En fait ce que dit le bouquin (note en bas de page 45) c'est juste que Morrison a posé l'hypothèse que le Joker avait une personnalité fluctuante, changeante, ce qui pourrait expliquer certaines contradictions, et que ses origines telles qu'elles sont relatées ici ne sont peut-être pas le reflet de la réalité. Il ne mentionne pas Morrison comme ayant généré le buzz sur la mort du Joker.mallrat a écrit:Non ca part d une Théorie de Morrison qui a pris plus d ampleur quand ca a été discuté dna sun Bouquin trés sympa
C'est l'un de ses rares récits (le seul ?) dont Moore se dit insatisfait.christi a écrit:j'ai pas été emballé plus que ça par son scénario.
En tout cas dans son script Moore ne donne aucune indication sur ce qu'il faut penser, il se contente de décrire le contenu des cases -- ce qui bien sûr n'interdit pas au lecteur d'y lire ce qu'il veut.christi a écrit:Voilà, je retiens surtout la fin qui pour moi apporte des questionnements intéressants et surtout un rapprochement bien vu entre les deux "héros". Sinon, j'ai largement préféré le "Joker" d'Azzarello
Genug a écrit:C'est l'un de ses rares récits (le seul ?) dont Moore se dit insatisfait.christi a écrit:j'ai pas été emballé plus que ça par son scénario.En tout cas dans son script Moore ne donne aucune indication sur ce qu'il faut penser, il se contente de décrire le contenu des cases -- ce qui bien sûr n'interdit pas au lecteur d'y lire ce qu'il veut.christi a écrit:Voilà, je retiens surtout la fin qui pour moi apporte des questionnements intéressants et surtout un rapprochement bien vu entre les deux "héros". Sinon, j'ai largement préféré le "Joker" d'Azzarello
J'avais le souvenir que son reproche s'étendait à toute l'histoire, son côté trop démonstratif, mais je me trompe peut-être. Quant à la scène du viol en effet elle a été censurée (mais je ne sais plus si c'est par les auteurs eux-mêmes ou pas), on en trouve une case dans l'édition Absolute.Philemon a écrit:De mémoire, l'insatisfaction de Moore tient uniquement à la scène de l'agression de la fille, Barbara.
tzynn a écrit:Note: Grant Morrison explique lors d'un podcast que selon lui, la véritable « blague qui tue » qui donne le titre au roman graphique est le fait qu'Alan Moore soit parvenu à cacher aux yeux des lecteurs l'assassinat du Joker par Batman à la fin du roman. En effet, il souligne que le rire du Joker s'arrête brutalement alors que celui de Batman continue, et affirme que Batman lui aurait en réalité brisé la nuque hors cadre.
Genug a écrit:En tout cas dans son script Moore ne donne aucune indication sur ce qu'il faut penser, il se contente de décrire le contenu des cases -- ce qui bien sûr n'interdit pas au lecteur d'y lire ce qu'il veut.
Fais comme moi : ne compte plus...Philemon a écrit:Merci !
J'avais vu passer cette édition, mais je n'avais pas noté ce supplément.
Et comme j'ai déjà 2 versions de Killing Joke...
Philemon a écrit:Et comme j'ai déjà 2 versions de Killing Joke...
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