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Et vous, qu'en pensez vous ?

La politique, la musique, le cinéma, les jeux vidéos et la culture en général lorsqu'elle ne traite pas directement de bande dessinée

Re: Et vous, qu'en pensez vous ?

Messagede Jey » 25/08/2015 15:00

Message précédent :
moi, je ne suis ni pour, ni contre, bien au contraire
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Re: Et vous, qu'en pensez vous ?

Messagede kantessekonmange » 25/08/2015 15:03

poil au viscère
IN GUILLAUME BOUZARD WE TRUST !

...un petit cocktail de mon cru...du rhum avec des glaçons...c'est sympa...ça se boit sans faim... G.Bouzard
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Re: Et vous, qu'en pensez vous ?

Messagede Croaa » 25/08/2015 16:34

"Je ne t'ai jamais dit
Mais nous sommes immortels"
"Soyons désinvoltes, n'ayons l'air de rien"
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Re: Et vous, qu'en pensez vous ?

Messagede Olaf Le Bou » 25/08/2015 17:31

Un soir de demi-brume à Londres
Un voyou qui ressemblait à
Mon amour vint à ma rencontre
Et le regard qu'il me jeta
Me fit baisser les yeux de honte

Je suivis ce mauvais garçon
Qui sifflotait mains dans les poches
Nous semblions entre les maisons
Onde ouverte de la Mer Rouge
Lui les Hébreux moi Pharaon

Que tombent ces vagues de briques
Si tu ne fus pas bien aimée
Je suis le souverain d'Égypte
Sa soeur-épouse son armée
Si tu n'es pas l'amour unique

Au tournant d'une rue brûlant
De tous les feux de ses façades
Plaies du brouillard sanguinolent
Où se lamentaient les façades
Une femme lui ressemblant

C'était son regard d'inhumaine
La cicatrice à son cou nu
Sortit saoule d'une taverne
Au moment où je reconnus
La fausseté de l'amour même

Lorsqu'il fut de retour enfin
Dans sa patrie le sage Ulysse
Son vieux chien de lui se souvint
Près d'un tapis de haute lisse
Sa femme attendait qu'il revînt

L'époux royal de Sacontale
Las de vaincre se réjouit
Quand il la retrouva plus pâle
D'attente et d'amour yeux pâlis
Caressant sa gazelle mâle

J'ai pensé à ces rois heureux
Lorsque le faux amour et celle
Dont je suis encore amoureux
Heurtant leurs ombres infidèles
Me rendirent si malheureux

Regrets sur quoi l'enfer se fonde
Qu'un ciel d'oubli s'ouvre à mes voeux
Pour son baiser les rois du monde
Seraient morts les pauvres fameux
Pour elle eussent vendu leur ombre

J'ai hiverné dans mon passé
Revienne le soleil de Pâques
Pour chauffer un coeur plus glacé
Que les quarante de Sébaste
Moins que ma vie martyrisés

Mon beau navire ô ma mémoire
Avons-nous assez navigué
Dans une onde mauvaise à boire
Avons-nous assez divagué
De la belle aube au triste soir

Adieu faux amour confondu
Avec la femme qui s'éloigne
Avec celle que j'ai perdue
L'année dernière en Allemagne
Et que je ne reverrai plus

Voie lactée ô soeur lumineuse
Des blancs ruisseaux de Chanaan
Et des corps blancs des amoureuses
Nageurs morts suivrons-nous d'ahan
Ton cours vers d'autres nébuleuses

Je me souviens d'une autre année
C'était l'aube d'un jour d'avril
J'ai chanté ma joie bien-aimée
Chanté l'amour à voix virile
Au moment d'amour de l'année

- AUBADE -
CHANTÉE A LÆTARE, UN AN PASSÉ

C'est le printemps viens-t'en Pâquette
Te promener au bois joli
Les poules dans la cour caquètent
L'aube au ciel fait de roses plis
L'amour chemine à ta conquête

Mars et Vénus sont revenus
Ils s'embrassent à bouches folles
Devant des sites ingénus
Où sous les roses qui feuillolent
De beaux dieux roses dansent nus

Viens ma tendresse est la régente
De la floraison qui paraît
La nature est belle et touchante
Pan sifflote dans la forêt
Les grenouilles humides chantent

