dod a écrit:Ben tu vous Corail c'est ce bien ce qui m'inquiète....si les mid-term sont trop défavorables à Trump plein de gens vont se dire que c'est pas la peine de s'affranchir des usa, qu'il faut être patient...
Du coup on fera rien et si on se retrouve avec un "trump-like" dans 4 ans ....on ne sera pas plus avancés

Je pense que l'Europe doit faire son propre chemin pour sécuriser ses territoires, investissements, industries, formation, etc
garder ses alliés, et en trouver d'autres
et surtout, rester unie
toine74 a écrit:Sauf que le désengagement américain ne date pas Trump. Obama avait bien entamé la chose (à la suite des aventures de Bush Jr.) et les suivants, Biden y compris, ont continué.
Le truc qui a fait vraiment fait réfléchir au Canada : il y a deux-trois ans, les Chinois avaient "échappés" des ballons sondes espions sur l'Amérique du Nord et c'était la chasse américaine qui était venue en abattre un sur le territoire canadien. Les avions canadiens étaient cloués au sol pour la vidange annuelle (ou un truc dans le genre)... Trump 2, Poutine, Xi dans le Pacifique et un peu d'introspection plus tard, l'idée de dépenser un peu plus que 1% du PIB pour assurer un minimum de présence sur le territoire national a fait son chemin. (surtout en Arctique, avec le passage du nord-est qui s'ouvre de plus en plus).
+1 et tout à fait d'accord avec toi à propos de la grippe aviaire et l'environnement. Il y a des défis plus grands que nous à tous les étages.

oui ! et le désengagement s'accélère avec Trump, torpillage à tout va !
ubr84 a écrit:Corail a écrit:en comparaison, le covid, c'était l'époque fleur bleue, peace ans love
Oui c'est préoccupant.
Mais non, pour l'instant ce n'est pas pire que le COVID parce que
La HAS estime que "la transmission interhumaine de virus influenza aviaire reste rare".
Ce qui en fait des virus bien moins dangereux au niveau propagation que le COVID.
oui, à ce jour, le risque reste encore faible
mais la préoccupation vient davantage d'épisodes de virus aviaires qui se multiplient.
qui sont passés aux mammifères (saut de la barrière des espèces) qui se les transmettent entre eux (si j'ai tout bien compris)
dernier saut à franchir : la transmission interhumaine
et petit rappel historique,
la maladie appelée "grippe espagnole", (H1N1) qui avait fait des dizaines de millions de morts au début du XXe siècle, était d'origine aviaire.
Le premier cas enregistré officiellement aux États-Unis le 4 mars 1918 se trouve dans le camp militaire de Funston dépendant de Fort Riley au Kansas. Le patient zéro à cet endroit aurait été un certain Albert Gitchell, un fermier appelé sous les drapeaux, contaminé par l'un de ses oiseaux, lui-même contaminé par un oiseau sauvage. La maladie s'y étend rapidement.Trump a sabré dans les dépenses et les effectifs des administrations, OMS included ; c'est la chronique d'une catastrophe annoncée,
car il y aura moins de moyens de surveillance, d'intervention, pour tester tracer et isoler; contenir une épidémie