mallrat a écrit:c est pas une question de tenir la main pour moi.
Je trouve qu on avance pas dans les personnages, l univers.. mais aussi le sujet (en tout cas désigné comme tel par Gillen dans son intro) pour des moments poseurs. On parle peu de création.. quand même et plus de célibrité... et là autant les popstars étaient evidentes pour les 60's, 70's-80's-90's (zenith dans les 80's) autant aujourd hui.. si on parle de la vacuité de la célibrité.. il me semble qu on peut parier plus sur les célibrités qui ne doivent cette célibrité.. qu a leur célibrité (la Tv réalité mais aussi Kardashian, Hilton ou Trump).. et là justement pas question de créativité.
ur cette question de la célébrité avec des moments poseurs, je trouve que Zenith est plus intéressant pour le moment.
Non landers, il faut pas regretter.. c est une bonne série pour moi, elle pourrait etre bien plus interessante en allant à son sujet. Pour l instant on ne voit que les contours, la forme...
Alors je ne sais pas à quelle intro tu fais référence vu qu'il n'y a rien de tel dans le TPB en v.o., mais effectivement : si c'est la question de la création ou de la créativité qui t'intéresse seule, tu peux arrêter là, car ce n'est absolument pas le sujet de la série. Ou alors j'en serais très étonné, si Gillen dit effectivement le contraire, parce que ça n'est pas beaucoup plus évoqué dans la suite que dans ce premier tome. Le thème central est bien la célébrité (et en soi je ne vois pas en quoi le thème est moins "évident" aujourd'hui que dans les années 60 ou 80 ??), les "quinze minutes de gloire" envisagés comme pacte faustien, et sans doute plus encore la question des "fans", et du culte qu'ils/elles vouent à leurs idoles...
Ensuite, même si de mon point de vue je me garderais bien de dire qu'il ne se passe rien dans les numéros rassemblés pour le moment en VF, il est clair que ce premier tome pose surtout le cadre général. Certains évènements sont lancés, mais l'intrigue n'apparaît vraiment que par la suite (la fin du 2e tome devrait en étonner quelques-uns...).