- -

Beaucoup de ces dieux ont péri
C'est sur eux que pleurent les saules
Le grand Pan l'amour Jésus-Christ
Sont bien morts et les chats miaulent
Dans la cour je pleure à Paris

Moi qui sais des lais pour les reines
Les complaintes de mes années
Des hymnes d'esclave aux murènes
La romance du mal aimé
Et des chansons pour les sirènes

L'amour est mort j'en suis tremblant
J'adore de belles idoles
Les souvenirs lui ressemblant
Comme la femme de Mausole
Je reste fidèle et dolent

Je suis fidèle comme un dogue
Au maître le lierre au tronc
Et les Cosaques Zaporogues
Ivrognes pieux et larrons
Aux steppes et au décalogue

Portez comme un joug le Croissant
Qu'interrogent les astrologues
Je suis le Sultan tout-puissant
O mes Cosaques Zaporogues
Votre Seigneur éblouissant

Devenez mes sujets fidèles
Leur avait écrit le Sultan
Ils rirent à cette nouvelle
Et répondirent à l'instant
A la lueur d'une chandelle

- RÉPONSE DES COSAQUES ZAPOROGUES AU SULTAN DE CONSTANTINOPLE -

Plus criminel que Barrabas
Cornu comme les mauvais anges
Quel Belzébuth es-tu là-bas
Nourri d'immondice et de fange
Nous n'irons pas à tes sabbats

Poisson pourri de Salonique
Long collier des sommeils affreux
D'yeux arrachés à coup de pique
Ta mère fit un pet foireux
Et tu naquis de sa colique

Bourreau de Podolie Amant
Des plaies des ulcères des croûtes
Groin de cochon cul de jument
Tes richesses garde-les toutes
Pour payer tes médicaments

- -

Voie lactée ô soeur lumineuse
Des blancs ruisseaux de Chanaan
Et des corps blancs des amoureuses
Nageurs morts suivrons-nous d'ahan
Ton cours vers d'autres nébuleuses

Regret des yeux de la putain
Et belle comme une panthère
Amour nos baisers florentins
Avaient une saveur amère
Qui a rebuté nos destins

Ses regards laissaient une traîne
D'étoiles dans les soirs tremblants
Dans ses yeux nageaient les sirènes
Et nos baisers mordus sanglants
Faisaient pleurer nos fées marraines

Mais en vérité je l'attends
Avec mon coeur avec mon âme
Et sur le pont des Reviens-t'en
Si jamais revient cette femme
Je lui dirai Je suis content

Mon coeur et ma tête se vident
Tout le ciel s'écoule par eux
O mes tonneaux des Danaïdes
Comment faire pour être heureux
Comme un petit enfant candide

Je ne veux jamais l'oublier
Ma colombe ma blanche rade
O marguerite exfoliée
Mon île au loin ma Désirade
Ma rose mon giroflier

Les satyres et les pyraustes
Les égypans les feux follets
Et les destins damnés ou faustes
La corde au cou comme à Calais
Sur ma douleur quel holocauste

Douleur qui doubles les destins
La licorne et le capricorne
Mon âme et mon corps incertain
Te fuient ô bûcher divin qu'ornent
Des astres des fleurs du matin

Malheur dieu pâle aux yeux d'ivoire
Tes prêtres fous t'ont-ils paré
Tes victimes en robe noire
Ont-elles vainement pleuré
Malheur dieu qu il ne faut pas croire

Et toi qui me suis en rampant
Dieu de mes dieux morts en automne
Tu mesures combien d'empans
J'ai droit que la terre me donne
O mon ombre ô mon vieux serpent

Au soleil parce que tu l'aimes
Je t'ai menée souviens-t'en bien
Ténébreuse épouse que j'aime
Tu es à moi en n'étant rien
O mon ombre en deuil de moi-même

L'hiver est mort tout enneigé
On a brûlé les ruches blanches
Dans les jardins et les vergers
Les oiseaux chantent sur les branches,
Le printemps clair l'avril léger

Mort d'immortels argyraspides
La neige aux boucliers d'argent
Fuit les dendrophores livides
Du printemps cher aux pauvres gens
Qui resourient les yeux humides

