Alexander a écrit:Angoulême c’est carrément grave. Arrivé à 10 heures, pas une place de parking disponible, trouver par miracle au bout de 3/4 d’heure une place au delà de la prison, les keufs qui alignent les mal-garés, faire 3 plombes pour gagner le centre-ville, faire la queue à la baraque de chantier et payer le pass une journée 17 euros, l’attente pour entrer dans les bulles, les contrôles, c’est 3 contrôles, un qui te paluche et fouille ton sac, plus loin un qui te passe le détecteur de métaux, plus loin le troisième qui regarde si t’as bien ton pass, les chasseurs de dédicace avec leurs tabourets et sacs à roulettes que tu vois pas parce que c'est bas donc tu butes dedans, l’attente des mêmes aux stands, le brouhaha, le piétinement, les connards , les beaufs, les grugeurs, les gnares qui cavalent, l'absence de chiottes, les achats que tu te trimballes en sac à dos que tu ne peux pas vider parce que t’es garé trop loin alors à la fin le sac il pèse 40 kg, le pseudo échange avec l’auteur qui dans ces conditions est lui aussi saoulé comme tout un chacun, …
Et encore j’y suis allé vendredi jour calme!
Rajoutons les couacs suivis sur le forum (les nominations, les faux-fauves,…)
Quelle déprime !
Le Tapir a écrit:Alexander a écrit:Angoulême c’est carrément grave. Arrivé à 10 heures, pas une place de parking disponible, trouver par miracle au bout de 3/4 d’heure une place au delà de la prison, les keufs qui alignent les mal-garés, faire 3 plombes pour gagner le centre-ville, faire la queue à la baraque de chantier et payer le pass une journée 17 euros, l’attente pour entrer dans les bulles, les contrôles, c’est 3 contrôles, un qui te paluche et fouille ton sac, plus loin un qui te passe le détecteur de métaux, plus loin le troisième qui regarde si t’as bien ton pass, les chasseurs de dédicace avec leurs tabourets et sacs à roulettes que tu vois pas parce que c'est bas donc tu butes dedans, l’attente des mêmes aux stands, le brouhaha, le piétinement, les connards , les beaufs, les grugeurs, les gnares qui cavalent, l'absence de chiottes, les achats que tu te trimballes en sac à dos que tu ne peux pas vider parce que t’es garé trop loin alors à la fin le sac il pèse 40 kg, le pseudo échange avec l’auteur qui dans ces conditions est lui aussi saoulé comme tout un chacun, …
Et encore j’y suis allé vendredi jour calme!
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Quelle déprime !
Ah ah ah.
Le Complot a écrit:T'es vil en fait toi
Le Tapir a écrit:Oh que oui!
Nul ne peut se prévaloir de sa propre tapiritude.
Alexander a écrit:Angoulême c’est carrément grave. Arrivé à 10 heures, pas une place de parking disponible, trouver par miracle au bout de 3/4 d’heure une place au delà de la prison, les keufs qui alignent les mal-garés, faire 3 plombes pour gagner le centre-ville, faire la queue à la baraque de chantier et payer le pass une journée 17 euros, l’attente pour entrer dans les bulles, les contrôles, c’est 3 contrôles, un qui te paluche et fouille ton sac, plus loin un qui te passe le détecteur de métaux, plus loin le troisième qui regarde si t’as bien ton pass, les chasseurs de dédicace avec leurs tabourets et sacs à roulettes que tu vois pas parce que c'est bas donc tu butes dedans, l’attente des mêmes aux stands, le brouhaha, le piétinement, les connards , les beaufs, les grugeurs, les gnares qui cavalent, l'absence de chiottes, les achats que tu te trimballes en sac à dos que tu ne peux pas vider parce que t’es garé trop loin alors à la fin le sac il pèse 40 kg, le pseudo échange avec l’auteur qui dans ces conditions est lui aussi saoulé comme tout un chacun, …
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Alexander a écrit:Angoulême c’est carrément grave. Arrivé à 10 heures, pas une place de parking disponible, trouver par miracle au bout de 3/4 d’heure une place au delà de la prison, les keufs qui alignent les mal-garés, faire 3 plombes pour gagner le centre-ville, faire la queue à la baraque de chantier et payer le pass une journée 17 euros, l’attente pour entrer dans les bulles, les contrôles, c’est 3 contrôles, un qui te paluche et fouille ton sac, plus loin un qui te passe le détecteur de métaux, plus loin le troisième qui regarde si t’as bien ton pass, les chasseurs de dédicace avec leurs tabourets et sacs à roulettes que tu vois pas parce que c'est bas donc tu butes dedans, l’attente des mêmes aux stands, le brouhaha, le piétinement, les connards , les beaufs, les grugeurs, les gnares qui cavalent, l'absence de chiottes, les achats que tu te trimballes en sac à dos que tu ne peux pas vider parce que t’es garé trop loin alors à la fin le sac il pèse 40 kg, le pseudo échange avec l’auteur qui dans ces conditions est lui aussi saoulé comme tout un chacun, …
