tom pouce a écrit:Il y a bien un ex-libris des éditions Dupuis pour ce tome 24, mais il n'est pas inséré dans l'album.
Il est gentiment distribué par certains libraires.
friks a écrit:J'ai opté pour la version documentée. J'ai trouvé l'histoire sympa, qui se lit plus vite que d'habitude car l'action y est plus présente. J'ai appris en fin de volume par Jean-Michel Ponzio que les détails poussés à l'extrême par Francq étaient dus à l'arrivée de la tablette graphique Cintiq dans la chaîne de production... C'est vrai que j'ai pensé à un moment qu'il devait dessiner hyper grand pour arriver à mettre autant de détails... Ben non, merci Cintiq...
Julien Despreux a écrit:friks a écrit:J'ai opté pour la version documentée. J'ai trouvé l'histoire sympa, qui se lit plus vite que d'habitude car l'action y est plus présente. J'ai appris en fin de volume par Jean-Michel Ponzio que les détails poussés à l'extrême par Francq étaient dus à l'arrivée de la tablette graphique Cintiq dans la chaîne de production... C'est vrai que j'ai pensé à un moment qu'il devait dessiner hyper grand pour arriver à mettre autant de détails... Ben non, merci Cintiq...
Le dossier de fin volume permet aussi de mieux comprendre l'évolution du scénario vers l'action, avec la logique financière moins prépondérante que dans les premiers diptyques signés JVH, puisque cela correspond à un travail de recherche minutieux de Francq avec des experts du vol suborbital.
pol a écrit:Julien Despreux a écrit:friks a écrit:J'ai opté pour la version documentée. J'ai trouvé l'histoire sympa, qui se lit plus vite que d'habitude car l'action y est plus présente. J'ai appris en fin de volume par Jean-Michel Ponzio que les détails poussés à l'extrême par Francq étaient dus à l'arrivée de la tablette graphique Cintiq dans la chaîne de production... C'est vrai que j'ai pensé à un moment qu'il devait dessiner hyper grand pour arriver à mettre autant de détails... Ben non, merci Cintiq...
Le dossier de fin volume permet aussi de mieux comprendre l'évolution du scénario vers l'action, avec la logique financière moins prépondérante que dans les premiers diptyques signés JVH, puisque cela correspond à un travail de recherche minutieux de Francq avec des experts du vol suborbital.
Ce qui m'a surpris, c'est l'absence totale de référence au travail d'Eric Giacometti dans ce dossier...
L'apparition du nom de Philippe Francq au scénario présage-t-il d'un prise en main totale de la série par le seul PF ?
ben27 a écrit:Je l'ai trouvé super ce diptyque, très bon moment de lecture. Francq est hallucinant sur les décors, véhicules etc., je le range dans les meilleurs dessinateurs réalistes. Ça fourmille de détails. Côté scénario on est au dessus du diptyque précédent. Il y a beaucoup d'action, peut être trop, ça se pose peu dans le récit mais on final ça fonctionne très bien. Du très grand mainstream.
Depuis que j'ai appris que Largo n'avait jamais entendu parler du trading haute fréquence, franchement la Haute finance ça m'en impose vachement moins...Elyho a écrit:quoiqu’on pense de ce message, il est quand même assez peu crédible dans le milieu de la haute finance.
Elyho a écrit:Ca y est, j’ai lu ce dernier tome avec le précédent où l’histoire commence.
J’ai été agréablement surpris car j’avais apprécié vraiment sans plus les premiers de Giacometti, où je trouvais que ça manquait de consistance.
Ici, on a une histoire vraiment bien construite, tout à fait actuelle, et surtout j’ai trouvé qu’on avait vraiment « l’esprit Largo Winch » (le côté taquin, bourrin et belles dentelles) par rapport aux précédents que je trouvais plus aseptisés. C’est sans doute mon diptyque préféré depuis au moins les 2 ou 3 derniers.
Le seul reproche que je lui ferais c’est qu’il porte un message très idéaliste (Largo a toujours été un idéaliste, mais ici davantage que d’habitude il me semble, on frôle la naïveté en pensant que ce que Largo a réussi à résoudre ne va pas recommencer dès qu’il aura le dos tourné; il aurait été plus inspiré de garder le contrôle sur l’affaire dont il est question ici) et, quoiqu’on pense de ce message, il est quand même assez peu crédible dans le milieu de la haute finance.
On notera cependant le travail de documentation qui est très solide, et le dessin de Francq qui est somptueux, presque meilleur lui aussi de ce que j’en avais dans mes souvenirs des tomes précédents. Alors que les dessinateurs de très longues séries ont tendance à simplifier leur trait au fil de la série, après les 10-15 premiers tomes, ici Francq nous livre des planches bourrées de détails. La couleur est parfaite aussi.
Rigolo la petite référence à Musk, bien que les auteurs prennent ici beaucoup de libertés.
[Wiki] a écrit:J'ai l'impression d'être le seul à avoir été déçu par ce dyptique.
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