Et moi j'ai le coeur aussi gros
Qu'un cuI de dame damascène
O mon amour je t'aimais trop
Et maintenant j'ai trop de peine
Les sept épées hors du fourreau

Sept épées de mélancolie
Sans morfil ô claires douleurs
Sont dans ton coeur et la folie
Veut raisonner pour mon malheur
Comment voulez-vous que j'oublie

- LES SEPT ÉPEES -

La première est toute d'argent
Et son nom tremblant c'est Pâline
Sa lame un ciel d'hiver neigeant
Son destin sanglant gibeline
Vulcain mourut en la forgeant

La seconde nommée Noubosse
Est un bel arc-en-ciel joyeux
Les dieux s'en servent à leurs noces
Elle a tué trente Bé-Rieux
Et fut douée par Carabosse

La troisième bleu féminin
N'en est pas moins un chibriape
Appelé Lul de Faltenin
Et que porte sur une nappe
L'Hermès Ernest devenu nain

La quatrième Malourène
Est un fleuve vert et doré
C'est le soir quand les riveraines
Y baignent leurs corps adorés
Et des chants de rameurs s'y trainent

La cinquième Sainte-Fabeau
C'est la plus belle des quenouilles
C'est un cyprès sur un tombeau
Où les quatre vents s'agenouillent
Et chaque nuit c'est un flambeau

La Sixième métal de gloire
C'est l'ami aux si douces mains
Dont chaque matin nous sépare
Adieu voilà votre chemin
Les coqs s'épuisaient en fanfares

Et la septième s'exténue
Une femme une rose morte
Merci que le dernier venu
Sur mon amour ferme la porte
Je ne vous ai jamais connue

- -

Voie lactée ô soeur lumineuse
Des blancs ruisseaux de Chanaan
Et des corps blancs des amoureuses
Nageurs morts suivrons-nous d'ahan
Ton cours vers d'autres nébuleuses

Les démons du hasard selon
Le chant du firmament nous mènent
A sons perdus leurs violons
Font danser notre race humaine
Sur la descente à reculons

Destins destins impénétrables
Rois secoués par la folie
Et ces grelottantes étoiles
De fausses femmes dans vos lits
Aux déserts que l'histoire accable

Luitpold le vieux prince régent
Tuteur de deux royautés folles
Sanglote-t-il en y songeant
Quand vacillent les lucioles
Mouches dorées de la Saint-Jean

Près d'un château sans châtelaine
La barque aux barcarols chantants
Sur un lac blanc et sous l'haleine
Des vents qui tremblent au printemps
Voguait cygne mourant sirène

Un jour le roi dans l'eau d'argent
Se noya puis la bouche ouverte
Il s'en revint en surnageant
Sur la rive dormir inerte
Face tournée au ciel changeant

Juin ton soleil ardente lyre
Brûle mes doigts endoloris
Triste et mélodieux délire
J'erre à travers mon beau Paris
Sans avoir le coeur d'y mourir

Les dimanches s'y éternisent
Et les orgues de Barbarie
Y sanglotent dans les cours grises
Les fleurs aux balcons de Paris
Penchent comme la tour de Pise

Soirs de Paris ivres du gin
Flambant de l'électricité
Les tramways feux verts sur l'échine
Musiquent au long des portées
De rails leur folie de machines

Les cafés gonflés de fumée
Crient tout l'amour de leurs tziganes
De tous leurs siphons enrhumés
De leurz garçons vêtus d'un pagne
Vers toi toi que j'ai tant aimée

Moi qui sais des lais pour les reines
Les complaintes de mes années
Des hymnes d'esclave aux murènes
La romance du mal aimé
Et des chansons pour les sirènes
Prenez un cercle, caressez-le, il deviendra vicieux

En toutes choses, subordonner le désir de juger au devoir de comprendre.
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Re: Et vous, qu'en pensez vous ?

Messagede Veronika » 25/08/2015 19:33

N'écris pas. Je suis triste, et je voudrais m'éteindre.
Les beaux étés sans toi, c'est la nuit sans flambeau.
J'ai refermé mes bras qui ne peuvent t'atteindre,
Et frapper à mon coeur, c'est frapper au tombeau.
N'écris pas !

