Olaf Le Bou a écrit:Yoda33 a écrit:L'internationale peut vraiment faire ça ?
la ferveur d'une foule, la communion de pensée, l'émotion partagée, les voix vibrant à l'unisson ..... même la Paimpolaise ferait son effet.
ulys a écrit:Je dirais, que c'est pas plus mal.
Si Fabius pouvait ne pas y être non plus...
johnkalak a écrit:Et NKM aurait annoncé à Copé sa volonté d'être candidate en 2017.
ulys a écrit:Si Fabius pouvait ne pas y être non plus...
toque a écrit:Bon la nouvelle est tombé, Martine ne sera pas au gouvernement.
C'est les copains de droite qui vont être content !
Frannck a écrit:Pourtant, les français et d'autres ont voté non. Je pense qu'une vision moins "marchandise" et plus "haumaine" serait plus appropriée.
Carla Bruni-Sarkozy ne porte pas les journalistes dans son coeur, elle n'a pas manqué de les critiquer à plusieurs reprises à au cours de cette campagne. Dernière salve en date en direction de France Télévisions, qu'elle a rebaptisé "Gauche Télévisons" selon Le Point cette semaine. Selon elle, son mari Nicolas Sarkozy a été victime d'un "acharnement" des journalistes du groupe, principalement ceux de France 2. Un agacement probablement dû à la puissance de la chaîne publique lors de cette élection présidentielle.
Déjà, lors de son unique prise de parole sur France 5 pendant la campagne, elle avait fustigé les journaliste qui "attaquent (son) homme" dans les journaux. "Vous connaissez des journalistes pour mon mari, ou même neutres ? avait-elle lancé à Alessandra Sublet en mars dernier. Pour moi, c'est incroyable de lire, il y a cette fille qui s'appelle Carla Bruni, qui fait des choses que je ne fais pas, qui dit des choses que je ne dis pas, sans arrêt, c'est comme un espèce d'avatar, j'ai un clone." Elle accusait les médias de lui inventer des propos qu'elle n'avait pas tenus, "tout le temps, tous les jours". Malgré les critiques dont elle se dit victime, la première dame de France avait défendu la liberté de la presse, "c'est quand même mieux que de vivre dans une dictature."
Quelques jours plus tôt, l'ex-mannequin avait aussi traité certains journalistes de "Pinocchios" dans les coulisses de l'émission "Des paroles et des actes" sur France 2 où Nicolas Sarkozy était invité. Un couplet "anti-médias" largement joué pendant cette campagne. Par Marine Le Pen, Jean-Luc Mélenchon mais aussi Nicolas Sarkozy qui n'a par exemple pas hésité à faire huer un journaliste ou taper sur France Inter.
Utilisateurs parcourant ce forum: Aucun utilisateur enregistré et 0 invités