Merci pour ces dernières contributions.
Car maintenant, ça va mieux, vous m'avez proposé une forme de thérapie, quant à mes doutes (angoisses) sur l'évolution de notre société, de nos valeurs, de nos rêves.
A partir de dorénavant, et jusque désormais, je vais m'attacher à vivre le plus vieux possible, au-delà de mon entrée récente chez les sexygénaires, et ce pour voir jusqu'où je serais capable de co-exister avec ce genre de dystopies ou d'hétérotopies artistiques, sans perdre la raison.
toine74 a écrit:Merci pour ces dernières contributions.
Car maintenant, ça va mieux, vous m'avez proposé une forme de thérapie, quant à mes doutes (angoisses) sur l'évolution de notre société, de nos valeurs, de nos rêves.
A partir de dorénavant, et jusque désormais, je vais m'attacher à vivre le plus vieux possible, au-delà de mon entrée récente chez les sexygénaires, et ce pour voir jusqu'où je serais capable de co-exister avec ce genre de dystopies ou d'hétérotopies artistiques, sans perdre la raison.
Exactement le discours des gens des Beaux-Arts après le Première exposition des peintres impressionnistes en 1874.
La majorité de l'argumentaire a d'ailleurs été repris après l'expo de la Société des artistes indépendants de New York en 1917. Comme quoi, plus ça change, plus c'est pareil.
toine74 a écrit:
Fontaine, Marcel Duchamp, 1917. Le reste n'est que du ... reste.
nexus4 a écrit:Je vous laisse découvrir mais[Révéler] Spoiler:Le jeté sur canapé.
Vous moquez pas, ce serait Philippe Catherine, on crierait au génie.
nexus4 a écrit:Vous moquez pas, ce serait Philippe Catherine, on crierait au génie.
Ikebukuro a écrit:Monsieur Jean a écrit:La mère de mes filles, qui est historienne de l'art, me disait que c'est l'idée qui compte. Ce à quoi je répondais que si on n'est pas dans la tête de l'artiste ou si on n'a pas le mode d'emploi pour comprendre sa production, son travail ne sert à rien. Bref, si on n'a pas les codes d'accès, c'est foutu.
Avec "l'art contemporain", ce ne sont plus ni l'art, ni la technique, ni même l'idée qui comptent, c'est l'artiste ; Harouel explique très bien comment on est passé de l'oeuvre d'art à l'artiste, au XXᵉ siècle, comme sujet le plus important de ce mouvement.
Ah, et puis, si on a besoin d'expliquer une "oeuvre"... ce sera sans moi! Les primitifs Flamands, Raphaël, Bacon aussi, sont tellement puissants que même si je ne comprends pas tout de leurs tableaux, l'émotion ressentie est là, c'est physique alors que d'autres, Koon par exemple, c'est froid, stérile, ça ne génère rien à part des millions pour l'auteur et de la pollution visuelle dans les villes
toine74 a écrit:Merci pour ces dernières contributions.
Car maintenant, ça va mieux, vous m'avez proposé une forme de thérapie, quant à mes doutes (angoisses) sur l'évolution de notre société, de nos valeurs, de nos rêves.
A partir de dorénavant, et jusque désormais, je vais m'attacher à vivre le plus vieux possible, au-delà de mon entrée récente chez les sexygénaires, et ce pour voir jusqu'où je serais capable de co-exister avec ce genre de dystopies ou d'hétérotopies artistiques, sans perdre la raison.
Exactement le discours des gens des Beaux-Arts après le Première exposition des peintres impressionnistes en 1874.
La majorité de l'argumentaire a d'ailleurs été repris après l'expo de la Société des artistes indépendants de New York en 1917. Comme quoi, plus ça change, plus c'est pareil.
Olaf Le Bou a écrit:nexus4 a écrit:Vous moquez pas, ce serait Philippe Catherine, on crierait au génie.
en parlant de ça, y'avait une expo / installation de Philippe Catherine à Québec cet été. Des gros bonhommes roses gonflables un peu partout dans la vieille ville, accrochés aux façades, dans des arbres, sur des toits...
c'est décalé, rigolo et sans prétention, du pur Catherine, je pense que c'est pour ça qu'il est assez populaire chez nous.
quelques exemples :
Cooltrane a écrit:faire du pong en talon, cela relève de l'art contemporain ?
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