Le FMI estime que le pic de la crise est peut-être derrière nous et qu'il faut avoir confiance, ce qui est censé rassurer tous les secteurs d'activité y compris les marchés culturels, l'édition, la BD, etc. Le problème c'est que le FMI je m'en méfie comme de la peste.
comme certains libraires et itinérants dans les salons, c'est plutôt le refrain "ma petite entreprise, connait pas la crise ..." :siffle: :siffle:
. Dommage, parce qu'on peut se dire que la surproduction permettait au moins à de jeunes auteurs de faire leurs armes...
Si les petits libraires s'en sortaient aussi bien que les Fnac et les grandes surfaces je serais ravi de l'apprendre...
Le FMI estime que le pic de la crise est peut-être derrière nous et qu'il faut avoir confiance, ce qui est censé rassurer tous les secteurs d'activité y compris les marchés culturels, l'édition, la BD, etc. Le problème c'est que le FMI je m'en méfie comme de la peste.
Vous ne pensez pas que moins de pognon pour des loisirs plus onéreux pousserait des lecteurs occasionnels à lire + de bd ?
Vous ne pensez pas que moins de pognon pour des loisirs plus onéreux pousserait des lecteurs occasionnels à lire + de bd ?
C'est pourquoi j'ai, très hypocritement, cité le mot bd dans mon messageLe sujet concerne les effets de la crise sur la bd, ne nous égarons pas trop.
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