Sauf que Zola et Balzac, on les trouve toujours dans les bacs et ça de lit toujours.
Alors que la plupart de ceux cités sont introuvables dans la plupart des librairies.
Pour jouer à l'érudit, mieux vaudrait citer quelques romans de chevalerie, Gil Blas de Santillane ou l'Astrée (celui là il est à la fois très long et très chiant ).
A part ça j'aime beaucoup les papiers de Joseph Ghosn (à noter qu'il fait ses adieux aux Inrocks) qui m'ont fait découvrir pas mal de trucs et savent aussi louer les classiques (il a souvent chroniqué les rééditions du moment : Isabelle, Clifton, Tif et Tondu).