Sbeys a écrit:BD sympa mais ça fait vraiment BD qui surfe sur la tendance "le Joker est trop hype" depuis Heath Ledger...
ça a été publié en mag aux us ce "joker" ?
Sbeys a écrit:BD sympa mais ça fait vraiment BD qui surfe sur la tendance "le Joker est trop hype" depuis Heath Ledger...
Sbeys a écrit:BD sympa mais ça fait vraiment BD qui surfe sur la tendance "le Joker est trop hype" depuis Heath Ledger...
C'est une bonne BD, mais quand on a lu "The Killing Joke", qui est LA BD sur le Joker, ça ne casse pas 3 pattes à un canard non plus!
Baltimore a écrit:Lu hier soir, les points positifs sont quand même les dessins et l'ambiance malsaine, flippante.
Je pense que l'histoire aurait mérité un plus gros développement.
zemartinus a écrit:perso j'avais pas trop accroché a Killing Joke, rien de bien exceptionnel pour moi ou alors qu'on m'explique quoi (la fin a la rigueur claque bien... le reste c'était peut-etre une revolution a l'époque (j'en sais rien en fait) mais quand je l'ai lu il y a 3-4 ans bof... sans plus)
Jetjet a écrit:Toi tu vois le joker gagner à la fin ? Explique...
Jetjet a écrit:J'y vois plutôt un status quo personnellement...
anaxarque a écrit:Killing Joke peut être considéré comme une victoire du Joker.
anaxarque a écrit:En fait, il est aussi fou que lui, mais à la différence du Joker qui est dément et qui l'assume.
anaxarque a écrit:En tout cas, on peut dire que ce Joker là est quand même sacrément plus fascinant que le sociopathe décrit par Snyder dans Death of the Family.
Jetjet a écrit:Suis d'accord en tous points avec ce que je lis ici MAIS Death in the Family est loin d'être aussi mauvais que prévu.
Dans Death of the Family, ce que j'aime surtout, qui selon moi fait tout le sel du truc, c'est l'échange à mi-mots entre le Joker et Batman à la toute fin. Le côté "je sais". Ça, c'est fort. Même si l'ensemble du cross-over est un peu distendu.
anaxarque a écrit:A travers son origine traumatique, quoique sans-doute fantasmée, le lecteur comprend que le Joker est définitivement passé de l'autre coté, qu'il ne recouvrira jamais la raison. Ce choix de rester dans la folie le protége, le rend invincible, lui fait oublier sa douleur.
Alors, deux choix s'offrent à Batman dans cette dernière case si ambiguë qui fera encore jaser des décennies, ce n'est là que mon interprétation :
Soit le chevalier noir tue le Joker, comprennant qu'il ne peut être sauvé, et alors il violera toute son éthique passée. Plus jamais il ne pourra prétendre être un paladin : il deviendra un vigilant, comme le Punisher. Le Joker en le pervertissant aura gagné. Son rire trahit son désarroi. Les beaux principes ne peuvent rien contre le Mal.
Soit le Chevalier Noir, suite au discours du Joker, comprend qu'en vérité, sa croisade contre le crime est née d'un traumatisme similaire à celui de son adversaire. En fait, il est aussi fou que lui, mais à la différence du Joker qui est dément et qui l'assume. Batman refusait de penser cette éventualité en se posant comme un esprit rationnel : il est le "meilleur détective du monde" après tout, comme Sherlock Holmes qui était pourtant un cas déjà limite entre raison et démence.
Jetjet a écrit:Sebi, peux tu nous en dire plus sur ton ouvrage en anglais stp ?
Jetjet a écrit:Baltimore a écrit:Lu hier soir, les points positifs sont quand même les dessins et l'ambiance malsaine, flippante.
Je pense que l'histoire aurait mérité un plus gros développement.
C'est à dire ? Qu'aurais tu voulu y voir de plus ?
Baltimore a écrit:A mon avis, pour être un chef d'oeuvre, une histoire doit être bien développée.
A contrario, une histoire très développée n'est pas forcémment un chef d'oeuvre.
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