
Mido a écrit:HervB a écrit:Non, juste une moins mauvaise compréhension des coulisses que la plupart des gens qui interviennent ici... [...] Je ne supporte pas toute cette désinformation des réseaux sociaux et la primauté donnée à la réaction au détriment de la réflexion.
Excellent ! Rarement lu autant de mauvaise foi. Et ces 2500 auteurs et autrices (sans compter les éditeurs et autres professionnels) ont bien évidemment une mauvaise compréhension des coulisses et ne sont pas capables de s'informer. Heureusement qu'il y a des personnes comme toi pour ouvrir les yeux de ces pauvres ignorants qui réagissent sans réfléchir (on en revient aux fameux moutons)...

kobaia a écrit:Maintenant qu'on sait que Bondoux reste, j'ai écrit une belle lettre ouverte pour dire pourquoi je ne prêterai pas de planches (sachant que c'était même pas sûr qu'elle soit sélectionnée, mais ce qui compte, c'est la comm).
A suivre sur Facebook

Mido a écrit:HervB a écrit:Non, juste une moins mauvaise compréhension des coulisses que la plupart des gens qui interviennent ici... [...] Je ne supporte pas toute cette désinformation des réseaux sociaux et la primauté donnée à la réaction au détriment de la réflexion.
Excellent ! Rarement lu autant de mauvaise foi. Et ces 2500 auteurs et autrices (sans compter les éditeurs et autres professionnels) ont bien évidemment une mauvaise compréhension des coulisses et ne sont pas capables de s'informer. Heureusement qu'il y a des personnes comme toi pour ouvrir les yeux de ces pauvres ignorants qui réagissent sans réfléchir (on en revient aux fameux moutons)...

nexus4 a écrit:kobaia a écrit:Maintenant qu'on sait que Bondoux reste, j'ai écrit une belle lettre ouverte pour dire pourquoi je ne prêterai pas de planches (sachant que c'était même pas sûr qu'elle soit sélectionnée, mais ce qui compte, c'est la comm).
A suivre sur Facebook
un petit lien ?

kantessekonmange a écrit:
Plutôt que de mauvaise fois j'évoquerai un mépris total des auteurs !

HervB a écrit:tiburce oger 2 a écrit:2500 autrices et auteurs ont signé pour un changement de gestion du festival, c'est ce que vous appelez les"grandes gueules des réseaux sociaux"?
Non, ça, c'est les moutonniers qui se trompent de cible.




kobaia a écrit:Voilà ! C'est pas foufou, mais je ne suis douée que pour rédiger des documents réglementaires.
Thierry_2 a écrit:je me demande ce qui va se passer avec le grand pix, qui reste indissociable du festival.
les auteurs vont-ils voter ou boycotter ce scrutin ?

Audrey Alwett a écrit:Je n'irai pas non plus au festival international de la BD d'Angoulême cette année, où j'étais pourtant invitée par mon éditeur @soleil.bd pour la sortie du tome 15 de Princesse Sara. C'est d'autant plus regrettable qu'une planche et des dessins de Princesse Sara par ma dessinatrice @nora.moretti.artist seront exposés à la Cité de la BD cette année. Néanmoins, la gestion de Frank Bondoux qui fait de plus en plus la guerre aux auteurs (empêchés d'entrer aux expositions depuis l'an dernier, entre autres choses), tout en se versant des revenus pharaoniques, controversés et opaques, mais épinglés par la Cour des Comptes, est devenue si problématique que cela n'était plus possible. Il y a peu, la fille de Frank Bondoux l'a même rejoint dans cette affaire très lucrative en obtenant un poste incohérent avec son CV. Le point d'orgue a été atteint quand ce charmant monsieur a licencié Chloé, une de ses salariées, après qu'elle lui ait révélé avoir subi des VSS sur le salon par un collègue. Tout cela a été largement documenté par la presse. L'argent que ce Monsieur se verse par centaines de milliers d'euros est celui des auteurs qu'il méprise, collecté par notamment par les OGC. Il est temps que des comptes soient réclamés à ceux qui maintiennent ce système en place

Appel des Grands prix d’Angoulême
Le Festival de la bande dessinée d’Angoulême est en danger de mort.
Depuis des années, le Festival accumule les scandales, les erreurs de communication et le manque d’ambition, tout cela dans dans une totale opacité de gestion. Cette dégradation nuit gravement à l’ensemble de la profession.
La bande dessinée a pourtant besoin de cet évènement qui est devenu un rendez-vous incontournable pour les auteurs et les autrices, les éditeurs, les médias et bien sûr les lecteurs et les lectrices.
Alors que les appels au boycott se multiplient, les Grands prix disent d’une seule voix qu’il est grand temps de tourner la page 9eArt+ pour que le Festival retrouve, avec de nouveaux opérateurs, les valeurs qui ont construit sa notoriété internationale.
Sans un changement rapide et profond, l’édition 2026 risque fort d’être la dernière.
Florence Cestac
Régis Loisel
Philippe Dupuy
Charles Berbérian
Martin Veyron
Art Spiegelman
Jean-Claude Denis
François Boucq
Chris Ware
Franck Margerin
Jacques Tardi
François Schuiten
Baru
Blutch
Willem
Lewis Trondheim
Riad Sattouf
Hermann Huppen
Max Cabanes
Anouk Ricard

