onehmouninehl a écrit:Mais à la base (et historiquement), le terme "roman graphique" est quand même là pour marquer le mépris par rapport à la BD traditionnelle... Et tout aussi historiquement, le premier bénéficiaire de ce titre (Art Spiegelman - avec "Maus") est un adorateur et connaisseur des BD classiques... Comme quoi...
Fan historian Richard Kyle coined the term "graphic novel" in an essay in the November 1964 issue of the comics fanzine Capa-Alpha.[
nexus4 a écrit:Sans cliquer sur le lien, pour moi c'est Will Eisner qui avait inventé le terme pour qualifier l'un de ses ouvrage, je sais plus lequel. Aller, je clique sur le lien voir si j'ai bon.
Edit :
Charlus a écrit:dédolé mais je comprends toujours pas où est le "mépris". Et je reste persuadé que ceux qui utilisent aujourd'hui le terme de "roman graphique" ne veulent pas spécialement se donner un genre.
nexus4 a écrit:Charlus a écrit:dédolé mais je comprends toujours pas où est le "mépris". Et je reste persuadé que ceux qui utilisent aujourd'hui le terme de "roman graphique" ne veulent pas spécialement se donner un genre.
Quand je disais que c'était insupportable, c'est le tout. Le ton sentencieux, les silences calculés, le "Il n'est pas à sa place ici", la fille qui s"écoute parler à égrener des vacuités, cet entre soi... "Roman graphique" n'est qu'un épiphénomène dans ce déluge de Culture.
kilfou a écrit:Deux entretiens chez du9 (le second est terrifiant d'émotion je trouve)
http://www.du9.org/entretien/ecouter-alan
http://www.du9.org/entretien/dessiner-alan/
J'avoue que je n'ai pas été conquis par ce dernier (?) volet...chris24 a écrit:A suivre avec la lecture des deux autres de la série sur son enfance et Martha.
chris24 a écrit:Je suis en train de lire La guerre d'Alan et je suis un peu déçu par rapport à l'idée que je m'en faisais et à la réputation de l'œuvre. Les deux premiers sont pas mal mais le 3ème est déjà beaucoup moins intéressant du fait qu'il se passe après la guerre. Sa vie n'est pas franchement très palpitante je trouve et surtout peut-être c'est la narration qui est un peu ennuyeuse. Trop de voix off, et manque de fluidité dans le récit, on passe souvent d'anecdote en anecdote. Les personnages défilent, il devient même parfois difficile de se souvenir de leur histoire et de quand il les a rencontrés tellement on n'a pas le temps de se les approprier. Alan manque aussi de profondeur je trouve, il reste très superficiel, les événements lui glissent dessus...
A suivre avec la lecture des deux autres de la série sur son enfance et Martha.
Pas sûr du tout de garder pour le moment...
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