thyuig a écrit:Ando par contre !
nexus4 a écrit:Fyodor Pavlov Andreevich
L'artiste dans un cône de patates...
...qui est lui même dans un igloo de patates.
Blackfrag a écrit:Wenling , pas foutage de gueule , on aime ou pas mais y'a du taff là
Moi j'aime ...
Yog-volo a écrit:Blackfrag a écrit:Wenling , pas foutage de gueule , on aime ou pas mais y'a du taff là
Moi j'aime ...
ouais c'est marrant, ça m'a fait rire, mais le "taff" n'a rien à voir avec l'art, plutôt avec l'artisanat d'art. Une oeuvre peut être bâclée mais géniale.
Et puis la fumée des réacteurs abdominaux fait beaucoup trop chou-fleur
Donc c'est amusant, provocant, mais plastiquement assez raté... c'est mon avis. Pour moi c'est de l'ordre de la figurine Pokémon (y'en a des très biens)
LeJoker a écrit:Yog-volo a écrit:Blackfrag a écrit:Wenling , pas foutage de gueule , on aime ou pas mais y'a du taff là
Moi j'aime ...
ouais c'est marrant, ça m'a fait rire, mais le "taff" n'a rien à voir avec l'art, plutôt avec l'artisanat d'art. Une oeuvre peut être bâclée mais géniale.
Et puis la fumée des réacteurs abdominaux fait beaucoup trop chou-fleur
Donc c'est amusant, provocant, mais plastiquement assez raté... c'est mon avis. Pour moi c'est de l'ordre de la figurine Pokémon (y'en a des très biens)
Tout se joue sur le carton d'explication.
Si par exemple je dis, accoudé à une table, "c'est un taureau qui pète et écrase un bonhomme", ça ne vaudra rien.
Si je dis, en costard classe dans une galerie huppée
"Si l'animal de Di Moca incarnait une Finance puissante qui chargeait encore au sol, en contact avec l'économie réelle pour ainsi dire, le Wenling bull est quant à lui l'allégorie remarquable de la finance des années 2000's, emportée non plus par ses seules forces mais littéralement propulsée par les vents aussi puissants que chimériques de la bulle boursière. Le Wenling bull apparaît comme le double maudit de la licorne qui pète d'Elon Musk. Ensemble, ils constituent l'image aussi insolite que pertinente d'un monde de tech et d'argent tout à la fois engendré, porté et menacé par la folie spéculative et les mirages des hommes".
ça vaudra quelque chose.
Wim Wenders présente les soirs du 18 au 22 avril 2019 un « Objet Plastique Non Identifié »; installation monumentale cinématographique conçue à partir de sa filmographie, projetée sur la structure intérieure de la Nef du Grand Palais.
Ni oeuvre d’art vidéo, ni film d’artiste, cette création visuelle filmique constitue une proposition originale et spectaculaire d’« exposer » le cinéma de Wim Wenders comme un objet d’abord et avant tout artistique – au sens où Henri Langlois parlait du cinéma « comme un art plastique et non un art dramatique ». Le ressort plastique du cinéma, c’est sans doute le montage. L’oeuvre unique que Wim Wenders crée pour cet événement est ainsi un montage inédit à partir d’images de ses propres films, affranchi de toute trame narrative, et concentré sur l’esthétique de l’artiste. A l’écran blanc d’une salle de cinéma se substitue l’architecture grandiose de la Nef du Grand Palais : regarder le cinéma ne sera plus une expérience frontale mais immersive.
Au cours de ces soirées exceptionnelles les visiteurs déambulent dans la Nef et contemplent les images de Wim Wenders projetées en taille monumentale par un dispositif technologique de projection « mapping », constitué de 12 projecteurs 4K (ultrahaute définition), recouvrant ainsi une grande partie de l’architecture de la Nef (sur toute sa largeur à 270 degrés). Un dispositif unique en Europe, conçu et breveté par l’atelier ATHEM, scénographe de l’événement.
Un kaléïdoscope cinématographique permet au spectateur de s’immerger et de contempler d’une nouvelle manière l’univers visuel d’un des plus grands cinéastes contemporains, au langage poétique et universel.
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