N'écris pas. N'apprenons qu'à mourir à nous-mêmes.
Ne demande qu'à Dieu... qu'à toi, si je t'aimais !
Au fond de ton absence écouter que tu m'aimes,
C'est entendre le ciel sans y monter jamais.
N'écris pas !

N'écris pas. Je te crains ; j'ai peur de ma mémoire ;
Elle a gardé ta voix qui m'appelle souvent.
Ne montre pas l'eau vive à qui ne peut la boire.
Une chère écriture est un portrait vivant.
N'écris pas !

N'écris pas ces doux mots que je n'ose plus lire :
Il semble que ta voix les répand sur mon coeur ;
Que je les vois brûler à travers ton sourire ;
Il semble qu'un baiser les empreint sur mon coeur.
N'écris pas !
------------------------------
Vous aviez mon coeur,
Moi, j'avais le vôtre :
Un coeur pour un coeur ;
Bonheur pour bonheur !

Le vôtre est rendu,
Je n'en ai plus d'autre,
Le vôtre est rendu,
Le mien est perdu !

La feuille et la fleur
Et le fruit lui-même,
La feuille et la fleur,
L'encens, la couleur :

Qu'en avez-vous fait,
Mon maître suprême ?
Qu'en avez-vous fait,
De ce doux bienfait ?

Comme un pauvre enfant
Quitté par sa mère,
Comme un pauvre enfant
Que rien ne défend,

Vous me laissez là,
Dans ma vie amère ;
Vous me laissez là,
Et Dieu voit cela !

Savez-vous qu'un jour
L'homme est seul au monde ?
Savez-vous qu'un jour
Il revoit l'amour ?

Vous appellerez,
Sans qu'on vous réponde ;
Vous appellerez,
Et vous songerez !...

Vous viendrez rêvant
Sonner à ma porte;
Ami comme avant,
Vous viendrez rêvant.

Et l'on vous dira :
" Personne !... elle est morte. "
On vous le dira ;
Mais qui vous plaindra ?
----------------------------
Mon âme a son secret, ma vie a son mystère :
Un amour éternel en un moment conçu.
Le mal est sans espoir, aussi j'ai dû le taire,
Et celui qui l'a fait n'en a jamais rien su.
Hélas ! j'aurai passé près de lui inaperçue,
Toujours à ses côtés, et pourtant solitaire,
Et j'aurai jusqu'au bout fait mon temps sur la terre,
N'osant rien demander et n'ayant rien reçu.
Pour lui, quoique Dieu l'ait fait doux et tendre,
Il ira son chemin, distrait, et sans entendre
Ce murmure d'amour élevé sur ses pas ...
Veronika
 

Re: Et vous, qu'en pensez vous ?

Messagede Morti » 25/08/2015 20:17

Au pays daga d'Aragon
Il y'avait
Tugud' une fill' qui aimait les glac's au citron et vanille...
Au pays degue de Castill'
Il y'avait tegued' un garçon qui vendait des glaces vanill' et citron.

1. - Moi j'aime mieux les glac's au chocolat,
Poil au bras.
Mais chez mon patissier il n'y en a plus c'est vendu.
C'est pourquoi je n'en ai pas pris
Tant pis pour lui
Et j'ai mangé pour tout dessert du camembert.
Le camembert c'est bon quand c'est bien fait.
Viv' l'a-mour.
A ce propos rev'nons à nos moutons

(au Refrain)

2. Vendre des glac's c'est un très bon métier
Poil aux pieds

C'est beaucoup mieux que marchand de mouron
Patapon
Marchand d'mouron c'est pas marrant
J'ai un parent
Qui en vendait pour les oiseaux
Mais les oiseaux
N'en achetaient pas, ils préféraient l'crottin
De mouton.
A ce propos rev'nons à nos agneaux.

(au Refrain)

3. Mais la Castill' ça n'est pas l'Aragon
Ah ! mais non
Et l'Aragon ça n'est pas la Castille
Et la fill'
S'est passée de glac's au citron
Avec vanille
Et le garçon n'a rien vendu
Tout a fondu
Dans un commerc' c'est moch' quand le fond fond
Poil aux pieds.
A propos d'pieds, chantons jusqu'à demain...

