bdmaniak a écrit:Pourtant la précédente s'est jouée à 9 voix.
Peut-être que Pradié saura être plus décisif.
bdmaniak a écrit:Oui, la Macronie ne veut un vote que quand elle est certaine de l'emporter.
toine74 a écrit:bdmaniak a écrit:Oui, la Macronie ne veut un vote que quand elle est certaine de l'emporter.
Comme si c'était propre à un parti. C'est de la politique première année.
toine74 a écrit:Une élection, c'est différent d'une votation. Cela dit, se lancer quand les chiffres annoncent une défaite assurée, sauf pour des questions de positionnements stratégiques, ce n'est pas très malin politiquement.
toque a écrit:...
y'a pas une seule autre "démocratie" au monde ou cela se passe comme ça
toque a écrit:Le fait que ce soit légal c'est justement tout le problème.
toque a écrit:Je n'ai pas la prétention de connaitre tout les modèles, mais là il ne s'agit pas de choisir le timing d'un vote. Le vote n'a jamais eu lieu et il n'aura jamais lieu.
Et on ne parle pas d'un referendum, on n'en a pas vu la couleur depuis 20 ans (pour se torcher avec les résultats), on parle d'un vote des députés.
Les représentants de la nation sont majoritairement contre un texte qui sera malgré tout appliqué.
C'est quand même pas banal
toine74 a écrit:corbulon a écrit:
Avant, c'est quand ? Le 49.3, par exemple, date de 1958 (5e république) et a été utilisé par tous les gouvernements depuis. Le plus grand adepte ayant été Rocard.
toine74 a écrit:toque a écrit:...
y'a pas une seule autre "démocratie" au monde ou cela se passe comme ça
Je ne serais pas aussi certain .
Ici, au Canada (fédéral et provincial confondu), c'est le parti ayant le pouvoir qui décide de la date des élections. Il y a bien une loi imposant une date fixe pour les élections, mais elle a toujours été contournée d'une manière ou d'une autre depuis son adoption.
Plus près de la France, en Suisse, les élections sont bien à date fixe. Pour ce qui est des référendum et initiatives populaires, c'est le Conseil Fédéral (l’exécutif) qui décide de quoi et quand les citoyens vont se prononcer. Suivant les sujets, une votation plus critique est facilement reportée ou avancée suivant l'humeur sociale du moment. (bon, le système est tellement compliqué au départ que la comparaison est délicate).
Sinon, on peut aussi parler de l'Italie ou d'Israël où l'incurie généralisée multiplie les appels aux urnes. Bref, qui décide de quoi et quand, c'est assez variable.
toque a écrit:Le fait que ce soit légal c'est justement tout le problème.
corbulon a écrit:Bon après la gauche a eu l’occasion de changer la donne et ne l’a pas fait. Mais ça va être coton pour vous de sortir de ce culte de la verticalité, qui touche quand même tous les gros partis.
toine74 a écrit:toque a écrit:...
y'a pas une seule autre "démocratie" au monde ou cela se passe comme ça
Je ne serais pas aussi certain .
Ici, au Canada (fédéral et provincial confondu), c'est le parti ayant le pouvoir qui décide de la date des élections. Il y a bien une loi imposant une date fixe pour les élections, mais elle a toujours été contournée d'une manière ou d'une autre depuis son adoption.
Plus près de la France, en Suisse, les élections sont bien à date fixe. Pour ce qui est des référendum et initiatives populaires, c'est le Conseil Fédéral (l’exécutif) qui décide de quoi et quand les citoyens vont se prononcer. Suivant les sujets, une votation plus critique est facilement reportée ou avancée suivant l'humeur sociale du moment. (bon, le système est tellement compliqué au départ que la comparaison est délicate).
Sinon, on peut aussi parler de l'Italie ou d'Israël où l'incurie généralisée multiplie les appels aux urnes. Bref, qui décide de quoi et quand, c'est assez variable.
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