Ventes aux Enchères (Planning , Infos & débats)

[collectionman]

Message précédent :

ahahhahah je suis tout simplement pudique et j'imagine déjà vos commentaires malveillants de grands jaloux et frustrés sur ces chefs d'oeuvre , oh my God !!!!! c'est vraiment pas possible pour l'instant , ahahahahah

on peut te rencontrer quelquepart ?

A l'espace Contrambert...

Moebius renoue avec Arzak
25 novembre 2009





Cette bande muette est devenue mythique, dès le lancement de Métal Hurlant. Jean Giraud/Moebius publie des nouvelles aventures de ce héros atypique dans un album étourdissant. Une exposition-vente d’originaux aura d’ailleurs lieu ce vendredi 27 novembre.





Arzach ... Harzac... Harzach... Harzack… Tel un cri dans la nuit, déchirant à pleines pages les premiers numéros de Métal Hurlant, ce personnage muet [1] évoluant dans des univers fantastiques imprima durablement la signature de Moebius dans l’esprit des lecteurs. Bien sûr, Jean Giraud avait déjà réalisé de courts récits plutôt innovants sous le nom de son double, mais ce délire graphique prouva, il y a près de trente-cinq ans, qu’on pouvait faire de la bande dessinée autrement, tout simplement.

En deux mots, il s’agit de quatre histoires de huit pages chacune, véritables tableaux, présentant un humanoïde volant sur un grand ancêtre de la mouette à béton de l’Incal. Confronté à diverses situations, le personnage qu’on suppose nommer Arzach, réagit avec détachement tout en cherchant son bénéfice propre. La bande est muette, mis à part le « dernier » récit, étrangement sexué, et dans laquelle on nomme le "héros". Ce nom change d’ailleurs dans son orthographe au travers des différentes histoires, graphiquement éclaté sur la première planche, imprimant sans doute déjà la volonté d’un perpétuel changement.

Cité encore régulièrement comme une des œuvres majeures du maître, salué internationalement, Arzach ne connut pourtant pas de suite [2]. Comment tirer indéfiniment ce fil narratif sans se répéter ? Une gageure que n’entreprit pas directement un des auteurs les plus innovants du genre. Pourtant, un collectif de dessinateurs lui rendit encore hommage en 1994 au travers d’Arzach Made in USA, et une série de courts-métrages adapta également le personnage imperturbable.

En constante recherche sur son travail, désirant toujours atteindre son public tout en poursuivant ses innovations, Moebius publie donc une nouvelle vision d’Arzak. Il s’agit d’une bande dessinée d’une centaine de pages, mais dont les dialogues et récitatifs ne sont pas intégrés aux planches. L’album se construit avec les textes sur la page de gauche, accompagné d’un dessin mettant en exergue un détail de la planche complète située sur la page de droite.


Cette construction a de quoi déconcerter, surtout que les planches paraissent parfois composées pour recevoir des phylactères, mais en s’affranchissant ainsi des limites d’insertion des textes, Moebius peut à volonté inonder le lecteur d’informations, alors que certaines autres pages sont presque dénuées d’explications. Graphiquement, le style oscille une fois de plus entre une ligne épurée, et une multitude de détails, dont les fameuses hachures tant appréciées ou les déserts s’étendant à l’infini. Toutefois, le style est moins fouillé que ce qu’on avait pu voir précédemment dans le Chasseur Déprime.

On pénètre rapidement dans ce nouveau ballet poétique de Moebius, le regard passant d’une page à l’autre de ce petit format, permettant de s’attarder sur les détails graphiques ou les explications scénaristiques. Bien sûr, le voile se lève rapidement sur le personnage principal, son rôle dans les cieux de cette planète, ainsi que sur sa drôle de monture qui ne bat plus des ailes, mais si on enlève ainsi une part du rêve, la construction de l’univers fantastique nous replace dans les carcans de Moebius : Major Fatal, l’Homme du Ciguri, mais aussi les nombreuses illustrations et courts récits qu’il nous a livrés.


Introduit par Charles Berberian ce premier tome sera suivi de deux autres volumes formant la globalité de ce nouveau récit ! Destination Tassili est donc décliné en une première version noire et blanche de trois mille exemplaires, dite « collector », dont cinq cents exemplaires seront tamponnés d’un dessin, numérotés, signés et accompagnés d’un ex-libris. Cette première mouture sera suivie d’un tirage couleur pour 2010.

