Thierry_2 a écrit:mbouglion a écrit:Il faudrait que le bishop soit cavalier pour prendre la reine ! (edit : à une case près, j'avais mal regardé)
le cavalier, c'est le prince Philip. Il saute les cases dans son 4x4
il est pas aussi le mari de la reine (déchu de son permi de conduire), donc il est plutôt le roi, non?
toine74 a écrit:Cooltrane a écrit:rahoul a écrit:et il y a aussi un bishop !
Jamais pigé pq on appenait cette pièce le "fou" en français, alors que c'est clairement une mitre d'évèque qui chapaute la pièce.
C'est un peu plus compliqué
– L’éléphant, al-Fil, mot arabe que les Espagnos ont conservé tel quel, donnera, en italien, Alfino, puis Alfiere et, en français, Aufin. Le passage au mot Fou, très proche phonétiquement, s’expliquerait par la présence de « fous » aux côtés des rois. Le rôle attribué à la pièce l’emporterait alors sur l’évolution phonétique, comme en anglais et en allemand, où Al-fil deviendra respectivement Bishop (évêque) et Laufer (coureur).
merci pour l'explication, mais c'est clairement une mitre d'évèque sur la pièce, et pas un chapeau de bouffon avec des clochettes...
De plus le bouffon (fou ou pas) n'est pas une pièce militaire ou politique , contrairement à l'évèque ou cardinal (Mazarin ou Richelieu)...
encore que la plupart des cardinaux sont des bouffons un peu fou
Mieux vaut tapis Persan volé que tapis volant percé (Uderzo.... et oui, pas Goscinny)