Je viens de lire...

[chouchoune]

Message précédent :
Ce week-end, je me suis fait un petit plaisir.
Ayant enfin réussi à trouver le 11éme tome, je me suis relu toute la série DJINN



à



Pas besoin de dire que ce fut un enchantement du début jusqu'au 12éme tome.
Désolé mais le 13éme tome

[Révéler] Spoiler:

Et aprés avoir enfanté l'enfant d'ANAKTU, que devient Jade ???....

[chouchoune]

La lecture n'en est pas désagréable, mais désolé j'ai pas accroché.
Une impression de vue, revue et re-revue...

[Karzak]

J'avais lu, et apprécié, le tome 1 il y a déjà pas mal de temps. Là où le tome 1 était une mise en contexte "historique" de la genèse de Dracula, ce tome 2 est le mythe tel que raconté par Bram Stoker.

Les choix effectués sont intéressants.

Premier choix, toute l'histoire n'est pas retranscrite dans cette BD. Seulement des passages, choisis à mon avis de manière assez pertinente, sont repris avec le point de vue de trois protagonistes : Jonathan Harker ; Mina Harker et le docteur Van Helsing. Les ellipses sont nombreuses et, pour véritablement comprendre le déroulé, il faut préalablement connaître l'histoire.

Second choix, les dialogues sont très peu nombreux et les récitatifs, bien plus présents. Tous deux sont, d'après l'auteur (dans les pages explicatives en fin d'album), directement extraits du roman. Au fond, on a parfois plus le sentiment d'être face à un livre illustré, mais l'effet obtenu est très intéressant.

Troisième choix important, enfin, la suggestion est omniprésente, à commencer par l'absence de toute figuration de Dracula lui-même. C'est déroutant (un Dracula sans Dracula) mais très réussi, sa présence n'en est que plus importante à travers les ombres, les environnements (statues, objets, décors gothiques) et les ambiances. Faire autant sentir la présence du comte sans jamais le représenter était un pari osé mais concourt d'autant plus à une lecture de cette histoire par le prisme de la folie/paranoïa.

Les décors/paysages sont magnifiques, avec une ambiance très froide, très dure, renforcée par le trait un peu anguleux qui semble caractériser Crocy, pour ce que j'en ai lu (c'est à dire ce diptyque, et Auschwitz). J'aurais cependant apprécié, je pense, que des ambiances différentes, un peu plus chaudes, soient proposées lorsque l'action se situe à Whitby.

Un très bon moment de lecture avec cet album, qui, à la différence par exemple du Dracula proposé par Bess l'an dernier ( ), ne peut toutefois pas constituer une entrée en matière dans l'histoire de Stoker et doit être lu en ayant déjà un peu appréhendé le sujet.
Va pour 8/10.

[toine74]

La chronique de La traque est en ligne !

[xiopian]

Je viens de le lire le WE dernier et je suis un peu déçu... les dessins sont bons par contre coté scénario et dialogues c'est un peu "plat", une histoire de pirates des plus classique !

En espérant que les albums suivants vont corriger cela

[unrefractaire]

Des sentences pleines de philosophie :
"La science est le terreau de toute aventure qu'il m'appartient d'arroser avec l'eau de l'optimisme, de la raison et de la solidarité..."

Des adages multiculturels :
"Indien vaut mieux que deux 'tu l'auras dans le baba'."

Des dialogues nébuleux :
"Cessez de grincer des dents. Vous appelez l'ulcère et les vers. Ce n'est pas le moment de fléchir."

Une ambiance, comment dire...:
Il régnait une ambiance de parking vide, où chaque pas résonnait comme un coup de feu.

Et des calembours, toujours :
"Du shake-hand au shaker, il n'y a que cinq doigts de vodka."

Des clins d'oeil :
"La ligne claire se rompit au profit d'un tourbillon."