Pour lancer en grandes pompes cette nouvelle série, Moebius réalise une exposition-vente éphémère de cinquante originaux, qui ne se déroulera que ce vendredi 27 novembre. Les amateurs pourront bien entendu acquérir Destination Tassali lors de cette exposition.

Avec ce nouvel Arzak, Moebius prouve une nouvelle fois qu’il peut perpétuellement réinventer son travail. La trame de ce premier tome est commune et fidèle à l’esprit de ses travaux précédents, mais c’est surtout l’occasion de pouvoir profiter une fois de plus de son trait inimitable. Les amateurs pourront s’y jeter les yeux fermés, le grand public grognera en réclamant plutôt la suite de Blueberry, mais quand Moebius se fait plaisir, pourquoi bouder le nôtre ?


L’exposition-vente se déroule ce vendredi 27 novembre de 9 à 22h, au 103, rue de Grenelle à 75007 Paris.

Plus d’informations sur le site de Moebius

[collectionman]

A l'espace Contrambert... [/quote]

Moebius renoue avec Arzak
25 novembre 2009





Cette bande muette est devenue mythique, dès le lancement de Métal Hurlant. Jean Giraud/Moebius publie des nouvelles aventures de ce héros atypique dans un album étourdissant. Une exposition-vente d’originaux aura d’ailleurs lieu ce vendredi 27 novembre.





Arzach ... Harzac... Harzach... Harzack… Tel un cri dans la nuit, déchirant à pleines pages les premiers numéros de Métal Hurlant, ce personnage muet [1] évoluant dans des univers fantastiques imprima durablement la signature de Moebius dans l’esprit des lecteurs. Bien sûr, Jean Giraud avait déjà réalisé de courts récits plutôt innovants sous le nom de son double, mais ce délire graphique prouva, il y a près de trente-cinq ans, qu’on pouvait faire de la bande dessinée autrement, tout simplement.

En deux mots, il s’agit de quatre histoires de huit pages chacune, véritables tableaux, présentant un humanoïde volant sur un grand ancêtre de la mouette à béton de l’Incal. Confronté à diverses situations, le personnage qu’on suppose nommer Arzach, réagit avec détachement tout en cherchant son bénéfice propre. La bande est muette, mis à part le « dernier » récit, étrangement sexué, et dans laquelle on nomme le "héros". Ce nom change d’ailleurs dans son orthographe au travers des différentes histoires, graphiquement éclaté sur la première planche, imprimant sans doute déjà la volonté d’un perpétuel changement.

Cité encore régulièrement comme une des œuvres majeures du maître, salué internationalement, Arzach ne connut pourtant pas de suite [2]. Comment tirer indéfiniment ce fil narratif sans se répéter ? Une gageure que n’entreprit pas directement un des auteurs les plus innovants du genre. Pourtant, un collectif de dessinateurs lui rendit encore hommage en 1994 au travers d’Arzach Made in USA, et une série de courts-métrages adapta également le personnage imperturbable.

En constante recherche sur son travail, désirant toujours atteindre son public tout en poursuivant ses innovations, Moebius publie donc une nouvelle vision d’Arzak. Il s’agit d’une bande dessinée d’une centaine de pages, mais dont les dialogues et récitatifs ne sont pas intégrés aux planches. L’album se construit avec les textes sur la page de gauche, accompagné d’un dessin mettant en exergue un détail de la planche complète située sur la page de droite.


Cette construction a de quoi déconcerter, surtout que les planches paraissent parfois composées pour recevoir des phylactères, mais en s’affranchissant ainsi des limites d’insertion des textes, Moebius peut à volonté inonder le lecteur d’informations, alors que certaines autres pages sont presque dénuées d’explications. Graphiquement, le style oscille une fois de plus entre une ligne épurée, et une multitude de détails, dont les fameuses hachures tant appréciées ou les déserts s’étendant à l’infini. Toutefois, le style est moins fouillé que ce qu’on avait pu voir précédemment dans le Chasseur Déprime.

On pénètre rapidement dans ce nouveau ballet poétique de Moebius, le regard passant d’une page à l’autre de ce petit format, permettant de s’attarder sur les détails graphiques ou les explications scénaristiques. Bien sûr, le voile se lève rapidement sur le personnage principal, son rôle dans les cieux de cette planète, ainsi que sur sa drôle de monture qui ne bat plus des ailes, mais si on enlève ainsi une part du rêve, la construction de l’univers fantastique nous replace dans les carcans de Moebius : Major Fatal, l’Homme du Ciguri, mais aussi les nombreuses illustrations et courts récits qu’il nous a livrés.


