie, grosse faute, l'une des plus énormes du bouquin...
Cadeau : c'est dans la toute première ligne...
Oui, je suis inexcusable et te remercie du cadeau (avec son arrière goût cyanosé, miam...
). Ce type de faute coûtait quatre points en moins dans une dictée et faisait baisser la note d'un point dans une dissertation en indisposant le prof.
Une faute d'accord avec le participe passé du verbe naître. Le verbe s'accorde même s'il précède le sujet... Le piège parfait dans les dictées du cours moyen pour voir si la leçon a été comprise...