Et un portrait :
"Saint-Tin représentait ce fameux équilibre, entre ligne claire du regard et grâce chaloupée de la mèche frontale." (p. 17)

Sinon, nous assistons au vol (le délit dont sont victimes les volatiles, pas la propulsion aviaire) de perroquets, au désarroi de Saint-Tin confronté à l'évolution de son ami Lou, tout cela conduisant notre reporter au pays des avocats mûrs (le défenseur, pas le fruit), un pays d'Amérique du Sud dirigé par une armée de footballeurs (ou plutôt des militaires habillés en joueur de foot) puis dans la jungle amazonienne. Bref, tous les ingrédients d'un bon récit d'aventure tintinesque y sont, fortement épicés d'humour et de dérision comme disait le Maître.

Et toujours au détour de quasi chaque phrase, d'inattendus calembours, boutades, jeux de mots, pour se faire plaisir (n'en déplaise aux puristes)... Il faut dire qu'il s'agit d'un roman pastiche (c'est écrit sur la couverture mais c'est illisible) ; l'éditeur a même été attaqué en justice par les ayant-droits.

[rennois]

J'ai pratiqué le "en même temps" sur le coup...
N'étant pas du tout objectif sur cette franchise multi-culturelle, ayant été un grand collectionneur de figurines tout en regardant les 5 films d'origine 1 fois par an, je ne vais pas m'étendre sur ces magnifiques éditions.

Sur le "rod serling", je suis quand même étonné de la raison qui a toujours été invoquée pour que le scénario ne passe pas la rampe du film, à savoir trop cher à tourner. ça ne me semble pas évident à la lecture ( j'y verrai plus le manque d'action global et la sous-exploitation de certains personnages. Mais aussi, la propension de Serling à vouloir absolument mettre en parallèle l'histoire de Boulle avec l'actualité mondiale des années 60, ce qui aurait pu déplaire ).

Le tome 2 de l'anthologie du mag Marvel fait la part belle aux deux premiers films, avec pas mal de modifications, les planches ayant été mises en route dès le début de la production des-dits.
Un deuxième pavé qui fait aussi la part belle au personnage, pour les extensions imaginées, de Derek Zane. Il était amené à devenir central dans les bd futures ( et pourquoi dans des films ? ), mais l'arrêt prématuré du mag en a décidé autrement...

[choregraphe]

Suites a certains avis de ce site

Et effectivement c'est très bon

[xiopian]

Album vraiment prenant !

L'ambiance apocalyptique est top, le personnage principal avec ses yeux rouges est vraiment mystérieux et on est impatient d'en apprendre davantage. Plusieurs pistes sont mises en place dans cette album et l'on ne demande qu'à en savoir plus.

Coté dessin et couleurs c'est très plaisant et colle bien avec l'atmosphère.

A suivre rapidement j'espère !

[chouchoune]

Alors je viens de lire l'intégrale de GIPSY



Déçu de chez déçu

J'adore le coup de crayon de MARINI, mais là j'ai bien ressenti que c'était au début de sa carrière. La patte MARINI y est, pas de soucis, mais il n'y avait pas encore ce petit truc qui apparaît à partir de la série RAPACES. Du coup, sur ce point je suis restée sur ma faim j'avoue . Mais bon, les dessinateurs, sont comme le bon vin : avec le temps ils se bonifient

Niveau scénario . Le 1er tome partait pas trop mal. Mise en place d'un monde "apocalyptique" qui survis autour d'une autoroute la C3C. Du coup j'ai pensé complot, guerre, intrigue autour de cette autoroute, et les 3 premiers tomes prenaient bien cette voie là, mais déjà de façon un peu trop légère et à partir du 4éme tome ............. Cela devient la simple histoire d'un routier un peu badasse.
Et même sur ce point, la culture gitane, si riche et tellement plus fine que ce que l'on peut lire entre ces bulles, n'est pas exploité du tout, même avec l'introduction d'un langage qui se voudrait typique de ce peuple (répétition du mot DRACUL a tout vas on ne sait pas pourquoi!!!)
Et même la différence d'éducation entre Gipsy et Oblivia aurait donné tellement plus, mais là non plus rien de bien accrocheur, du vue et revue.