Introduit par Charles Berberian ce premier tome sera suivi de deux autres volumes formant la globalité de ce nouveau récit ! Destination Tassili est donc décliné en une première version noire et blanche de trois mille exemplaires, dite « collector », dont cinq cents exemplaires seront tamponnés d’un dessin, numérotés, signés et accompagnés d’un ex-libris. Cette première mouture sera suivie d’un tirage couleur pour 2010.

Pour lancer en grandes pompes cette nouvelle série, Moebius réalise une exposition-vente éphémère de cinquante originaux, qui ne se déroulera que ce vendredi 27 novembre. Les amateurs pourront bien entendu acquérir Destination Tassali lors de cette exposition.

Avec ce nouvel Arzak, Moebius prouve une nouvelle fois qu’il peut perpétuellement réinventer son travail. La trame de ce premier tome est commune et fidèle à l’esprit de ses travaux précédents, mais c’est surtout l’occasion de pouvoir profiter une fois de plus de son trait inimitable. Les amateurs pourront s’y jeter les yeux fermés, le grand public grognera en réclamant plutôt la suite de Blueberry, mais quand Moebius se fait plaisir, pourquoi bouder le nôtre ?


L’exposition-vente se déroule ce vendredi 27 novembre de 9 à 22h, au 103, rue de Grenelle à 75007 Paris.

Plus d’informations sur le site de Moebius

[/quote]

ah au fait pour ceux qui voient le marché baisser , cela ne sera pas le cas lors de cette exposition vente tenue de ville recommandé svp

[Yoda33]

Quand on aime s'auto-quoter, on ne peut venir qu'en costard et on peut aussi parler de soi à la 3e personne, sisi, ça le fait

[collectionman]

elle s'est vendue?

si oui, on peut s'interroger sur le bon sens de l'acheteur !

sinon, quand je dis "maintien" c'est plus dans l'esprit de dire qu'il s'agit tout de même de prix "assez élevé" entre 7,5 et 10,5 k€ pour des planches très classiques.
En gros, ça ne se casse pas vraiment la gueule tout de même.

Une belle planche passerait les 10 k€ sans pb.

Reste à voir qui a acheté : collectionneur ou marchand ?
¨
Prochaine en décembre , on verra si ça part , et à quel prix ?

comme souvent lors de ces ventes au sein de cette maison il y avait beaucoup de marchands en salle ou représentés qui ont été actifs
pour en revenir au marché baissier évoqué par bon nombre un auteur apprécié et vénéré de ce forum à lui beaucoup vendus depuis 3 ans à des prix entre 2000 et 30000 euros et va encore s'exposer demain pour votre plaisir .
Moebius renoue avec Arzak
25 novembre 2009





Cette bande muette est devenue mythique, dès le lancement de Métal Hurlant. Jean Giraud/Moebius publie des nouvelles aventures de ce héros atypique dans un album étourdissant. Une exposition-vente d’originaux aura d’ailleurs lieu ce vendredi 27 novembre.





Arzach ... Harzac... Harzach... Harzack… Tel un cri dans la nuit, déchirant à pleines pages les premiers numéros de Métal Hurlant, ce personnage muet [1] évoluant dans des univers fantastiques imprima durablement la signature de Moebius dans l’esprit des lecteurs. Bien sûr, Jean Giraud avait déjà réalisé de courts récits plutôt innovants sous le nom de son double, mais ce délire graphique prouva, il y a près de trente-cinq ans, qu’on pouvait faire de la bande dessinée autrement, tout simplement.

En deux mots, il s’agit de quatre histoires de huit pages chacune, véritables tableaux, présentant un humanoïde volant sur un grand ancêtre de la mouette à béton de l’Incal. Confronté à diverses situations, le personnage qu’on suppose nommer Arzach, réagit avec détachement tout en cherchant son bénéfice propre. La bande est muette, mis à part le « dernier » récit, étrangement sexué, et dans laquelle on nomme le "héros". Ce nom change d’ailleurs dans son orthographe au travers des différentes histoires, graphiquement éclaté sur la première planche, imprimant sans doute déjà la volonté d’un perpétuel changement.

