J'ai vraiment beaucoup rigolé:
Christie’s a eu un coup de génie en intégrant le Salvator Mundi de Leonardo Da Vinci dans une vacation d’Art Contemporain
On comprend donc que la vente est elle-même devenue un véritable art contemporain.
Et le génie se mesure maintenant en biftons.
Les œuvres millionnaires sont désormais monnaie courante
Surperbe jeu de mots.
Mais le plus fort c'est ça:
dès 1990, toute une génération d’industriels désirant imprimer durablement leur présence dans leur pays respectif se sont mis à bâtir un nombre incroyable de musées d’art contemporain.
(...)
Le musée a désormais une vision industrielle de rentabilité, en répondant à cette question: combien faudra-t-il de temps pour un retour sur investissement ? Ce qui est le propre de l’Industrie Muséale® développée par Artprice.
A contrario, l’économie du spectacle vivant (...) met en évidence un différentiel de productivité (...). En effet, pour jouer une pièce de Molière, il fallait en 1664 deux heures et douze acteurs. En 2017, il faut toujours deux heures et douze comédiens : aucun gain de productivité en plus de trois siècles.
Comparer la rentabilité de l'art, je sais pas encore si c'est du génie mais il y a un véritable art comique. En plus ce n'est pas vrai, on fait rentrer beaucoup plus de spectateurs dans les stades, et multi-format de diffusion.
Et la démonstration qui compare au coût d'exploitation d'un A320:
le tableau de Leonardo Da Vinci, lui, est éternel et ne demandera pas un budget faramineux pour son entretien. Il prendra même de la valeur au fil des années. Des millions de personnes pour le voir apporteront leur contribution à travers la billetterie qui est un flux financier de cash, les produits dérivés, etc.
D'ailleurs je reprends l'info essentielle:
la billetterie est un flux financier de cash.