Pour moi, sur l'intrigue de cette série, la base était bonne mais l'impression d'un travail survolé, pas assez approfondi. Dommage. Quand au graphisme, on ressent bien que MARINI débutait et tout son potentiel était déjà bien présent

[pabelbaba]

De mon côté, je trouve que Marini atteint un sommet avec l'Aile Blanche, notamment pour les couleurs, d'autant que point de vue dynamisme il est déjà au taquet.

[PEB]

Bonjour à tous,

Pour mon premier post dans ce sujet, permettez-moi de vous remercier: m'étant remis à la BD il y a deux ans après une quinzaine d'années sans en lire, j'ai puisé l'inspiration dans vos commentaires, qui m'ont permis de découvrir plein d'auteurs que je ne connaissais pas. Merci à tous ceux qui prennent le temps de poster!

Du coup, ce weekend, j'ai lu:






Lupano est décidément un grand de la bédé actuelle. Il nous promène ici dans une reconstitution soignée de Vienne puis du Paris de l'exposition universelle, en 1900. L'intrigue, une fois de plus très soignée, met en scène autour de 3 anti-héros principaux de nombreux personnages, aux profils variés, parfois un peu caricaturaux, mais qui évoluent au gré des quatre albums. Lupano aborde dans sa reconstitution des sujets d'époque (lutte des classes, anarchisme, la modernité, l'art, et j'en passe. Je vous mets au défi de deviner la fin…
Un petit bémol, peut-être, sur le dessin, un peu trop "doux" par rapport au scénario. Mais c'est vraiment pour trouver un reproche à faire…

[PEB]

J'ai aussi lu ça:





Étonnamment, Thorgal ne faisait pas partie des BD que je lisais dans ma jeunesse (XIII oui, mais pas Thorgal…). Du coup, je n'avais jamais lu que les deux premiers tomes…

Bon, je vais me faire dézinguer par les inconditionnels, mais le moins que l'on puisse dire c'est que ça a mal vieilli. J'ai relu pendant le confinement tous les Alix période Jacques Martin, parus 20 ans plus tôt, et ça m'a semblé bien plus moderne… On a ici un gentil héros courageux et bienveillant, irréprochable, et une belle et blonde héroïne un peu cruche… Une histoire de viking venue des étoiles… Le dessin, les couleurs… Tout est daté…

Bon, je vais quand même poursuivre jusqu'au tome 15 (puisque le cycle de Qâ est parait-il particulièrement bon), heureusement qu'il y a les bibliothèques municipales…

[PEB]

Et il y a 3 semaines j'ai lu ça:





Alors là, coup de gueule: qu'est-ce que les gens trouvent de formidable à cette série?????

L'intrigue n'a AUCUN intérêt (en particulier celle qui se déroule à l'époque moderne). Elle n'est manifestement que le prétexte pour faire se dénuder ces dames (dont les corps se ressemblent tous!), et de les soumettre à toutes sortes de sévices sexuels plus ou moins consentis et plus ou moins ridicules. C'est censé être affriolant, j'ai trouvé ça ennuyeux et consternant, incapable de finir le troisième tome!

Qui plus est le dessin de Mirallès est peu convaincant dans cette série, je l'avais trouvée bien plus à son avantage dans l'étonnant À la recherche de la Licorne.

Bref, un très mauvais Dufaux de mon point de vue!!

