Miss Goldgruber a écrit:les gourdasses et les pauvres types ont viré Sam je suis dégoûtée
Pareil. Chaque année c’est pareil.
Les nullos virent les bons.
Miss Goldgruber a écrit:les gourdasses et les pauvres types ont viré Sam je suis dégoûtée
nonoboz a écrit:Je suis blasé. Tehe a mis Charlotte et Eric ? [emoji15][emoji15][emoji15]
kobaia a écrit:Jusqu’à il y a peu (avant de manger avec mon fils, donc à 19h...) les soirs de Koh Lanta on se faisait livrer un japonais. Ça permettait de manger du riz, comme les naufragés volontaires. Mais avec en plus des brochettes, des gyoza, des sashimi... parfois je cuisinais du gyudon ou de l’oyakodon ou du katsucari.
Pour la même raison que toi : se goinfrer pendant que les pauvres candidats crèvent la dalle.
HOCHET Gabriel a écrit:kobaia a écrit:Jusqu’à il y a peu (avant de manger avec mon fils, donc à 19h...) les soirs de Koh Lanta on se faisait livrer un japonais. Ça permettait de manger du riz, comme les naufragés volontaires. Mais avec en plus des brochettes, des gyoza, des sashimi... parfois je cuisinais du gyudon ou de l’oyakodon ou du katsucari.
Pour la même raison que toi : se goinfrer pendant que les pauvres candidats crèvent la dalle.
Sur le cul je suis....
Ce que tu a fait, ben j’ai exactement fait la même chose, mais pareil pareil, que s’en est honteux.....
Une option japonaise (j’adore, quand je vivais au Brésil, il y a eu une époque qui a duré 3 ou 4 ans ou je bouffais au resto japonais quasi tous les soirs....) que j’ai largement pratiqué sur les soirées Kho-Lanta.....
Mais j’ai aussi, toujours sur Kho-lanta, pratiqué des orgies indécentes en mode MacDo.... Si, si....
D’ailleurs, comme quoi, toute honte bue, j’avoue que ma plus grande orgie MacDo, je l’ai « commise” en visionnant l’excellent film docu américain qui raconte l’histoire du journaliste qui ne se nourrit plus que de MacDo tout en se faisant suivre par un médecin tout au long de l’expérience...
Ce qui est incroyable, c’est que c’est au milieu du doc que j’ai mis sur pose, pour sortir de chez moi, monter dans ma bagnole, aller au MacDo (j’habitais à Villiers-le-Bel à l’époque, la cité des gros voyous...) qui étais à 500 mètres.... et revenir avec la plus grosse commande que j’ai jamais faite dans un putain de MacDo.....
Et, que je me souvienne, au retour, donc chez moi avec la TV sur pose, j’ai relancé le bouzin de ce documentaire quelque part affligeant autant qu’hyper éducatif, et j’ai engloutis l’orgie MacDoc avec un plaisir à peu près aussi grand que les innombrables repas que j’ai eu la chance de vivre chez de grands chefs étoilés....
J’ai toujours analysé cette histoire (personnelle et réelle) comme un sorte de preuve monstrueuse (voir pire) de l’extrème perversité de l’être humain.....
Perversité encore très très largement perfectible, presque à l’infini..... oui, oui, à l’infini....
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