Cité encore régulièrement comme une des œuvres majeures du maître, salué internationalement, Arzach ne connut pourtant pas de suite [2]. Comment tirer indéfiniment ce fil narratif sans se répéter ? Une gageure que n’entreprit pas directement un des auteurs les plus innovants du genre. Pourtant, un collectif de dessinateurs lui rendit encore hommage en 1994 au travers d’Arzach Made in USA, et une série de courts-métrages adapta également le personnage imperturbable.

En constante recherche sur son travail, désirant toujours atteindre son public tout en poursuivant ses innovations, Moebius publie donc une nouvelle vision d’Arzak. Il s’agit d’une bande dessinée d’une centaine de pages, mais dont les dialogues et récitatifs ne sont pas intégrés aux planches. L’album se construit avec les textes sur la page de gauche, accompagné d’un dessin mettant en exergue un détail de la planche complète située sur la page de droite.


Cette construction a de quoi déconcerter, surtout que les planches paraissent parfois composées pour recevoir des phylactères, mais en s’affranchissant ainsi des limites d’insertion des textes, Moebius peut à volonté inonder le lecteur d’informations, alors que certaines autres pages sont presque dénuées d’explications. Graphiquement, le style oscille une fois de plus entre une ligne épurée, et une multitude de détails, dont les fameuses hachures tant appréciées ou les déserts s’étendant à l’infini. Toutefois, le style est moins fouillé que ce qu’on avait pu voir précédemment dans le Chasseur Déprime.

On pénètre rapidement dans ce nouveau ballet poétique de Moebius, le regard passant d’une page à l’autre de ce petit format, permettant de s’attarder sur les détails graphiques ou les explications scénaristiques. Bien sûr, le voile se lève rapidement sur le personnage principal, son rôle dans les cieux de cette planète, ainsi que sur sa drôle de monture qui ne bat plus des ailes, mais si on enlève ainsi une part du rêve, la construction de l’univers fantastique nous replace dans les carcans de Moebius : Major Fatal, l’Homme du Ciguri, mais aussi les nombreuses illustrations et courts récits qu’il nous a livrés.


Introduit par Charles Berberian ce premier tome sera suivi de deux autres volumes formant la globalité de ce nouveau récit ! Destination Tassili est donc décliné en une première version noire et blanche de trois mille exemplaires, dite « collector », dont cinq cents exemplaires seront tamponnés d’un dessin, numérotés, signés et accompagnés d’un ex-libris. Cette première mouture sera suivie d’un tirage couleur pour 2010.

Pour lancer en grandes pompes cette nouvelle série, Moebius réalise une exposition-vente éphémère de cinquante originaux, qui ne se déroulera que ce vendredi 27 novembre. Les amateurs pourront bien entendu acquérir Destination Tassali lors de cette exposition.

Avec ce nouvel Arzak, Moebius prouve une nouvelle fois qu’il peut perpétuellement réinventer son travail. La trame de ce premier tome est commune et fidèle à l’esprit de ses travaux précédents, mais c’est surtout l’occasion de pouvoir profiter une fois de plus de son trait inimitable. Les amateurs pourront s’y jeter les yeux fermés, le grand public grognera en réclamant plutôt la suite de Blueberry, mais quand Moebius se fait plaisir, pourquoi bouder le nôtre ?


L’exposition-vente se déroule ce vendredi 27 novembre de 9 à 22h, au 103, rue de Grenelle à 75007 Paris.

Plus d’informations sur le site de Moebius

[Yoda33]

Y a pas un modo là ?

[fluoxet]

doublon

[fluoxet]

non rien

[collectionman]

des exemples? Ce serait intéressant pour décourager les spéculateurs...

quelques uns au choix :

- la couv de Timour (Francisque et cimetère) : vendue à l'époque à 2.500 + frais chez Scriptura
- la couv d'Alix , scène assaut du Sphinx d'or , vendue à l'époque chez Horta plus cher que chez Artcu
- l'ensemble Macherot pour Opération chèvrefeuille avec sa couv , vendu chez Horta dans les 20 k TTC

le marché des originaux est baissier voir sensiblement baissier POUR QUELQUES FUNESTES FORUMEURS mais d'un autre coté encore un exemple de la bonne santé des originaux de qualité ....
1 million de dollars pour le Conan de Frazetta ! L'illustration originale de Conan le Conquérant s'est vendue à 1 million de dollars, a annoncé Spectrumfantasticart.com

[collectionman]

des exemples? Ce serait intéressant pour décourager les spéculateurs...

