Ah ben merde ! En effet, il va laisser un grand vide.
Quelle carrière étonnante, quelle œuvre puissante et variée ! L'humour de ses premières histoires n'avait jamais vraiment disparu, même s'il s'était un peu délayé dans le rythme imposé par la publication en journal où les lecteurs attendaient de lui plus de combats homériques chaque semaine. Et quel graphiste... un sens de la composition de l'image, des couleurs tout en finesse ou dans des contrastes osés, que l'on peut admirer dans les art-books.
Un succès complètement mérité.
Bye'cha, Akira-sensei.