Jusqu'à aujourd'hui, nous utilisons encore des langages des années 60, comme le JOVIAL, pour lequel les lignes de programme ne peuvent dépasser 80 colonnes (héritage des cartes perforées).
J'ai connu les consoles Atari, le ZX81, l'Oric Atmos, les CPC 464 et 6128, le C64, les MO5 et TO7 (avec le nano-réseau et la tortue LOGO), et en PC les Léanord SilZ II et SilZ 16, les Goupil, les Amstrad 1640 (mon premier ordi, avec lecteur disquette 5,25" et carte disque dur 20 Mo, auquel j'avais rajouté un lecteur disquette 3,5" 720 Ko !). Basic, GWBasic, Turbo Pascal, COBOL, PL1, Fortran, Prolog, LISP... Quasiment pas de C et ses dérivés.
En mainframe, l'IBM 360 (qui prenait une salle entière entre les différentes baies disques, bandes, et imprimantes), puis grande révolution, l'IBM 2003-115 (à peine plus gros qu'un distributeur de Coca). Les joies du JCL pour lancer les compilations (pas d'interface graphique, de souris, de drag & drop...)
sixann a écrit:The Maze Echo a écrit:sixann a écrit:Pour moi, rester jeune c'est :
- parler du "siècle dernier" pour tout ce qui date d'avant 2000 : un régal de voir les quarantenaires se sentir vieux !
Je préfère me référer au millénaire dernier, ça les calme encore plus
Heuuuu... tu sais que tu fais partie des "calmés ?!?
En fait, je me considère ni vieux ni jeune, mais comme dit plus haut, je suis un geek, je ne vieillis donc pas, je gagne un niveau
Je me contrefous de mon âge, l'essentiel est de se sentir jeune dans sa tête. Cependant, discuter avec des collègues d'une certaine époque quand d'autres collègues nous regardent avec des yeux ronds, ça fait "private joke".