Olaf Le Bou a écrit:trop aléatoire et injuste une guerre mondiale.
Et traditionnellement suivi d'un boum de la natalité, surtout.
Cooltrane a écrit:C'est clair qu'avant d'arrêter l'élevage bovin, faudrait p-ê d'abord arrêter de foutre des bouches à nourrir comme pas possible sur cette planète...
Style: "on n'aura jamais assez de bouffe pour nourrir 13 milliards d'humains en 2050?"
- Réponse honnête et sans equivoque: et si on gardait la population à 7G, plutôt... ou mieux encore: la baisser à 6 ou 5G (les chinois nous ont montré que cela peut fonctionner assez rapidemment si tu ne fait pas 9h pour 1f
-réponse politoquardement correcte: on ne peut pas empêcher les gens de se reproduire comme ils le veulent (religion, etc...).
Ouiii, les politiques de l'enfant unique, un grand succès, comme chacun sait.
jcarreno a écrit:regarde comment un virus se comporte quand il infecte un corps. et regarde comment nous nous comportons jusqu'a present par rapport a notre planete. ne me dis pas que tu ne voit pas de similarites....
Bon c'est pas le seul message du genre mais ça tombe sur lui. "La planète", "la planète", "on détruit la planète", "il faut sauver la planète", "que la planète survive", etc. La planète, il y a peu de chance qu'on la détruise, hein, stricto sensu. Elle a tenu quatre milliards et demi d'années avant qu'on se pointe, avec des périodes où les conditions étaient mille fois pires que tout ce qu'on pourrait faire en mettant des Trump à la tête de tous les pays. Je ne dis pas ça par je-m'en-foutisme vis-à-vis de l'écologie, mais par attention au vocabulaire et à la rhétorique sous-jacente qu'il véhicule. Ce qui est en jeu pour le moment c'est la chute de la biodiversité d'une part et notre propre survie en tant qu'espèce à moyen terme. Mais le délire "il faudrait faire disparaître cette saloperie d'espèce humaine pour protéger notre bienveillante Mère Gaïa", merci bien, mais non merci.
Anianka a écrit:j'aime bien les politiques, qui disent qu'il faut faire campagne pour convaincre les US de rester dans les accords de Paris.
déjà que quand ils y étaient, ils n'en avaient rien a foutre, c'est pas en renégociant avec eux et en leur laissant plus de marge que ca va arranger les choses.
J'entendais un analyste ce matin à la radio qui remarquait qu'avec les lois mises en œuvre depuis le début de sa présidence Trump de toute façon était à contre-courant des Accords de Paris, et que mieux valait peut-être qu'il soit clairement à l'extérieur (là où on peut le montrer du doigt, en substance) qu'à pourrir les choses de l'intérieur. Le vrai enjeu étant de savoir s'il va en attirer d'autres ou pas par son exemple. Pour l'instant, la Chine (1er pollueur mondial) a surtout saisi l'occasion de faire la morale aux U.S.