silverfab a écrit:Paru l'an passé, ce one shot, généreux, sorti en deux versions:
s'est avéré assez surprenant.
Une série franco-belge était parue y a une paire d'années mais loin d'être inoubliable, ici la donne change drastiquement puisque la dimension fantastique, voire flippante est clairement développée.
Dans l'antre de la Pénitence plaira autant aux amateurs de westerns qui sortent des sentiers battus qu'à ceux d'épouvante décalée voire de graphismes hors du commun!
onehmouninehl a écrit:A noter que l'histoire de cette maison, si jeune Mabuse, sert aussi de contexte à un épisode de Swamp Thing par Alan Moore...
onehmouninehl a écrit:A noter que l'histoire de cette maison, si jeune Mabuse, sert aussi de contexte à un épisode de Swamp Thing par Alan Moore...
Bienvenue dans un futur pas si éloigné que ça du nôtre, bienvenue à Repo-city, la ville où tout le monde est un salopard, y compris les réparateurs d’air conditionné. Dans cet enfer cyberpunk, on rencontre Butch, un gros bourrin, et son pote Gun, une arme à feu génétiquement modifiée, grande gueule et dopée aux drogues les plus dures. Cette paire de brutes aussi improbable que violente va essayer de propulser Butch lui-même sur le devant de la scène criminelle de Repo City. Finies les heures passées à réparer les stations de refroidissement, Butch va enfin pouvoir se laisser aller à ses instincts les plus vils. Sauf qu’évidemment, ça ne va pas se passer comme aimeraient nos deux acolytes…
Après le culte Transmetropolitan, Darick Robertson s’associe au cinéaste Adam Egypt Mortimer et nous plonge dans une nouvelle métropole futuro-psychédélique où se mêlent SF, polar, pulp et anticipation dans un cocktail nihiliste parfaitement jubilatoire. Un « buddy movie » grand-guignolesque et ultra violent à la manière de The Boys qui emprunte autant à la littérature de William Gibson qu’à Judge Dredd.
La beauté a un prix… et elle peut parfois vous être fatale.
C’est un fait : notre société est obsédée par l’apparence physique. À travers les médias ou la publicité, la beauté nous est imposée comme l’idéal suprême à atteindre. Et s’il y avait un moyen de la garantir éternellement ? Et si ce moyen était une maladie sexuellement transmissible ? Dans un monde où la grande majorité de la population a déjà été « contaminée » par la perfection physique, deux agents du FBI vont enquêter sur les origines de ce mystérieux virus et découvrir que la beauté a un prix… et qu’elle peut vous coûter la vie.
Entre thriller et fable politique, Jeremy Haun (Constantine, Batwoman) et Jason A. Hurley mettent le doigt sur l’obsession de nos sociétés modernes pour la beauté extérieure et le culte du corps.
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