Puisque tu demandes, je préfère vraiment la première version, plus brute, plus minimaliste. C'est bien plus lisible et totalement raccord avec le coté un peu bourrin de l'univers dans lequel évolue un petit être sensible, notre héros.
Même les reflets ne me semblent pas nécessaires. L'épaisseur de trait unique, c'est le secret, c'est là que tu mets ton talent au service de l'histoire, à savoir mettre de la profondeur de champ malgré tout. Pas donné à tout le monde. Peut-être, Hergé, Trondheim... mais sont pas de masses.
...et je mettrais bien une connerie sur l'immat.