sergent latrique a écrit:En Indonésie, on rhabille les statues de femmes, les sirènes par exemple.
https://parismatch.be/actualites/societ ... -de-femmes
Et bientôt on mettra des slips aux chiens (il y en a déjà aux kangourous ) et des soutifs aux vaches.
sergent latrique a écrit:La resucée (NDLR remake) du film Intouchables a déclenché une polémique chez certains critiques américains. En effet, le rôle du handicapé (tenu par François Cluzet dans le film de Toledano et Nakache) est joué par un valide. Et ça : c'est mal
Les spectateurs n'en ont visiblement rien à faire car le film cartonne :
https://www.ouest-france.fr/culture/mal ... in-6174417
Comment expliquer que cantonner des acteurs à des rôles prédestinés, prémachés et uniquement correspondant à leur type racial, de morphologie, de nationalité ou autre est l'antithèse du jeu d'acteur ? Un gros ne sera joué que par un gros, un soldat que par un militaire, une malade mentale que par un aliénée sortie d'un vrai asile, James Bond par un agent secret, un curé pervers ou l'homme qui rétrécit par euh..
Le théâtre et le cinéma étant illusion et fiction, on ne peut pas exiger une vérité de documentaire. Dans cette veine, il faudra penser à ne plus produire non de science-fiction, en effet, la liste des acteurs extra terrestres disponibles est désespérément vide...
Savourons avec délice ce qu'on aurait pu manquer: extrait de la partie où Peters Sellers joue un acteur indien (hérésie !)
sergent latrique a écrit:En Indonésie, on rhabille les statues de femmes, les sirènes par exemple.
https://parismatch.be/actualites/societ ... -de-femmes
Et bientôt on mettra des slips aux chiens (il y en a déjà aux kangourous ) et des soutifs aux vaches.
sergent latrique a écrit:En Indonésie, on rhabille les statues de femmes, les sirènes par exemple.
https://parismatch.be/actualites/societ ... -de-femmes
Et bientôt on mettra des slips aux chiens (il y en a déjà aux kangourous ) et des soutifs aux vaches.
La tragique histoire du sucre aux États-Unis
Le sucre, dont les Américains abusent au quotidien dans leur alimentation, est le produit d’une histoire barbare. Sans l’esclavage, jamais l’industrie sucrière de Louisiane n’aurait pris l’envergure qu’elle a aujourd’hui. Encore aujourd’hui, ce passé façonne l’économie de l’État, ses institutions et sa vie sociale.
Pour l’essentiel, ces violences, ces tortures et ces morts prématurées ont été passées sous silence dans les manuels scolaires et les musées. Elles ont été édulcorées puis sont passées par la grande fabrique du folklore sudiste : le Sud romantique, la Cause perdue ...
rahoul a écrit:Pour l’essentiel, ces violences, ces tortures et ces morts prématurées ont été passées sous silence dans les manuels scolaires et les musées. Elles ont été édulcorées puis sont passées par la grande fabrique du folklore sudiste : le Sud romantique, la Cause perdue ...
fanche a écrit:C'est pour ça que j'ai toujours haï Autant en emporte le vent
rahoul a écrit:fanche a écrit:C'est pour ça que j'ai toujours haï Autant en emporte le vent
HBO t'a finalement entendu.
rahoul a écrit:fanche a écrit:C'est pour ça que j'ai toujours haï Autant en emporte le vent
HBO t'a finalement entendu.
Croaa a écrit:Haïr un film, c'est possible ça ? Ne pas aimer, soit... mais haïr...
Morti a écrit:Croaa a écrit:Haïr un film, c'est possible ça ? Ne pas aimer, soit... mais haïr...
Oui heuuu...détester, je peux comprendre mais avoir de la haine envers un film...
Morti a écrit:Croaa a écrit:Haïr un film, c'est possible ça ? Ne pas aimer, soit... mais haïr...
Oui heuuu...détester, je peux comprendre mais avoir de la haine envers un film...
Brian Addav a écrit: j'ai choisi un obscur film chino-mongolien qui durait des plombes. Et bien le perso principal, dans sa yourte, il avait exactement le même truc pendu au plafond à la con
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