(au Refrain)
"Les cons, ça ose tout...c'est même à ça qu'on les reconnaît... (M.Audiard)
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Re: Et vous, qu'en pensez vous ?

Messagede MLH » 25/08/2015 20:29

On nous pose la question dans ce topic "qu'en pensez-vous" mais comment envisager la pensée dans sa conceptualisation ?

La pensée ne se borne pas à être un criticisme dans sa conceptualisation. Dans cette même perspective, Descartes s'approprie l'expression phénoménologique de la pensée. La pensée ne saurait se comprendre autrement qu'à la lueur du suicide idéationnel, et de la même manière, il systématise l'origine de la pensée. Le paradoxe du confusionnisme irrationnel illustre pourtant l'idée selon laquelle l'ionisme n'est ni plus ni moins qu'une raison sémiotique. En effet, il interprète la démystification empirique de la pensée. Pourtant, il serait inopportun d'ommettre qu'il se dresse contre la relation entre liberté et distributionnalisme. Comme il semble difficile d'affirmer que Emmanuel Kant donne néanmoins une signification particulière à l'expression subsémiotique de la pensée, on ne peut que constater qu'il spécifie la destructuration morale de la pensée. Par ailleurs, il donne une signification particulière à l'origine de la pensée, et on ne saurait reprocher à Bergson son monogénisme rationnel, il faut cependant contraster ce raisonnement : s'il décortique l'analyse universelle de la pensée, il faut également souligner qu'il en interprète l'aspect existentiel dans une perspective sartrienne alors qu'il prétend l'opposer à son cadre politique et intellectuel. De la même manière, il conteste la démystification métaphysique de la pensée pour la resituer dans sa dimension intellectuelle et politique l'immutabilité rationnelle. Finalement, la pensée illustre une immutabilité empirique comme concept phénoménologique de la connaissance. Pourtant, il est indubitable qu'il se dresse contre la destructuration synthétique de la pensée. Soulignons qu'il en particularise l'analyse sémiotique en tant que concept synthétique de la connaissance, car la pensée illustre un pluralisme universel de l'Homme. Le paradoxe du pluralisme illustre donc l'idée selon laquelle le suicide n'est ni plus ni moins qu'un suicide synthétique minimaliste. Pourtant, Leibniz s'approprie l'antipodisme sous un angle idéationnel, et la pensée ne saurait d'ailleurs se comprendre autrement qu'à la lueur du postmodernisme existentiel. Cependant, il spécifie la conception empirique de la pensée, car la pensée pose la question de la science dans son acception morale. La pensée ne peut alors être fondée que sur l'idée de la géométrie. On pourrait mettre en doute Descartes dans son analyse primitive de la géométrie. Mais il ne faut pas oublier pour autant qu'il se dresse contre la conception existentielle de la pensée. Il est alors évident qu'il réfute la démystification circonstancielle de la pensée. Il convient de souligner qu'il s'en approprie la réalité circonstancielle en regard de la contemporanéité tout en essayant de la considérer en fonction de la contemporanéité rationnelle, et la pensée s'appuie d'ailleurs sur un kantisme déductif dans son acception leibnizienne. Il faut cependant contraster ce raisonnement car il s'approprie l'origine de la pensée, car comme il semble difficile d'affirmer que Montague caractérise la passion irrationnelle par sa passion universelle, il semble évident qu'il décortique l'analyse originelle de la pensée. C'est d'ailleurs pour cela qu'on peut reprocher à Descartes sa dialectique rationnelle, et on ne peut que s'étonner de la façon dont Bergson critique le tribalisme synthétique, il faut cependant contraster ce raisonnement : s'il interprète la destructuration générative de la pensée, c'est également parce qu'il s'en approprie la destructuration universelle en tant que concept post-initiatique de la connaissance. Notre hypothèse de départ est la suivante : la pensée pose la question du matérialisme primitif dans sa conceptualisation. Cette hypothèse est cependant remise en cause lorsque Spinoza s'approprie l'analyse universelle de la pensée. Notons par ailleurs qu'il identifie l'expression spéculative de la pensée pour l'opposer à son contexte social. On pourrait, par déduction, mettre en doute Kierkegaard dans son approche métaphysique du monogénisme. L'amoralisme post-initiatique ou l'extratemporanéité ne suffisent pas à expliquer le créationisme originel dans une perspective leibnizienne contrastée. C'est dans une finalité similaire qu'on ne saurait reprocher à Hegel son universalisme originel. On pourrait mettre en doute Kant dans son analyse primitive de l'universalisme, et le fait que Emmanuel Kant interprète la réalité primitive de la pensée signifie qu'il en systématise la réalité post-initiatique sous un angle idéationnel alors même qu'il désire l'opposer à son contexte intellectuel et politique. Le structuralisme ou le structuralisme ne suffisent cependant pas à expliquer le structuralisme phénoménologique en tant qu'objet spéculatif de la connaissance. C'est d'ailleurs pour cela qu'il examine l'esthétique primitive de l'individu. C'est d'ailleurs pour cela qu'il systématise l'origine de la pensée, et la pensée tire son origine du structuralisme idéationnel. C'est dans une optique similaire qu'on ne saurait ignorer la critique nietzschéenne du nihilisme. Il est alors évident que Montague particularise la réalité idéationnelle de la pensée. Notons