adricube a écrit:sans les accuser de complicité, il me semble qu'on a le droit de rester circonspect devant un lynchage médiatique qui n'aura a priori jamais de dénouement juridique ; ce qui revient à se faire justice soi même, certes sans violence physique, mais le principe est le même.
Ceci dit on a vu il y a quelques mois un énorme soutien populo-politico-médiatique à une femme ayant choisi cette option d’assassiner son mari plutôt que de tenter de le traîner en justice, alors ...
je n'ai aucune sympathie pour l'homme, ses actes présumés, et son hypocrisie éhontée qui le pousse à poser devant le photographe les lèvre ridiculement fardées, mais je m'interroge vraiment sur la manière dont a été lacée l'affaire ...
fancomvous a écrit:Entendons-nous bien hein, histoire qu'on ne me fasse pas dire ce que je n'ai pas dit. Evidemment qu'on doit les allumer les saloperies qui font ça. Il n'empêche que l'on peut s'interroger sur la bonne foi de certaines quand elles ont baigné dans un système voire l'ont utilisé pour leur carrière, puis se lancent dans une dénonciation bien tardive...
Faut pas croire non-plus que la Anne Sainclair, par exemple, a découvert le tordu qu'est son mari en même tant que nous...
Mister_Eko a écrit:Les témoignages pullulent depuis un moment expliquant pourquoi les femmes victimes de ce type de comportement ne peuvent pas nécessairement en parler sans un élément déclencheur. Et là on a quelqu'un qui veut qu'en plus d'êtres victimes d'actes dégueulasses, on les associe en tant que complices à l'auteur des faits ? Non mais sérieusement qu'est-ce qui cloche pour sortir une énormité pareille ?
Ety pourtant, je suis plus que souvent en désaccord avec certains aspects trop extrêmes et manichéens de certain(e)s féministes, et j’admets qu'on puisse regretter que quelqu'un ne parle pas s'il y a risque de récidive sur quelqu'un d'autre. Mais de là à essayer de ne pas comprendre et à s'enfoncer dans le simplisme xcorionien pour parler de complicité, pfiou.
LeJoker a écrit:Toutes les femmes qui ont révélé l'affaire de harcèlement sexuel devraient pouvoir être pénalement sanctionnées au titre de complicité passive.
On serait dans un Etat défaillant culturellement, juridiquement, judiciairement (pas de reconnaissance du délit de harcèlement sexuel, aucune procédure, aucune sensibilité à ce type de pb), et/ou on serait face à des femmes en position d'infériorité professionnellement ou intellectuellement (dans le genre pauvre domestique sans papiers ne connaissant pas ses droits), la non divulgation de ces faits serait compréhensible.
Là ce sont des femmes politiciennes ou journalistes, parfaitement au courant des possibilités à disposition, qui choisissent volontairement de ne pas porter plainte avant la prescription, et qui en plus se permettent d'utiliser les médias pour pourrir un homme sans preuve en faisant des médias un moyen d'exécution sans possibilité de défense.
Faut arrêter avec l'argumentaire féministe type "j'avais honte, donc je n'ai rien dit, donc j'ai besoin de faire une tribune publique envoyée à tous les journaux".
Le Complot a écrit:Outrage de Kitano on est d'accord ?
NARCISSE a écrit:
Ce n'est pas que dans le milieu politique dans le monde de l'entreprise c est pas mieux, et on a tendance a clairement fermer les yeux.
NARCISSE a écrit:Dans le cas de Baupin il attaque seulement Mediapart
kantessekonmange a écrit:Je suis étonné que personne n"évoque le 49-3...
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