Je me suis gouré sur l'histoire des K7. C'est dans le numéro 11 qu'il fait des échanges. En fait, il me manque le 12 et dans le 13 il est encore au café pendant toute l'histoire. Ce que je préfère, c'est les moments où il est "en chasse". Il est un peu apathique en ce moment à ce niveau là même s'il y a des dialogues bien drôles avec Seth et Chester Brown. Mais comme tu dis sur un total de 150 pages ça ne se remarquera peut être pas mais on en est déjà à peu près à 90 pages.
J'entendais par "dérangeant" susceptible de faire se dresser les ligues de vertue à la vue d'une ou deux poitrines nues et aux contenu sexuel plus important. Enfin son utilisation de kleenex n'est pas comparable tu me comprends quoi!
Ceci dit je me suis régalé avec "Fair Weather". On voit très tôt qu'il était irrécupérable. J'adore le moment où son copain est attristé de voir la mère de Joe trimer à tondre la pelouse et qu'il lui répond qu'elle aime bien le faire elle-même. Souvenirs souvenirs.
Sinon j'ai également préféré "i never..." à "the playboy". C'est aussi moins "bizarre" que "the playboy". On s'identifie plus facilement. De toutes façons, je ne peux pas me permettre de dire que je m'identifie plus à l'histoire de "the playboy". Qu'est ce qu'on penserait?
Je crois savoir qu'il change totalement de style avec "Louis Riel". Au tout début les critiques n'étaient pas très bonnes mais ça a peut être changé. Et puis je ne sais pas ce que valaient ces critiques.