À l’issue d’un appel à projets sans suspense, l’association du FIBD a rendu ce samedi 8 novembre son verdict, renouvelant la société 9e Art+ dans son rôle d’organisateur pour 9 ans.
Le FIBD prouve une nouvelle fois son incapacité à entendre le monde de la bande dessinée qui rejette massivement depuis des mois la reconduction de cette société et de son dirigeant, Franck Bondoux, pour des raisons déjà largement exposées.
N’ignorant pas complètement les risques qu’il prenait, le FIBD a cru pouvoir s’en tirer par une pirouette en exigeant de 9e Art+ qu’il collabore avec la Cité de la bande dessinée, l’autre finaliste de l’appel à projets. C’est en réalité l’inverse qui se joue puisque, suite au communiqué des collectivités locales, c’est la Cité qui se voit contrainte de s’associer à 9eme Art+ alors même que Vincent Eches, le directeur de la Cité, avait manifesté par courrier son opposition à cet attelage contre-nature. La répartition des pouvoirs au sein de la structure qui réunirait 9e Art+, le FIBD et la Cité serait inévitablement en défaveur de cette dernière.
Le FIBD illustre donc une nouvelle fois son mépris pour la parole d’autrui et c’est bien 9e Art+, et seulement 9e Art+, qui conserve le contrôle du festival dans un pouvoir sans partage. Il y a là une captation évidente par des intérêts privés d’une manifestation qui relève depuis longtemps de l’intérêt collectif, quoi qu’en pense Delphine Groux, la présidente du FIBD.
Les partenaires publics (à l’exception de l’État) ont cru bon de valider cette combinaison éruptive sans consulter l’interprofession. Ils veulent croire à la promesse qu’a faite Franck Bondoux de se retirer de la direction du festival après l‘édition 2027. C’est ne pas tenir compte du fait que Franck Bondoux détient la société 9e Art+, la société Partnership Consulting (en charge des partenariats commerciaux), ainsi que la marque 9e Art+ — une marque devenue radioactive pour une grande partie de la profession, comme son dirigeant. Le 25 septembre, Franck Bondoux a adressé aux partenaires publics un courrier de menaces dans lequel il les prévient qu’il les attaquera en justice pour faire annuler la procédure et réclamer des dommages et intérêts si 9e Art+ n’était pas reconduit.
Ce dénouement programmé place le festival dans une situation explosive.
Jamais le danger de voir disparaître la plus importante manifestation de bande dessinée n’a été aussi concret. Par cette consultation qui relève du simulacre, le FIBD menace l’existence même de l’évènement qu’il prétend protéger.
En conséquence de quoi le S.E.A dénonce le résultat de cet appel à projets, entaché par une opacité délibérée et par le refus des règles garantissant l’impartialité du processus. Le S.E.A réclame l’invalidation immédiate d’un résultat insincère et appelle les pouvoirs publics à réunir l’ensemble de la profession pour que soit mis en œuvre une réforme profonde du festival et un changement radical de gouvernance.
Le S.E.A appelle à la démission de Delphine Groux, dont l’irresponsabilité et les obstructions ont bloqué de bout en bout les échanges que les représentantes et représentants des artistes et maisons d’édition ont tenté de construire.
Le S.E.A appelle à la disparition de la société 9e Art+ et à la reprise des équipes par la future structure qui sera chargée d’organiser le festival.
Le S.E.A prévient enfin que si la parole des artistes et des maisons d’édition n’est pas considérée avec tout le sérieux qu’elle mérite, les conséquences seront majeures et probablement irréversibles. Dès 2026. Puis en 2027. Et peut-être à tout jamais. De nombreuses maisons d’édition du S.E.A ont d’ores et déjà annulé leurs stands pour l’édition 2026; d’autres vont bientôt grossir les rangs.
Finissons-en avec le mépris et les atermoiements. La bande dessinée, dans toutes ses composantes, ne supportera pas plus longtemps que le festival qui la représente n’écoute pas la colère qu’elle exprime depuis des années. Il faut revenir d’urgence à la raison !
Le Syndicat des Éditeurs Alternatifs

nexus4 a écrit:Alors que les appels au boycott se multiplient, les Grands prix disent d’une seule voix qu’il est grand temps de tourner la page 9eArt+ pour que le Festival retrouve, avec de nouveaux opérateurs, les valeurs qui ont construit sa notoriété internationale.


HervB a écrit:Pratiquement 20 ans. Et Bondoux a commencé à travailler pour le festival un peu avant.

Cooltrane a écrit:HervB a écrit:Pratiquement 20 ans. Et Bondoux a commencé à travailler pour le festival un peu avant.
merci![]()
et avant cela?
(cette section dans Wiki est vide et aucune mention du 9èArt+)


icecool a écrit:Cooltrane a écrit:HervB a écrit:Pratiquement 20 ans. Et Bondoux a commencé à travailler pour le festival un peu avant.
merci![]()
et avant cela?
(cette section dans Wiki est vide et aucune mention du 9èArt+)
https://www.livreshebdo.fr/article/franck-bondoux
https://fr.wikipedia.org/wiki/9emeArt%2B
Voir aussi (en 2016) : https://www.actuabd.com/EXCLUSIF-Franck ... x-Festival


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