pour la musique : on sera d'accord sur la qualite de la star'ac, mais que dire alors de grands groupes comme U2, Genesis, Mickael Jackson,...qui en leur temps ont vendu des millions d'album

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Justement c'est là que je dis : attention ! Connu ne veut pas forcément dire commercial, et inversement, comme le sous-entendait notre définition commune !
En effet : un artiste non commercial (ie qui fait ce qui lui plait sans ce préoccuper de savoir si ça plait ou non) peut très bien devenir connu, tout simplement parce que beaucoup de gens ont les même goûts que lui. Ou il peu très bien rester dans l'ombre car il fait un truc trop underground (ou aussi trop à chier parfois, tout simplement). De même qu'il y a des artiste commerciaux qui n'arrivent pas à percer, car comme le soulignait Charlouze, même pour faire du commercial il faut un certain talent, ne serait-ce que celui de se mettre à la place du consommateur pour savoir ce qu'il aimera.
Bref, il faut bien faire le distingo entre notoriété et commercial. C'est une question de façon de faire, pas de réussite. Le problème qui se pose alors est : comment reconnaître le commercial ? Lorsque qu'une oeuvre a du succès, comment savoir dans quel état d'esprit elle a été créée ? Eh ben comme je le disais, certains artistes pensent tellement avec leur porte-monaie et dans l'angoisse que ça ne plaise pas, que cela se ressent jusque dans l'oeuvre elle-même, pour certaines on pourrait même dire que ça dégouline de partout, ça "pue le commercial" comme on dit. Ca c'est les cas extrème, très reconnaissables et contre lesquels les anti-commerciaux se positionneront d'instinct. Après il y a l'entre-deux, et là le jugement reste souvent très subjectif...