Cooltrane a écrit:J'ai bien ch... en voyant que Matutine et Loups Des Mers avaient des formats assez différents...
Quel manque de réalisme économique et respect pour le lecteur (même si celui de l'auteur est respecté) ... j'ai presqu' envie de leur écrire qu'ils ont loupé DEUX ventes
JAUNE a écrit:Voilà, ils ont le même format, c'est juste que l'un des deux existe en version limitée en plus grand
JAUNE a écrit:ah oui si vous chipotez en terme de mm, ok, ce sont deux formats un chouïa différents, mais on s'en tape non?
JAUNE a écrit:Alors tu as eu la version limitée entre les mains, c'est tout, sinon les deux 'normaux' sont de taille quasi identiques, à quelques mm près...
Ceci étant même si ce n'était pas une version limitée, je vois pas en quoi ca aurait été du foutage de gueule, les éditions sont une collaboration éditeur/auteur, et donc un choix et une décision artistique/économique partagée.
Qu'importe le flacon pourvu qu'il y ait l'adresse...
stephane_ a écrit:Tiens, je croyais que l'important c'était de faire des bons livres.
Quand le contenant l'emporte sur le contenu, on touche à ce que les collectionneurs-maniaques ont de plus pathétique
Mr Degryse a écrit:Légère déception à la lecture de cette bd. Attention cela reste une très bonne bd mais à mes yeux pas un des musts de cette année. Peut être en attendais je trop? Je m'explique :
(...)
L'adaptation du roman de London est plutôt réussi. On retrouve la plupart des événements qui marquent le lecteur du roman. De plus, on a souvent le droit à la prose du célèbre romancier et cela fait du bien. Mais il y a malheureusement un mais qui n'est pas anodin pour moi.
(...)
Larsen est un personnage beaucoup moins lisse et à multiples facettes. C'est un peu le capitaine Nemo. Un monstre capable de laisser mourir ses hommes pour arriver à son but. C'est aussi un puits de science. Le narrateur ( qui est une vision du London Jeune)déteste cet homme autant que souvent il l'admire. Le narrateur est une personne assez lisse, puante symbole de la bourgeoisie de l'époque au début du récit. Sa rencontre avec Larsen va profondément le métamorphoser. Bien qu'il le refuse, Larsen devient une sorte de modèle de maître à penser.
Je trouve cet aspect particulièrement absente de la bd d'ou ma déception 4/5
le moine a écrit:En fait, il y a UN truc qui m'a gêné : la manière dont est dessiné Loup Larsen.
Je veux dire, ça va, on comprend en lisant le bouquin que c'est un mec mauvais, diabolique, machin, c'est pas la peine de lui faire une gueule aussi caricaturale, avec toujours un air de fou furieux sadique comme c'est pas permis. Le personnage y perd en complexité (c'est dommage : c'est un nihiliste pas con et le dessin lui donne des airs de gros allumé).[...].
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