toque a écrit:Le saviez vous ?
La noix de coco tue plus que le requin.
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Bon sinon y'en a un qui s'est sacrifié et qui a écouté notre bon président ? C'était aussi inutile et nul qu'attendu ?
toque a écrit:Bon sinon y'en a un qui s'est sacrifié et qui a écouté notre bon président ? C'était aussi inutile et nul qu'attendu ?
fanche a écrit:C'est la réserve d'électeurs de droite
on oppose au président une personnalité plus à gauche que lui et une autre plus à droite (assurée du soutien de Gilles Bouleau). Ainsi, Emmanuel Macron apparaît comme un modéré, au centre de l’échiquier politique. Et aussi comme le seul à disposer des pouvoirs exécutifs et législatifs : « Je ne vais pas nationaliser Arcelor », dit-il, comme si cela était en son pouvoir. En revanche, pour supprimer le statut de certains fonctionnaires, comme le lui demande Agnès Verdier-Molinié, c’est « oui ».
Robert Ménard se plaint d’avoir été condamné pour avoir refusé de marier une femme à un homme sous le coup d’une OQTF (obligation de quitter le territoire français), Gilles Bouleau le soutient, jugeant la « situation ubuesque », et Emmanuel Macron donne raison au maire de Béziers, lui promettant une loi. Sur le réseau Bluesky, le juriste et professeur de droit public Serge Slama commente : « Le président de la République, gardien de la Constitution, souhaite qu’une proposition de loi inconstitutionnelle — qui empêcherait un étranger en séjour irrégulier de se marier — soit débattue à l’Assemblée. » Ça ne dérange personne en plateau.
Anianka a écrit:Bayrou devant la commission d'enquête Bétharram
c'est bien déjà il est venu, mais j'attends le moment ou il va nous dire qu'il était pas au courant qu'il avait une fille.
edit : ca se confirme, en gros c'est
- vous êtes des méchants, tout le monde me veut du mal
- je me souviens pas de cette époque
- je connaissais rien de Bétharram
- j'ai pas de documents de l'époque
- j'ai jamais changé ma version
sacrée défense !
Bayrou a apporté "La meute", le livre sur Mélenchon et LFI en commission d'enquête. Petite provocation bien inutile du Premier ministre pour les victimes, tout en hurlant à l'instrumentalisation politique de l'affaire Bétharram par les Insoumis...
nexus4 a écrit:Lui peut-être pas, mais d'autres ont essayé, en disant que depuis Mélenchon était Ministre délégué à l'Enseignement professionnel et que lui non plus n'avait rien fait.![]()
Véridique.
Jean Luc Melenchon a été ministre délégué à la formation professionnelle de 2000 à 2002. Le complexe scolaire de Betharram ne dispose d’une section professionnelle que depuis…2009
nexus4 a écrit:Lui peut-être pas, mais d'autres ont essayé, en disant que depuis Mélenchon était Ministre délégué à l'Enseignement professionnel et que lui non plus n'avait rien fait.![]()
Véridique.
« Il s’agissait de me coincer pour m’obliger à démissionner », affirme François Bayrou devant la commission d’enquête
François Bayrou a considéré mercredi, devant la commission d’enquête parlementaire sur Bétharram, que son audition avait pour but de le « coincer » pour l’« obliger à démissionner ». « Vous ne m’avez interrogé que sur moi, sur ma responsabilité, sur ce que j’avais fait ou pas fait, sur le soupçon d’être intervenu – soupçon insupportable – dans l’affaire pour protéger des pédocriminels. Toute l’audition a tourné autour de ça », a expliqué le premier ministre après environ cinq heures d’audition.
« J’aurais voulu qu’on laisse tomber le cas d’un supposé responsable politique indifférent, corrompu, dominer par une omerta… J’aurais préféré qu’on parle des victimes », a-t-il ajouté.
Pour Colette Capdevielle, députée et membre de la commission d’enquête, la prestation de François Bayrou est un « naufrage »
« Pour moi, c’est un naufrage », commente la députée Colette Capdevielle (socialistes et apparentés) au micro de La Chaîne parlementaire, à la faveur d’une deuxième suspension de séance après bientôt cinq heures d’audition du premier ministre sur l’affaire de Bétharram.
« Le premier ministre a renversé les rôles, accuse la commission de mal travailler », déplore-t-elle, dénonçant aussi les mises en cause par François Bayrou du corapporteur Paul Vannier. Pour elle, le locataire de Matignon se pose en « victime » et « ne répond pas aux questions qui lui sont posées ».
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