Nestor B. a écrit: scénaristiquement, du Marini dans ses œuvres : du sang, du complot, de la baston et du Q, du Q
Pas l'album du siècle ni de l'année mais plaisant à lire, sans interrogation métaphysique
Très peu de Q dans ce tome, justement. Quelques cases amenées à déclencher des envies de vengeance, c'est tout... Il est clairement orienté violence et baston. Mais avec un sens épique de l'Histoire en marche. Il y a aussi son lot de question métaphysique : tuer le père, tuer le frère, tuer la fille, tuer le fils, on peut décliner ça....
Je me suis surpris justement en lisant ce tome à me demander si Marini ne finirait pas un des 4 matins grand Prix d'Angouleme.
Je renouvelle ma comparaison à Steven Spielberg et Raphael Marcello (pour donner 2 références de très reconnu et de sous-estimé).