[Crystal Bowie]

J'ai aussi lu ça:





Étonnamment, Thorgal ne faisait pas partie des BD que je lisais dans ma jeunesse (XIII oui, mais pas Thorgal…). Du coup, je n'avais jamais lu que les deux premiers tomes…

Bon, je vais me faire dézinguer par les inconditionnels, mais le moins que l'on puisse dire c'est que ça a mal vieilli. J'ai relu pendant le confinement tous les Alix période Jacques Martin, parus 20 ans plus tôt, et ça m'a semblé bien plus moderne… On a ici un gentil héros courageux et bienveillant, irréprochable, et une belle et blonde héroïne un peu cruche… Une histoire de viking venue des étoiles… Le dessin, les couleurs… Tout est daté…

Bon, je vais quand même poursuivre jusqu'au tome 15 (puisque le cycle de Qâ est parait-il particulièrement bon), heureusement qu'il y a les bibliothèques municipales…

Sans te dézinguer , je trouve que Thorgal n'a pas mal vieilli. Ceci dit, j'aime beaucoup la patte de Rosinski. Cela doit sûrement aider!

Et oui, lis le cycle de Qâ, il est excellent!

[toine74]

La chronique des Pilleurs de sépultures est en ligne !



La chronique du Monde merveilleux du rock est en ligne !

[PEB]

Bonjour,

J'ai suivi les conseils de Crystal Bowie et j'ai poursuivi ma lecture des Thorgal, de:



jusqu'à:



Incontestablement, la série s'est améliorée depuis les trois premiers tomes; à partir du 4e volume, le dessin de Rosinski s'affirme, et surtout les couleurs sont plus nuancées, bien moins criardes que dans les trois premiers opus.
Côté scénario, ça reste poussif jusqu'à Alinoë (tome 8), qui tranche par son originalité (mais est-ce bien un vrai Thorgal? Celui-ci n'apparait que dans 5 ou 6 pages tout au plus! ). On reste encore loin du Van Hamme maître du rebondissement et des retournements de situation de XIII ou Largo Winch.
Le cycle de Qâ qui suit est indubitablement un ton au-dessus, avec une histoire qui prend le temps de se développer sur 4 volumes au lieu d'être réglée en un seul (à ce titre, le cycle de Brek Zarith, tomes 4 à 6, donne l'impression d'avoir été bâclé, seulement ébauché). Dans le cycle de Qâ, on voit apparaitre des personnages intéressants (notamment Kris de Valnor - une Olrik au féminin, une Axel Borg d'Heroic Fantasy? ), Aaricia n'est plus seulement la gentille femme au foyer un peu pleurnicharde et très fleur bleue du début de la série, et Jolan joue un vrai rôle.
Moyennant quoi, je peine à accrocher à ce mélange d'éléments SF très daté des années 80 (l'esthétique Star Trek, peut-être) et d'Heroic Fantasy, avec des héros très manichéens. Du coup, je vais m'arrêter là…

Je serai curieux de savoir si d'autres lecteurs ont apprécié cette série en la découvrant à l'âge adulte? J'ai en effet l'impression que, clairement destinée à un public jeune (au moins initialement), elle a construit sa popularité sur un public l'ayant découvert jeune.

[Crystal Bowie]

Bonjour,

J'ai suivi les conseils de Crystal Bowie et j'ai poursuivi ma lecture des Thorgal, de:



jusqu'à:



Incontestablement, la série s'est améliorée depuis les trois premiers tomes; à partir du 4e volume, le dessin de Rosinski s'affirme, et surtout les couleurs sont plus nuancées, bien moins criardes que dans les trois premiers opus.
Côté scénario, ça reste poussif jusqu'à Alinoë (tome 8), qui tranche par son originalité (mais est-ce bien un vrai Thorgal? Celui-ci n'apparait que dans 5 ou 6 pages tout au plus! ). On reste encore loin du Van Hamme maître du rebondissement et des retournements de situation de XIII ou Largo Winch.
Le cycle de Qâ qui suit est indubitablement un ton au-dessus, avec une histoire qui prend le temps de se développer sur 4 volumes au lieu d'être réglée en un seul (à ce titre, le cycle de Brek Zarith, tomes 4 à 6, donne l'impression d'avoir été bâclé, seulement ébauché). Dans le cycle de Qâ, on voit apparaitre des personnages intéressants (notamment Kris de Valnor - une Olrik au féminin, une Axel Borg d'Heroic Fantasy? ), Aaricia n'est plus seulement la gentille femme au foyer un peu pleurnicharde et très fleur bleue du début de la série, et Jolan joue un vrai rôle.
Moyennant quoi, je peine à accrocher à ce mélange d'éléments SF très daté des années 80 (l'esthétique Star Trek, peut-être) et d'Heroic Fantasy, avec des héros très manichéens. Du coup, je vais m'arrêter là…

