wims a écrit:Mmmm... Autant la couv fait très Rosinski
Et si c'était Rosinski lui-même qui avait eu envie de peindre une belle couverture comme il a toujours adoré le faire ? Moi j'y vois plutôt une sorte de passage de relais, assortie de paternalisme bonhomme : on enrobe cette série par du vrai papa Rosinski mais c'est une suite illustrée par un digne "fils" du maître... Les deux forment ainsi une union combinée avec ce rappel graphique, en tête de gondole, qu'apprécient les fans.monsieur_potiron a écrit:Ensuite, je trouve très malhonnête de faire faire la couverture par Rosinski et le contenu de l'album par un autre.
Sûr que c'est pas du Crisse avec tout plein de dégradés...monsieur_potiron a écrit:Enfin, le contenu, franchement j'aime pas. On dirait de la BD du début des années 80. Couleurs bidons et dessins mal soignés.
D H T a écrit:Pour ma part, m'étant arrêté de suivre cette série après le n°30, je m'estime indulgent car d'autres se sont arrêtés bien avant. Je ne suis pas favorable à l'acharnement thérapeutique...
L'Art du dessin consiste plus à évoquer la réalité qu'à la représenter fidèlement. Si tu ressens une serpillère, c'est que le personnage est lessivé et essoré. Ce qui se conçoit après avoir été abattue par plusieurs gardes dans un corps à corps qui a dû être violent.Xcorion a écrit:la dernière case de la planche est d'une laideur sublime. Le "truc" entre les deux gardes "bimbos" qui doit être Kriss est constitué d'une serpillière noire pour les cheveux, d'un peu de rose pour les membres et d'un torchon blanc pour faire la tunique.
ça doit être chaud de dessiner les yeux fermés.
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