Ou bien + ils gagnent de pognon (et la notoriété qui va avec) et - ils s'emmerdent à faire du détail ?

Pas sûr qu'on puisse résumer ça à simplicité, peut-être que l'idée de pureté du trait correspondrait mieux à une maitrise de l'art au fil du temps ?
Parce qu'il y a aussi sinon nombre d'exemples inverses où le dessin s'est complexifié au fil d'une série. Une que je viens de lire récemment : Amours fragiles. L'évolution du trait mais aussi des décors au fil des albums est hallucinante au point que quand on reprend le 1er tome après avoir lu le dernier le style est méconnaissable !