Olaf Le Bou a écrit:gougueule m'apprend que c'est normal, j'ai commencé et arrété la musique électronique avec Klaus Schulze, j'ai plus que des lacunes dans le domaine.
J’aimais bien Klaus Schulze, moi..... J’ai encore les vinyle d’ailleurs.... en pressage Deutsche Grammophon .....
LEAUTAUD a écrit:Ah! Zappy Max ! Un Michel Drucker à la puissance mille en notoriété, car à l'époque c'était la radio qui primait dans TOUS les foyers (y'avait peu de postes de télé). La France entière écoutait le Quitte ou double.
Le Zappy je l'ai vu un jour sur une estrade qui testait la sono pour une animation dans une zone commerciale de Montpellier en...1967 ! Très fringuant, esquissant un pas de danse, le latin lover quadra, quoi !
Comme Morti, (dont je suis un contemporain °), j'étais fan de "ça va bouillir" et de la lutte de Zappy contre le Tonneau (Tilllieux aimait aussi ce feuilleton déjanté, j'ai acheté son album dés sa sortie).
Dans ma bibliothèque, j'ai bien sûr sa bio dédicacée, et une photo dédicacée, qui voisinent avec les bouquins dédicacés de Lucien Jeunesse, Roger Lanzac, et leurs successeurs tel Lucien Bozon, etc...tous ces animateurs "bon enfant" que j'aimais à retrouver.
Parallèlement à Cassius il a aussi une longue carrière en tant qu'ingénieur du son pour une flopée d'artiste, de MC Solaar à Cat Power en passant par les Beastie Boys, Phoenix et M entre autres.
corbulon a écrit:Sinon je pense que ce titre de Cassius est sûrement plus évocateur, enfin au moins pour les aficionados de Couleur3 du siècle dernier :
j'ai difficile à considérer ce genre de truc comme de la musique... Commercialisable qui plus est.
euh... si vous le dites a écrit:
Olaf Le Bou a écrit:
Bolt a écrit:
Karzak a écrit:Cassius, tellement juste, tellement novateur ...
Je veux bien comprendre que tu as adoré leurs morceaux, mais on ne va pas s'emballer non plus sur ce qu'ils ont apporté. Quand je pense à ce que le monde musical a perdu ces dernières années, je pense à Susumu Yokota, Jaki Liebezeit, Zbigniew Karkowski, Pauline Oliveros, Tod Dockstader ou plus récemment Scott Walker.
le dernier, vaguement de nom, sinon jamais entendu parler non plus d'aucun de tous ceux là
Liebezeit, c'était un des membres de Can.
Comme Olaf, à part Scott Walker ... Et comme lui aussi, je dois dire qu'à partir des 80's, je décroche du "rock électronique", que ce soit Tomita, Tangerine Dream JM Jarre, Schulze, White Noise, et d'auttre trucs moins connus
et bien sur Liebezet, mais j'ai pas trop suivi l'après Can (un peu Czukay, mais c'est tout)
Mieux vaut tapis Persan volé que tapis volant percé (Uderzo.... et oui, pas Goscinny)
Je viens d'apprendre ça... ça fait tôt, hein... pffff... gâchis !...
Ha le Cassius 1999 ! Mais je me souviens aussi de Motorbass et toute la période qui a suivi jusqu'au début des années 2000, j'ai du décrocher après l'album de 2006 je crois... Avec Etienne de Crécy, Alex Gopher... ha la la... Et Air et Soulwax, aussi !... Que de souvenirs de "ma" période "2 many DJ's"... et les rave... Nostalgie, d'un coup... J'y retourne... obligé !
Olaf Le Bou a écrit:gougueule m'apprend que c'est normal, j'ai commencé et arrété la musique électronique avec Klaus Schulze, j'ai plus que des lacunes dans le domaine.
Je me suis arrêté à Marcel Amont moi !
Un bon Tapon est un Tapon mort !...Héron,Héron petit, pas Tapon !
Olaf Le Bou a écrit:gougueule m'apprend que c'est normal, j'ai commencé et arrété la musique électronique avec Klaus Schulze, j'ai plus que des lacunes dans le domaine.
Je me suis arrêté à Marcel Amont moi !
c'est toujours mieux qu'avoir commencé avec Pierre Laval
Prenez un cercle, caressez-le, il deviendra vicieux
En toutes choses, subordonner le désir de juger au devoir de comprendre.
Cooltrane a écrit: j'ai difficile à considérer ce genre de truc comme de la musique... Commercialisable qui plus est.
Sans vouloir créer un interminable débat, je pense que tu peux ne pas apprécier la musique électro, house, techno, french touch. Mais lui renier la qualité même de musique ?
"Vous pouvez parler en toute franchise. Pour faire court, vous êtes ici chez les salopards, hein, c'est admis. On n'a pas des idées bien jojos et on n’a pas peur de le dire ! On fomente, on renégate, on laisse libre cours à notre fantaisie..."
Curieusement, ce sont des scènes où son visage est caché que son nom m'évoque immédiatement.
Elle est le masque blanc à la présence envoûtante dans Les yeux sans visage de Franju :
Et participe au "bal des oiseaux" dans la scène emblématique de Judex. Elle y ôte quand même son masque et montre son visage à la toute fin de cet extrait :