quelques uns au choix :

- la couv de Timour (Francisque et cimetère) : vendue à l'époque à 2.500 + frais chez Scriptura
- la couv d'Alix , scène assaut du Sphinx d'or , vendue à l'époque chez Horta plus cher que chez Artcu
- l'ensemble Macherot pour Opération chèvrefeuille avec sa couv , vendu chez Horta dans les 20 k TTC

le marché des originaux est baissier voir sensiblement baissier POUR QUELQUES FUNESTES FORUMEURS mais d'un autre coté encore un exemple de la bonne santé des originaux de qualité ....
1 million de dollars pour le Conan de Frazetta ! L'illustration originale de Conan le Conquérant s'est vendue à 1 million de dollars, a annoncé Spectrumfantasticart.com

FRAZETTA PAINTING SELLS FOR $1 MILLION

Grand Master Frank Frazetta's cover painting for the Lancer paperback, Conan the Conqueror by Robert E. Howard, sold this week to a private collector for a reported $1,000,000.

[collectionman]

le marché des originaux est baissier voir sensiblement baissier POUR QUELQUES FUNESTES FORUMEURS mais d'un autre coté encore un exemple de la bonne santé des originaux de qualité ....
1 million de dollars pour le Conan de Frazetta ! L'illustration originale de Conan le Conquérant s'est vendue à 1 million de dollars, a annoncé Spectrumfantasticart.com[/quote]

FRAZETTA PAINTING SELLS FOR $1 MILLION

Grand Master Frank Frazetta's cover painting for the Lancer paperback, Conan the Conqueror by Robert E. Howard, sold this week to a private collector for a reported $1,000,000.

[/quote]

FRAZETTA PAINTING SELLS FOR $1 MILLION
2009-11-14


Conan the Conqueror by Frank Frazetta






Frank Frazetta
Grand Master Frank Frazetta's cover painting for the Lancer paperback, Conan the Conqueror by Robert E. Howard, sold this week to a private collector for a reported $1,000,000. The previous record price for a Frazetta painting was the $251,000 All Star Auctions fetched for the cover to Escape on Venus by Edgar Rice Burroughs in 2008.

There has always been something of a mystique surrounding Frazetta's Conan covers; partly because they were the "first" successful Conan paperbacks and the first exposure to the character for the Baby Boomer generation of readers; partly because Frank got the assignment at the time when his painting skills had improved significantly and he felt he had something to prove; partly because the Frazettas had kept all of the Conan covers for the last 40-odd years (except for Conan of Aquilonia, which was stolen from Lancer's office when the publisher went bankrupt). Burroughs and Vampirella paintings came and went, but Frank and Ellie wouldn't even entertain offers from interested buyers for the Conans.

The covers only rarely followed Howard's descriptions or story situations and when asked if he had ever read the books Frank recently replied, "I didn¹t read any of it. It was too opposite of what I do. I told them that. So, I drew him my way. It was really rugged. And it caught on. I didn't care about what people thought. People who bought the books never complained about it. They probably didn¹t read them."



A little Frazetta swagger decades after the fact, but he was genuinely excited by the opportunity at the time (and relied on friend Roy Krenkel to feed him descriptions and plot summaries) and it shows in the resulting covers – with Conan the Conqueror perhaps the penultimate painting in the canon.

And, yes, people did read the books.

All of the Conan covers have been displayed at the Frazetta Museum in East Stroudsburg over the last decade. Whether the others will be offered for sale in the future isn't known at this time.

[the moka]

punaise, on a trouvé l'équivalent masculin de margo niveau nombre de posts/minute et monologue

je ne fais que passer, je regardais les résultats d'une ou deux pièces, je vous laisse avec cet interlocuteur passionnant

[stephane_]

punaise, on a trouvé l'équivalent masculin de margo niveau nombre de posts/minute et monologue

je ne fais que passer, je regardais les résultats d'une ou deux pièces, je vous laisse avec cet interlocuteur passionnant

A ce propos, si un modérateur pouvait lui faire suivre le même chemin, ce serait sympa pour tout le monde.

[danielsansespace]

j'ai presque une page complète de messages en mode ignoré...

[Philemon]

je ne fais que passer, je regardais les résultats d'une ou deux pièces, je vous laisse avec cet interlocuteur passionnant

Et tu as trouvé ton bonheur ?

