Edit nexus : Je passe la réponse en spoiler
[spoiler]Waaaa, que de questions, parfois capillotractées il est vrai… Mais je me dois de m’efforcer d’y faire quelques réponses bien que parfois à l’emporte pièce :
Sur la situation géographique de Farkas : en effet, Farkas se trouve au Sud-est de la Capitale des Fils de la Terre, toutefois pour y parvenir l’armée des Hommes dû, pour finir ce long périple, emprunter le défilé qui y mène et auquel on ne peut accéder que plus loin au Sud pour finir par remonter plein nord sur la dernière centaine de kilomètres jusqu’à Farkas.
Pour ce qui est des nombreuses répétitions au sein du « chant d’Afénor », il s’agit d’une coquille de l’éditeur ; coquille qui n’est présente que sur la première édition et qui rend la lecture de cette page plus que douloureuse, aussi je remercie de tout cœur ceux qui ont malgré tout fait l’effort de la lire. Cette bévue a été réparée dans les tirages suivants.
Le vouvoiement est bien un signe de respect hiérarchique chez les Drekkars, Farder aurait donc bien dû tutoyer son subalterne d’écuyer (j’aurais pu broder en disant que le fameux Térac, bien qu’inférieur hiérarchiquement, est de si noble engeance que Farder se sente obligé de le vouvoyer mais non, ce n’est qu’une boulette de plus de notre part…).
Par contre, c’est effectivement le Justicar Farder qui dirige les opérations extérieures dans le premier tome. Il porte la tenue traditionnelle des Ecuyers dont le masque est un élément essentiel. Ses cheveux sont tenus par une barrette ou pic à cheveux dont la mode Drekkar raffole (mais il est vrai que dans le tome 2 Sékal arbore une barrette sensiblement ressemblante à celle que porte Farder dans le tome 1 et effectivement je comprend que cela ai pu prêter à confusion).
Pour ce qui est du mystérieux manipulateur qu’est Aïon, je ne puis trop vous en dire pour l’heure, si ce n’est que comme vous l’aurez remarqué, il est déjà cité dans le « testament de Brégor » qui est postérieur d’un millénaire aux faits qui se déroulent dans ce tome 2. Donc oui, le bougre n’est plus tout jeune.
Par contre il ne s’agit pas d’un des Riddraks que l’ont voit dans les deux planches d’apartés. Ces séquences symboliques trouveront leur dénouement dans le dernier tome.
Pour finir, sur le combat dantesque opposant Tarquain au Vénérable Dragon aux abords de Nilin, que dire de plus, si ce n’est qu’un chant glorifiera sans doute un jour l’exploit qui coûta la vie à l’héritier de la Famille d’Anoroer. Un sursaut d’héroïsme digne du sang royal qui coulait dans ses veines, soulignant encore une fois les prouesses dont furent capables ses aïeuls aux temps anciens.
Quoiqu’il en soit je ne puis que nous féliciter d’avoir des lecteurs aussi assidus que vous… Si ça continue on va être obligé de faire vraiment gaffe à ce qu’on raconte.
J’espère que les bonus du TT vous combleront, car vous y trouverez de nombreuses précisions historiques sur les Fils de la Terre et les Drekkars[/spoiler].