




Olivier_D a écrit:






De ce qui se dit, il semble que ce sont effectivement les frais engagés d'une année l'autre en terme d’hébergement, de frais de bouche et de transport ainsi que les stands déjà payés qui interdisent aux éditeurs de se retirer à trois mois du salon, délai trop court pour faire quoi que ce soit. Donc statu quo.kobaia a écrit:Les gros éditeurs ne peuvent pas boycotter l'édition 2026 parce qu'ils doivent sauver les meubles et espérer quelques auteurs (ils ont déjà payé les stands), mais si rien ne change, ils ne seront pas présents en 2027.

Erik Arnoux a écrit:
un salon qui gère une manne énorme que les auteurs ne verront jamais alors qu'ils sont les principaux vecteurs de la venue du public...


icecool a écrit:Erik Arnoux a écrit:
un salon qui gère une manne énorme que les auteurs ne verront jamais alors qu'ils sont les principaux vecteurs de la venue du public...
Ce n'est pas une évidence, loin de là, entre années difficiles (Covid, etc.) et années à l'équilibre. Les recettes sont principalement celles des éditeurs et des hôtels-restaurants, tandis que les auteurs qui dédicacent sont désormais rémunérés (forfait de 255 €/jour) depuis 2022.

Le CNL et la SOFIA contribuent chacun à 1/3 du montant total au financement de la rémunération. Le dernier tiers est pris en charge par l’organisateur du festival pour les auteurs qu’il invite ou par les éditeurs pour ceux qu’ils éditent et qu’ils ont pris l’initiative d’inviter à dédicacer lors de la manifestation.



tiburce oger 2 a écrit:… si véritablement ils veulent le même changement que les autrices-auteurs.


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