J'ai quasi terminé la lecture du spécial Charlie qui disposent encore une fois de dossiers édifiants.
Dans ce numéro, j'ai été frappé par les étonnantes contradiction de Luz, notamment lorsqu'il dit "S'il ne change pas le monde, le dessin, lui, au moins ne fait de mal à personne. Quoi que les imbéciles en pensent."
C'est quand même assez réducteur sur l'impact que peut engendrer une oeuvre dessinée, à se demander pourquoi en raisonnant ainsi il a choisi cette voie... Ou alors il pense que le dessin ne peut engendrer unilatéralement que du positif et c'est un benêt. A se demander comment De Vinci créa les tanks, ou par quellel magie tout ce qui nous entoure de bon comme de mauvais émerge de la brume dans une sainte communion