[bluebandco]

je ne fais que passer, je regardais les résultats d'une ou deux pièces, je vous laisse avec cet interlocuteur passionnant

Et tu as trouvé ton bonheur ?

Moi oui !! Avec son avatar !

[ombre jaune]

Ma parole, il est atteint de logorrhée aigue, c'est pas possible

[LEAUTAUD]

Collectionman , où as-tu mis tes lunettes ?
Ce qui a été vendu à un collectionneur privé ( et apparemment pas aux enchères , donc vente invérifiable) n'est pas un original de bande dessinée , il s'agit d'une peinture de Frazetta qui a servi à l'illustration de couverture d'un roman de Conan !

Ah ! La peinture ! vaste domaine , énormes enjeux financiers , tu devrais aller y faire un tour , histoire d'aérer le topic !

[collectionman]

Collectionman , où as-tu mis tes lunettes ?
Ce qui a été vendu à un collectionneur privé ( et apparemment pas aux enchères , donc vente invérifiable) n'est pas un original de bande dessinée , il s'agit d'une peinture de Frazetta qui a servi à l'illustration de couverture d'un roman de Conan !

Ah ! La peinture ! vaste domaine , énormes enjeux financiers , tu devrais aller y faire un tour , histoire d'aérer le topic !

il y a peu un frand auteur apprécié de ce forum s'est mis à faire des grandes peintures ( ex le lapin rose à 30000 euros .... vendu à une célèbre gallerie bruxelloise pour compte collectionneur ... alors oui la peinture vaste enjeu ahahahahahah
moi c'est pas ma came !!!!

[le flammend]

<

l'argent n'est pas imortante dans la vie , c'est fascille mais pas importante , si on vois ou et le bonheur c'est pas dans l'argent ....

Non, tu as raison. C'est d'ailleurs pour cela qu'en achat direct tu ne voulais pas descendre sous les 11000! Il est clair que lorsque l'on perd 2000 euros, on est toujours plus heureux. Si l'argent ne fais pas le bonheur, je ne savais pas qu'il faisait le malheur puisque tu sembles te réjouir de cette perte. Enfin, cela dépend surtout de ce que tu veux justifier. Plus haut, tu semblais te réjouir des bénéfices réalisés avec le titre des 7 boules en néerlandais. Comme quoi, comme disait Einstein: "tout est relatif"!

le premiere ma jamais payez , heureusement j'ai encore fait un echange avec ce joli case de dans

Marrant, ton mail après la vente disait qu'elle était bel et bien vendue. Alors, à quel moment as-tu menti???

1ire lesson de collectioné haut gamme origineaux BD
avoir de l'argent ( autrement les gents te dîtes beaucoup pour plus négatiez avec vous , on sent quand quelqu'un et curieux mais puisse pas payez ....)

je vois pas ou vient de dans la case et le titre ensemble, le titre j'ai seulement dîtes parceque Daniel demande une exemple ...

t'es toujour comme cela quand tu puisse pas achetez que tu veux , lol tu va avoir encore beaucoup d'amis dans le monde BD .....

pour une perte lol j'ai achetez il y a des années mes originaux de Hergé et Franquin donc faire un perte lol je pense pas

[syndicien]

Petit up, car collectpolutionman a un peu enterré ce message de vente aux enchères :

Une vente aux enchères pour financer la promotion de la BD au Québec

Cliquez sur l'image :
Simon Bossé
- Olivier Carpentier
- André-Philippe Côté
- Dominique Desbiens
- Michel Falardeau
- Fred Jourdain
- Thierry Labrosse
- Félix Laflamme
- Jacques Lamontagne
- Minikim
- Julien Paré-Sorel
- Michel Rabagliati
- Robert Rivard
- Yvon Roy

L’encan aura lieu le jeudi 3 décembre 2009, à partir de 19 heures, à la Galerie Attakus de Montréal.

Attention : pour miser, il faut réserver sa place en faisant la demande à promo9eart [at] gmail.com

La galerie Attakus est située au 5333 ave. Casgrain (Sixième étage) Montréal (Québec)

[bignemo]

il y a peu un frand auteur apprécié de ce forum s'est mis à faire des grandes peintures ( ex le lapin rose à 30000 euros .... vendu à une célèbre gallerie bruxelloise pour compte collectionneur ... alors oui la peinture vaste enjeu ahahahahahah
moi c'est pas ma came !!!![/quote]
a propos de came.........tu ferais bien d arreter de la fumer