LA PREVIEW !!
Le dernier frère Dalton n’a pas dit son dernier mot…
Emmett Dalton n’est plus un criminel depuis longtemps, il mène désormais une existence discrète aux côtés de son épouse Julia. À la sortie du film qui retrace l’histoire du célèbre gang, le producteur John Tackett lui propose un nouveau départ sous le soleil californien. Mais Emmett ne montre pas un grand intérêt pour ce faste. Certes, il jouit d’une certaine notoriété car le film a eu un succès retentissant, mais ce qui lui tient à cœur reste la véritable histoire des Dalton. Si un nouveau projet voit le jour, il veut plus d’objectivité, pas question de biaiser la réalité ou de bafouer l’honneur des hommes qu’il a côtoyés durant la conquête de l'Ouest. Mais le cinéma est avide d’action, quand Emmett dénonce l’injustice et la misère. Alors, sous le soleil d’Hollywood, l’ancien braqueur regarde ailleurs… Nous sommes en 1922 et contre toute attente, il va opérer une reconversion surprenante sans jamais cesser d’écrire son histoire. C’est peut-être à travers l’écriture qu’il arrivera à pérenniser la mémoire de toute la fratrie…
Traversé par des flashbacks qui nous dévoilent les folles aventures de Bill, Gratt et Bob, ce récit authentique nous livre un portrait touchant du plus légendaire bandit sur fond d’une Amérique qui se modernise. Magnifiquement porté par le dessin d’Emmanuel Bazin, le dernier tome de ce diptyque permet encore une fois à Antoine Ozanam de creuser en profondeur la psychologie de ses personnages et de signer un Western réaliste, dur et mélancolique.
LA PREVIEW :
« Qui nous sommes vraiment, nous les Dalton ».
1908. Oklahoma. Emmett Dalton n’est plus un criminel depuis longtemps. Il a payé sa dette à la société, il se contente d’une existence discrète et tente même parfois de visiter l’église pour prier – sans trop de succès pour cette dernière activité. Aussi lorsqu’un producteur de cinéma lui propose de participer à l’écriture d’un film consacré aux méfaits de sa légendaire fratrie, il se méfie, refuse, puis réalise finalement qu’une chance lui est offerte : évacuer le mythe, rétablir un semblant de vérité et sauver la réputation de sa famille. Les quatre frères Dalton ne sont pas nés hors-la-loi. Au contraire ! Ils ont tous endossé le rôle de Marshal à l’aube de leurs carrières, et c’est n’est pas de plein gré qu’ils ont plus tard embrassé des vies de fugitifs... Qui d’autre qu’Emmett, seul survivant, pour déterrer ces douloureux souvenirs et conter sans hypocrisie la véritable histoire des Dalton.Récit ancré dans une Amérique qui regarde le Far West comme une époque quasi révolue, Mauvaise Réputation renoue avec les habitudes d’un Western réaliste, dur et mélancolique. Il dépeint un Ouest américain démythifié où la violence et le chaos, bien qu’inévitables, ne sont jamais exagérés ou glorifiés. Magnifiquement porté par le dessin d’Emmanuel Bazin – quelque part entre Edward Hopper et Mathieu Bonhomme – Antoine Ozanam creuse en profondeur la psychologie de ses personnages et livre un récit subtil et touchant.
Sublime couverture pour cet album d'Antoine Ozanam et Emmanuel Bazin, à paraître le 2 juin prochain chez Glénat (72 p. - 15,50 €) !
Après Lucky Luke revisité, voici les Dalton...
" Qui nous sommes vraiment, nous les Dalton ". 1908. Oklahoma. Emmett Dalton n'est plus un criminel depuis longtemps. Il a payé sa dette à la société, il se contente d'une existence discrète et tente même parfois de visiter l'église pour prier - sans trop de succès pour cette dernière activité. Aussi lorsqu'un producteur de cinéma lui propose de participer à l'écriture d'un film consacré aux méfaits de sa légendaire fratrie, il se méfie, refuse, puis réalise finalement qu'une chance lui est offerte : évacuer le mythe, rétablir un semblant de vérité et sauver la réputation de sa famille.
Les quatre frères Dalton ne sont pas nés hors-la-loi. Au contraire ! Ils ont tous endossé le rôle de Marshal à l'aube de leurs carrières, et c'est n'est pas de plein gré qu'ils ont plus tard embrassé des vies de fugitifs... Qui d'autre qu'Emmett, seul survivant, pour déterrer ces douloureux souvenirs et conter sans hypocrisie la véritable histoire des Dalton.