HOCHET Gabriel a écrit:Je ne sais pas, Leautaud, vraiment je ne sais pas.... Et pour ne rien te cacher, cette histoire me gonfle sérieusement.
Je n’ai vraiment pas l’impression de me référer à quelque chose d’anecdotique, mais à un truc “puissant“....
Quelque chose d‘une noirceur accablante, surtout pour l’époque. C’est pour ça que ne pas trouver de quoi il s‘agit avec un truc apparemment aussi “décalé” (pour l‘époque) me consterne.
Le risque, dans cette histoire, est que je me fasse des “montagnes” dans mes souvenirs de gosse, d’un truc qui finalement ne serait pas aussi NOIR que ça....
Bref, je crains que je ne sois pas prêt de trouver de quoi il s’agit. Ce qui m‘énerve, c’est cette sensation puissante que cette BD m’avait à l’époque impressionnée aussi fortement. Aussi loin que je me souvienne, je crois que cette histoire était celle qui pour la première fois m‘avait confronté à l’humour noir, et au fait que le monde n’était qu’une immense saloperie ou l‘on s‘étripait sans retenue.... C’est pas rien...