Coldo3895 a écrit:Sinon moi, aux prochaines élections, je vote pour le candidat qui dira aux taxi de bien aller se faire mettre.
Damienandcoinc a écrit:Pour les taxis, j'y vois plutôt l'exemple type de ce que peut être le capitalisme le plus débridé possible...
Tant que "ça" marche (ie, les gens gagnent du bognon), on fait bien comprendre à l'état qu'il doit "laisser les entrepreneurs entreprendre librement" même si pas mal de dérives dans le système sont mis en évidence... Ensuite, ils s'endorment sous leurs lauriers tranquilles (mais ils bossent, je dis pas le contraire) et commencent à se scléroser à petit feu voir, pour certains, à faire un boulot de merde...
Et le jour où un entrepreneur plus malin profite de ce sus-dit capitalisme pour faire évolution les pratiques et que sa réussite met en danger les pépettes de tous les autres qui n'ont rien fait pendant des années, ça gueule et ça appelle au secours l'état qui DOIT impérativement régler le problème... Et pour l'asticoter, on emmerde tout le monde et on gueule très fort...
Logique...
Coldo3895 a écrit:Sinon moi, aux prochaines élections, je vote pour le candidat qui dira aux taxi de bien aller se faire mettre.
Mentalité de gangsters, méthodes de gangsters, traitement de gangsters.
Anianka a écrit:Coldo3895 a écrit:Sinon moi, aux prochaines élections, je vote pour le candidat qui dira aux taxi de bien aller se faire mettre.
Mentalité de gangsters, méthodes de gangsters, traitement de gangsters.
je voterais bien pour celui qui dira aux politiques d'aller se faire mettre, pour les même raisons, mais je ne pense pas trouver ça.
Damienandcoinc a écrit:Ah ? Parce que pour toi, les acteurs partisans du capitalisme débridé seraient d'accord (dans les faits) pour laisser la libre concurrence (fi ! Quel vilain mot ! ^^) jouer ?
pabelbaba a écrit:Anianka a écrit:Coldo3895 a écrit:Sinon moi, aux prochaines élections, je vote pour le candidat qui dira aux taxi de bien aller se faire mettre.
Mentalité de gangsters, méthodes de gangsters, traitement de gangsters.
je voterais bien pour celui qui dira aux politiques d'aller se faire mettre, pour les même raisons, mais je ne pense pas trouver ça.
Celui qui l'a dit s'est pris un camion dans la tronche.
Ca a calmé les autres apparemment.
Coldo3895 a écrit:Damienandcoinc a écrit:Ah ? Parce que pour toi, les acteurs partisans du capitalisme débridé seraient d'accord (dans les faits) pour laisser la libre concurrence (fi ! Quel vilain mot ! ^^) jouer ?
Ben... je ne dis pas qu'ils sont d'accord. Mais la définition du capitalisme "débridé", c'est la concurrence...
Damienandcoinc a écrit:Coldo3895 a écrit:Damienandcoinc a écrit:Ah ? Parce que pour toi, les acteurs partisans du capitalisme débridé seraient d'accord (dans les faits) pour laisser la libre concurrence (fi ! Quel vilain mot ! ^^) jouer ?
Ben... je ne dis pas qu'ils sont d'accord. Mais la définition du capitalisme "débridé", c'est la concurrence...
Ca, c'est la théorie... Et en pratique, ça marche pas... C'est comme si je te disais que le communisme, c'est le partage juste...
Mister_Eko a écrit:Le titre c'est parce qu'il va faire 3,14% en 2017 ?
Emmanuel Macron est un peu le chouchou de François Hollande, dont il fut le conseiller au début de son mandat. En novembre 2014, le chef de l'État décrivait le ministre de l'Économie comme gentil, joyeux, pas arrogant" et qui en plus "s'entend bien avec Michel Sapin". Le ministre idéal en somme.
Mais parfois, Emmanuel Macron va trop loin. Même pour François Hollande. Comme lorsqu'il dit que "la vie d'un entrepreneur est souvent bien plus dure que celle d'un salarié" parce que l'entrepreneur, lui "peut tout perdre". Comme la gauche de la gauche, le président trouve que son ministre a un tout petit peu déconné en prononçant ses mots, sur RMC, le 20 janvier.
Cité par Le Canard Enchaîné du mercredi 27 janvier, le chef de l'État s'est énervé en entendant les mots de son protégé : "C'est une provocation inutile ! […] Il ne se rend pas compte qu'on ne peut pas dire n'importe quoi quand on a des responsabilités gouvernementales."
Manuel Valls pense exactement comme le président de la République, ce qui, pour le coup n'est pas tout à fait étonnant puisque les relations entre le chef du gouvernement et du ministre de l'Économie sont plutôt fraîches ces derniers temps.
Également cité par Le Canard, le Premier ministre considère qu'Emmanuel Macron "s'avance sur un mauvais terrain quand il explique que la vie d'un entrepreneur est plus dure que celle d'un salarié". "Il fait reculer la cause qu'il prétend défendre, c'est contre-productif pour lui comme pour tout le monde. Il nuit à sa propre crédibilité", a ajouté Manuel Valls.
Le chef du gouvernement a résumé : "Il y a un problème Macron".
Mais, contrairement à François Hollande, Manuel Valls le dit depuis longtemps.
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