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Alexander a écrit:Angoulême c’est carrément grave. Arrivé à 10 heures, pas une place de parking disponible, trouver par miracle au bout de 3/4 d’heure une place au delà de la prison, les keufs qui alignent les mal-garés, faire 3 plombes pour gagner le centre-ville, faire la queue à la baraque de chantier et payer le pass une journée 17 euros, l’attente pour entrer dans les bulles, les contrôles, c’est 3 contrôles, un qui te paluche et fouille ton sac, plus loin un qui te passe le détecteur de métaux, plus loin le troisième qui regarde si t’as bien ton pass, les chasseurs de dédicace avec leurs tabourets et sacs à roulettes que tu vois pas parce que c'est bas donc tu butes dedans, l’attente des mêmes aux stands, le brouhaha, le piétinement, les connards , les beaufs, les grugeurs, les gnares qui cavalent, l'absence de chiottes, les achats que tu te trimballes en sac à dos que tu ne peux pas vider parce que t’es garé trop loin alors à la fin le sac il pèse 40 kg, le pseudo échange avec l’auteur qui dans ces conditions est lui aussi saoulé comme tout un chacun, …
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Alexander a écrit:Angoulême c’est carrément grave. Arrivé à 10 heures, pas une place de parking disponible, trouver par miracle au bout de 3/4 d’heure une place au delà de la prison, les keufs qui alignent les mal-garés, faire 3 plombes pour gagner le centre-ville, faire la queue à la baraque de chantier et payer le pass une journée 17 euros, l’attente pour entrer dans les bulles, les contrôles, c’est 3 contrôles, un qui te paluche et fouille ton sac, plus loin un qui te passe le détecteur de métaux, plus loin le troisième qui regarde si t’as bien ton pass, les chasseurs de dédicace avec leurs tabourets et sacs à roulettes que tu vois pas parce que c'est bas donc tu butes dedans, l’attente des mêmes aux stands, le brouhaha, le piétinement, les connards , les beaufs, les grugeurs, les gnares qui cavalent, l'absence de chiottes, les achats que tu te trimballes en sac à dos que tu ne peux pas vider parce que t’es garé trop loin alors à la fin le sac il pèse 40 kg, le pseudo échange avec l’auteur qui dans ces conditions est lui aussi saoulé comme tout un chacun, …
Alexander a écrit:Angoulême c’est carrément grave. Arrivé à 10 heures, pas une place de parking disponible, trouver par miracle au bout de 3/4 d’heure une place au delà de la prison, les keufs qui alignent les mal-garés, faire 3 plombes pour gagner le centre-ville, faire la queue à la baraque de chantier et payer le pass une journée 17 euros, l’attente pour entrer dans les bulles, les contrôles, c’est 3 contrôles, un qui te paluche et fouille ton sac, plus loin un qui te passe le détecteur de métaux, plus loin le troisième qui regarde si t’as bien ton pass, les chasseurs de dédicace avec leurs tabourets et sacs à roulettes que tu vois pas parce que c'est bas donc tu butes dedans, l’attente des mêmes aux stands, le brouhaha, le piétinement, les connards , les beaufs, les grugeurs, les gnares qui cavalent, l'absence de chiottes, les achats que tu te trimballes en sac à dos que tu ne peux pas vider parce que t’es garé trop loin alors à la fin le sac il pèse 40 kg, le pseudo échange avec l’auteur qui dans ces conditions est lui aussi saoulé comme tout un chacun, …
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nexus4 a écrit:Sinon, je dois pas être le seul, j'ai passé le festival à me dire "Tiens une animation Delcourt" puis "Ah non merde, Vigipirate".
nexus4 a écrit:Longue interview de Franck Bondoux :
http://www.actuabd.com/EXCLUSIF-Franck-Bondoux-Festival
Alexander a écrit:Angoulême c’est carrément grave. Arrivé à 10 heures, pas une place de parking disponible, trouver par miracle au bout de 3/4 d’heure une place au delà de la prison, les keufs qui alignent les mal-garés, faire 3 plombes pour gagner le centre-ville, faire la queue à la baraque de chantier et payer le pass une journée 17 euros, l’attente pour entrer dans les bulles, les contrôles, c’est 3 contrôles, un qui te paluche et fouille ton sac, plus loin un qui te passe le détecteur de métaux, plus loin le troisième qui regarde si t’as bien ton pass, les chasseurs de dédicace avec leurs tabourets et sacs à roulettes que tu vois pas parce que c'est bas donc tu butes dedans, l’attente des mêmes aux stands, le brouhaha, le piétinement, les connards , les beaufs, les grugeurs, les gnares qui cavalent, l'absence de chiottes, les achats que tu te trimballes en sac à dos que tu ne peux pas vider parce que t’es garé trop loin alors à la fin le sac il pèse 40 kg, le pseudo échange avec l’auteur qui dans ces conditions est lui aussi saoulé comme tout un chacun, …
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S’ils ont souhaité rédiger un projet c’est parce qu’«aujourd’hui, la BD est en péril
Pour les signataires, «la rupture de confiance est consommée entre cette organisation [...] et les amateurs du monde entier
«Les auteurs sont devenus les grands oubliés du festival», insiste le document. Ils doivent «reprendre une place centrale». L’une des propositions pour y parvenir, c’est de créer une «artist alley», un espace «dans lequel ils pourraient dessiner, dédicacer, exposer, permettre au public d’acquérir des créations originales»
«Organiser des événements Angoulême, hors Angoulême». La remise du Grand Prix, par exemple, pourrait être proposée «au Salon du livre de Paris». Les signataires défendent aussi un «vrai partenariat avec Bruxelles» et préconisent même d’initier «un réseau des villes BD» dont Angoulême pourrait être le fer de lance.
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