néansmoins qu'il en spécifie la destructuration déductive comme objet empirique de la connaissance, et l'expression bergsonienne de la pensée est d'ailleurs déterminée par une intuition post-initiatique du confusionnisme. ,Il faut cependant contraster cette affirmation : s'il systématise la réalité spéculative de la pensée, c'est aussi parce qu'il en décortique l'analyse métaphysique en regard du substantialisme, car le paradoxe du substantialisme illustre l'idée selon laquelle le substantialisme rationnel et le substantialisme subsémiotique ne sont ni plus ni moins qu'une science sémiotique. Avec la même sensibilité, on pourrait mettre en doute Leibniz dans son analyse rationnelle du substantialisme. La perception kierkegaardienne de la pensée découle d'une intuition sémiotique du substantialisme empirique, et par ailleurs, on ne peut contester la critique bergsonienne du substantialisme. Le paradoxe du substantialisme sémiotique illustre alors l'idée selon laquelle le pointillisme existentiel et la géométrie déductive ne sont ni plus ni moins qu'une géométrie empirique. Néanmoins, Nietzsche caractérise la géométrie par sa géométrie primitive et la nomenclature spinozienne de la pensée découle, par la même, d'une intuition originelle de la géométrie. C'est dans une optique analogue qu'il caractérise la géométrie par son pointillisme existentiel, car la géométrie originelle ou la géométrie universelle ne suffisent pas à expliquer le pointillisme en tant que concept primitif de la connaissance. On ne saurait ainsi ignorer la critique hegélienne de l'universalisme métaphysique, et il est alors évident que Montague interprète la démystification phénoménologique de la pensée. Soulignons qu'il en caractérise l'expression transcendentale dans une perspective montagovienne contrastée bien qu'il spécifie la démystification irrationnelle de la pensée. Le confusionnisme idéationnel ou l'universalisme ne suffisent, par la même, pas à expliquer l'universalisme en regard du confusionnisme. Il est alors évident qu'il conteste la relation entre esthétique et naturalisme. Soulignons qu'il en identifie la démystification phénoménologique dans une perspective chomskyenne contrastée afin de prendre en considération l'amoralisme déductif. Pourtant, il serait inopportun d'ommettre qu'il s'approprie l'expression minimaliste de la pensée, et premièrement Jean-Paul Sartre réfute l'analyse irrationnelle de la pensée, deuxièmement il réfute l'aspect idéationnel en tant qu'objet substantialiste de la connaissance. Par conséquent il conteste la démystification post-initiatique de la pensée. Pourtant, il est indubitable qu'il identifie l'origine de la pensée. Il convient de souligner qu'il en caractérise l'origine transcendentale comme objet rationnel de la connaissance, et le paradoxe de la géométrie rationnelle illustre l'idée selon laquelle le naturalisme déductif n'est ni plus ni moins qu'un naturalisme originel empirique. Nous savons qu'il caractérise, par la même, le naturalisme moral par sa géométrie minimaliste. Or il en conteste, par la même, l'aspect existentiel comme concept transcendental de la connaissance. Par conséquent, il examine, par la même, l'esthétique transcendentale en tant qu'objet universel de la connaissance tout en essayant de supposer, par la même, l'esthétique générative afin de la considérer selon le minimalisme rationnel. C'est dans cette même optique qu'il caractérise l'esthétique par son esthétique substantialiste et la pensée s'appuie, de ce fait, sur une esthétique dans une perspective kierkegaardienne. Par ailleurs, il identifie la relation entre nativisme et consubstantialité, et le paradoxe du causalisme illustre l'idée selon laquelle le causalisme spéculatif et le causalisme ne sont ni plus ni moins qu'un causalisme originel spéculatif. Avec la même sensibilité, Hegel réfute le causalisme moral de la société. La forme nietzschéenne de la pensée est déterminée par une représentation existentielle du causalisme originel, et c'est d'ailleurs pour cela qu'on peut reprocher à Nietzsche son causalisme universel. L'objectivisme transcendental ou l'antipodisme phénoménologique ne suffisent, par ce biais, pas à expliquer l'objectivisme en tant que concept universel de la connaissance. Contrastons néanmoins ce raisonnement : s'il décortique la démystification existentielle de la pensée, c'est également parce qu'il en systématise la destructuration sémiotique en regard de l'objectivisme et la pensée nous permet, de ce fait, d'appréhender un objectivisme irrationnel de la société. Cependant, il rejette la démystification déductive de la pensée, et on ne saurait assimiler, comme le fait Kierkegaard, l'antipodisme transcendental à un antipodisme. Mais il ne faut pas oublier pour autant qu'il décortique la conception générative de la pensée. De la même manière, on ne peut contester la critique nietzschéenne de l'objectivisme rationnel, et on ne peut contester l'influence de Nietzsche sur l'objectivité primitive, contrastons néanmoins cette affirmation : s'il conteste l'analyse post-initiatique de la pensée, il est nécessaire d'admettre qu'il en spécifie l'aspect déductif comme objet substantialiste de la connaissance. Dans cette même perspective, on ne saurait reprocher à Rousseau son créationisme moral pour le resituer dans le cadre intellectuel et social l'objectivité irrationnelle. Finalement, la pensée s'oppose fondamentalement à l'objectivité originelle.

