fanche a écrit:Chuck Norris est mort?
xof 24 a écrit:Yves Renier ...78 ans. Le rôle du commissaire Moulin lui a longtemps collé à la peau.
xof 24 a écrit:Yves Renier ...78 ans. Le rôle du commissaire Moulin lui a longtemps collé à la peau.
jolan a écrit:xof 24 a écrit:Yves Renier ...78 ans. Le rôle du commissaire Moulin lui a longtemps collé à la peau.
Ca lui collait tellement à la peau qu'il se prenait un peu pour un flic et un "bonhomme" non ?
Je crois me rappeler d'interviews ou d'émissions où il se la jouait un peu viril.
jolan a écrit:xof 24 a écrit:Yves Renier ...78 ans. Le rôle du commissaire Moulin lui a longtemps collé à la peau.
Ca lui collait tellement à la peau qu'il se prenait un peu pour un flic et un "bonhomme" non ?
Je crois me rappeler d'interviews ou d'émissions où il se la jouait un peu viril.
Le Complot a écrit:jolan a écrit:xof 24 a écrit:Yves Renier ...78 ans. Le rôle du commissaire Moulin lui a longtemps collé à la peau.
Ca lui collait tellement à la peau qu'il se prenait un peu pour un flic et un "bonhomme" non ?
Je crois me rappeler d'interviews ou d'émissions où il se la jouait un peu viril.
Superbe hommage
Pouffy a écrit:xof 24 a écrit:Yves Renier ...78 ans. Le rôle du commissaire Moulin lui a longtemps collé à la peau.
Je garde en mémoire l'excellent épisode intitulé "Les zombies"
goneinsane a écrit:- Christa Ludwig, 93, mezzo-soprano allemande considérée comme l'une des plus grandes voix de la deuxième moitié du 20ème siècle.
LEAUTAUD a écrit:Comme je venais de visionner ce soir "L'ouragan de la vengeance", un western de 1965 avec le jeune Jack Nicholson, je découvre que le metteur en scène, Monte Hellman, vient de disparaître cette semaine (91 ans).
Très bonne surprise ce film, encore dans la filiation hollywoodienne mais avec un traitement proche de Leone, décor crade et trognes réalistes, et surtout une lenteur étonnante entre les scènes d'actions.
Tarantino appréciait Monte Hellman, ce qui ne m'étonne pas.
euh... si vous le dites a écrit:
Sinon, plutôt que de traitement proche de Leone et pour rester chez les cinéastes italiens, je pointerais plutôt une filiation avec le cinéma d'Antonioni.
Je l'avais sous le coude sans avoir encore franchi le pas, ton post m'a assis devant. Et en effet, pour du radical, sur le fond comme dans la forme, c'en est ! J'imaginais un Tony Scott à la première : de quoi le rendre dingue (Meek's Cutoff, c'est beaucoup d'assez longs plans fixes) !euh... si vous le dites a écrit:Je n'ai plus retrouvé une telle radicalité dans l'approche du western chez un cinéaste depuis ses films, sauf peut-être dans le Meek's cutoff (La dernière piste) de Kelly Reichardt il y a quelques années.
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