Je serai curieux de savoir si d'autres lecteurs ont apprécié cette série en la découvrant à l'âge adulte? J'ai en effet l'impression que, clairement destinée à un public jeune (au moins initialement), elle a construit sa popularité sur un public l'ayant découvert jeune.

Je n'ai lu que très peu de Thorgal étant jeune. J'ai véritablement découvert et apprécié cette série à l'âge adulte donc.

[PEB]

Je n'ai lu que très peu de Thorgal étant jeune. J'ai véritablement découvert et apprécié cette série à l'âge adulte donc.

Merci pour ta réponse, mon impression était donc infondée!

Hier j'ai lu:




Une histoire de pirates

[Révéler] Spoiler:

et de morts vivants

que j'ai trouvée extrêmement confuse, avec profusion de personnages entre lesquels le récit bascule brutalement, de manière parfois incongrue. Et l'intérêt de certains protagonistes est même parfois douteux, tant ils apportent peu à l'histoire...

Au dessin, Hermann fait du Hermann, rien à dire de ce côté là. Les couleurs manquent parfois de contraste, notamment dans les scènes nocturnes, ce qui n'ajoute pas à la clarté d'un récit déjà fort embrouillé.

Bref, ça ne m'a pas enthousiasmé...

[Crystal Bowie]

Ah! J'avais bien aimé! Mais je suis bon public dans l'ensemble!

[Le Complot]

Bonjour,

J'ai suivi les conseils de Crystal Bowie et j'ai poursuivi ma lecture des Thorgal, de:



jusqu'à:



Incontestablement, la série s'est améliorée depuis les trois premiers tomes; à partir du 4e volume, le dessin de Rosinski s'affirme, et surtout les couleurs sont plus nuancées, bien moins criardes que dans les trois premiers opus.
Côté scénario, ça reste poussif jusqu'à Alinoë (tome 8), qui tranche par son originalité (mais est-ce bien un vrai Thorgal? Celui-ci n'apparait que dans 5 ou 6 pages tout au plus! ). On reste encore loin du Van Hamme maître du rebondissement et des retournements de situation de XIII ou Largo Winch.
Le cycle de Qâ qui suit est indubitablement un ton au-dessus, avec une histoire qui prend le temps de se développer sur 4 volumes au lieu d'être réglée en un seul (à ce titre, le cycle de Brek Zarith, tomes 4 à 6, donne l'impression d'avoir été bâclé, seulement ébauché). Dans le cycle de Qâ, on voit apparaitre des personnages intéressants (notamment Kris de Valnor - une Olrik au féminin, une Axel Borg d'Heroic Fantasy? ), Aaricia n'est plus seulement la gentille femme au foyer un peu pleurnicharde et très fleur bleue du début de la série, et Jolan joue un vrai rôle.
Moyennant quoi, je peine à accrocher à ce mélange d'éléments SF très daté des années 80 (l'esthétique Star Trek, peut-être) et d'Heroic Fantasy, avec des héros très manichéens. Du coup, je vais m'arrêter là…

Je serai curieux de savoir si d'autres lecteurs ont apprécié cette série en la découvrant à l'âge adulte? J'ai en effet l'impression que, clairement destinée à un public jeune (au moins initialement), elle a construit sa popularité sur un public l'ayant découvert jeune.

C'est possible, le premier que j'ai lu (assez jeune) était un one-shot, le maître des montagnes, et j'avais été assez subjugué. Si tu n'as pas apprécié plus que ça le cycle de Qâ (considéré comme le sommet de la série par beaucoup), inutile de poursuivre. En plus, passé le 23, c'est la catastrophe.