nexus4 a écrit:Oui j'y ai repensé après avoir écrit le post ci-dessus.
Pour les personnages guerriers historiques, ils n'ont rien de super ou de divin.
Pour les saints ils n'ont rien de guerrier à part Saint Georges (mais je ne sais plus où est le divin dans son histoire, ca fait bien longtemps ma bonne dame ) et peut être une poignée d'inconnus.
Je crois que pour étiqueter un super-héros dans les mythes anciens, il faudrait les deux valeurs : Le guerrier (héros) et le divin (super) -ou la magie c'est tout comme. Donc depuis Lancelot (qui est un green lantern) j'ai rien qui me vient à l'esprit. Par contre on a des super-vilains au 19e comme le monstre de Frankenstein, Jekill et Hyde ou Dorian Gray ou même le joueur de flute. Mais de super-héros, point.
nexus4 a écrit:Humm. Dans ta vision on a l'impression que tous les héros, légendaires ou pas, sont super
nexus4 a écrit:Bon, Alex, et mon 9/11 ?
nexus4 a écrit:Humm. Dans ta vision on a l'impression que tous les héros, légendaires ou pas, sont super.
D H T a écrit:La question se pose toujours de savoir si le mythe du super-héros a encore un sens aujourd'hui, voire des perspectives d'avenir. Vu le désabusement qui caractérise notre époque, on serait tenté de dire que DC et Marvel sont à bout de souffle, d'autant que c'est une industrie qui a tiré sur la corde tant qu'elle a pu. On voit les adaptations de comics au grand écran défiler les unes après les autres, avec plus ou moins de crédibilité (plutôt moins que plus dans l'ensemble), c'est le stade du recyclage...
Après tout, puisqu'on parle de mythologie, si le temps du panthéon grec et latin est passé, on peut supposer que celui de Superman et de Captain America passera lui aussi. A partir de là, par quoi le remplacer? Par un super-héroïsme métaphysique, un mono-super-héroïsme, par opposition au poly-super-héroïsme encore d'actualité? Il n'y qu'Un seul super-héros au bout du compte: Il est partout, et Il est invisible. On y croirait ou pas.
nexus4 a écrit:Certes, mais Watchmen et Dark Night (ou Akira dans un autre contexte) furent tout de suite identifiés comme révolutionnaires. Pour ma part j'ai pas attendu qu'on me le dise 5 ans après pour m'en rendre compte.
nexus4 a écrit: La je ne vois pas de grosse claque récente. Peut etre Black summer pour moi mais ce n'est pas un avis très partagé et je ne sais pas ce que ca pourrait redéfinir comme genre.
D H T a écrit:La question se pose toujours de savoir si le mythe du super-héros a encore un sens aujourd'hui, voire des perspectives d'avenir. Vu le désabusement qui caractérise notre époque, on serait tenté de dire que DC et Marvel sont à bout de souffle, d'autant que c'est une industrie qui a tiré sur la corde tant qu'elle a pu. On voit les adaptations de comics au grand écran défiler les unes après les autres, avec plus ou moins de crédibilité (plutôt moins que plus dans l'ensemble), c'est le stade du recyclage...
Après tout, puisqu'on parle de mythologie, si le temps du panthéon grec et latin est passé, on peut supposer que celui de Superman et de Captain America passera lui aussi. A partir de là, par quoi le remplacer? Par un super-héroïsme métaphysique, un mono-super-héroïsme, par opposition au poly-super-héroïsme encore d'actualité? Il n'y qu'Un seul super-héros au bout du compte: Il est partout, et Il est invisible. On y croirait ou pas.
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