marinacamille a écrit:ou ça :
lis cette BD et tu comprendra pourquoi, ils veulent pas rester dans les structures
marinacamille a écrit:ou ça :
Depuis 1973, pour protéger les minorités étrangères contre toute forme de discrimination, le code de presse allemand conseille aux journalistes de ne pas révéler l’origine des suspects et des coupables à moins que cette information soit essentielle à la compréhension des faits. En janvier 2016, la question du respect de ce code a été largement débattue, après que plusieurs centaines de délits à caractère sexuel furent dénoncés, principalement dans la ville de Cologne, sans que, dans un premier temps, l’origine étrangère des suspects n’eût été divulguée. En réaction à cette polémique, le journal de Saxe, Sächsische Zeitung, dans un article intitulé « Les faits contre les rumeurs », a annoncé en juillet À partir de cette date, les lecteurs de Sächsische Zeitung se sont ainsi trouvés exposés à un grand nombre d’articles mentionnant que l’infraction était le fait d’un Allemand. 2016 son intention de systématiquement révéler l’origine des auteurs d’infraction, qu’elle soit étrangère ou non. Les résultats montrent que ce changement a entraîné une amélioration des attitudes des natifs dans la zone de diffusion du Sächsische Zeitung et une baisse des intentions de vote pour l’AfD, premier parti anti-immigration en Allemagne.
Les inquiétudes à l’égard de l’immigration ont en effet diminué de près de 20 points de pourcentage le semestre suivant le changement éditorial dans la zone de diffusion du journal, par rapport aux zones où le journal ne circulait pas. Les lecteurs, désormais mieux informés de la part des natifs dans la délinquance, ont réalisé que la majorité des crimes et délits étaient en réalité le fait d’individus nés dans leur pays. En revanche, l’inquiétude envers la délinquance en général a augmenté.
Mirdhynn a écrit: (...)
Ca te viendrait à l'idée, toi (...)?
Cette analyse pourrait avoir d’importantes conséquences dans le dossier. Elle entérinerait le fait que le fœtus n’avait pas d’existence juridique distincte de sa mère.
Mirdhynn a écrit:Euh, t'extrapole beaucoup, là, ce n'est absolument pas mon propos.
S'il y a bien un truc que je ne suis pas, c'est un militant anti avortement.
Juste que s'imaginer les avocats de Palmade demander une expertise pour savoir si le bébé était mort dans le ventre ou une fois sorti pour pouvoir faire sauter l'inculpation d'homicide, je trouve ça d'une bassesse abyssale.
marinacamille a écrit:Il change de sujet c'est tout. Le topic s'appelle ACTUALITES, donc il parle d'un sujet actuel.
Le rapport de la Ciivise vient de sortir c'est pour ça. Et il rebondit sur des propos qui ont été écrits ici sur la vision de l'inceste. Apparemment, des forumeurs avaient expliqué lors de l’affaire Vivès qu’il n’y avait aucune ambiguïté dans la perception qu’ont les gens de l’inceste. Or ce n'est pas très flagrant dans ce rapport....
La très grande majorité n'a pas entendu ces mots : "Je te crois, je te protège." Les personnes victimes de violences sexuelles dans leur enfance n'ont bénéficié d'un "soutien social positif" lors de la révélélation des faits que dans "8%" des cas, révèle un rapport de la Commission indépendante sur l'inceste et les violences sexuelles faites aux enfants (Ciivise), publié jeudi 21 septembre. Ce document fait la synthèse de près de 27 000 témoignages recueillis dans le cadre de l'appel à témoignages de la Ciivise lancé il y a trois ans. Le constat est sans appel : "L'analyse des témoignages confirme l'importance de la réponse de la personne à qui l'enfant se confie. Malheureusement, elle met en évidence que, le plus souvent, cette réponse n'est pas protectrice", pointent les auteurs.
"Ce que ces témoins nous montrent de façon limpide, c'est que la violence sexuelle n'est jamais un face-à-face entre un agresseur et une victime. Il y a toujours un tiers. Qu'il s'agisse d'une personne proche de l'enfant, d'une institution ou de la société tout entière"
Alors je suis très étonné car des gens modérés et raisonnables (donc pas des méchants militants faisant du prosélytisme comme moi) de ce forum, m’avaient expliqué lors de l’affaire Vivès qu’il n’y avait aucune ambiguïté dans la perception qu’ont les gens de l’inceste. Qui aurait pu prédire.
On ne parle pas de justice, mais bien d'un non "soutien social"... d'où le lien que Corbulon a fait sur l'ambiguité que les gens ont de l'inceste.
Pourquoi reparle t'il de l'affaire Vivès ? parce qu'à ce moment là, on n'a pas arrêté de dire et écrire que tout cela jouait sur l'inconscient collectif.
Il s'agit là de minimiser le problème dans l'entourage de l'enfant, de nier, etc... surement en pensant vraiment que "bon, c'est pas vraiment un viol".
Donc inconscient collectif => ambiguité => déni => non-soutien
D'où l'importance de travailler sur l'insconscient collectif. Pour moi c'est limpide, nous ne devons pas avoir la même lecture.
marone222 a écrit:Comme d'hab, il a fait l'amalgame de 2 sujets différents : la liberté d'expression artistique d'un côté et ici le deni conscient ou inconscient de la réalité de l'inceste.
Façon d'assimiler (de manière stupide et malhonnête) ceux qui défendaient la liberté d'expression à ceux qui nient la réalité de l'inceste et protègent les coupables d'inceste...
Mr Degryse a écrit:J'ai bien compris. Je ne vois toujours pas le rapport avec Vivès.
Nan mais sérieux, lisez et relisez, les mots ont leur importance.
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