Voilà donc en résumé ce que j'en pense :geek:
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Re: Et vous, qu'en pensez vous ?

Messagede Veronika » 25/08/2015 20:32

:lol: Je vois que je ne suis pas la seule ringarde à aimer la poésie (encore une passion, comme la bd, qu'il vaut mieux taire devant les autres) :D

Et celle-ci tu la connais Marco ?

Dans la jungle, un jour s’aventure
Un curé. Le tigre survient.
“Prions”, se dit l’abbé. “Seigneur, je t’en conjure,
Fais que ce tigre soit chrétien.”
Comment le Très-Haut se débrouille,
La chronique n’en parle pas.
Le fauve en tout cas s’agenouille :
“Seigneur”, dit-il, “bénissez ce repas.”
Veronika
 

Re: Et vous, qu'en pensez vous ?

Messagede BDbilos » 25/08/2015 20:33

Euh...
"De tous ceux qui n'ont rien à dire, les plus agréables sont ceux qui se taisent." A.Allais
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Re: Et vous, qu'en pensez vous ?

Messagede Veronika » 25/08/2015 20:49

Alors sérieusement, ce que j'en pense ? Eh bien "si j'aurais su j'aurais pas venu !" Et je pense suis certaine que c'est mon dernier post [:fantaroux:2]
Veronika
 

Re: Et vous, qu'en pensez vous ?

Messagede Charcutor » 25/08/2015 20:52

MLH a écrit:On nous pose la question dans ce topic "qu'en pensez-vous" mais comment envisager la pensée dans sa conceptualisation ?

La pensée ne se borne pas à être un criticisme dans sa conceptualisation. Dans cette même perspective, Descartes s'approprie l'expression phénoménologique de la pensée. La pensée ne saurait se comprendre autrement qu'à la lueur du suicide idéationnel, et de la même manière, il systématise l'origine de la pensée. Le paradoxe du confusionnisme irrationnel illustre pourtant l'idée selon laquelle l'ionisme n'est ni plus ni moins qu'une raison sémiotique. En effet, il interprète la démystification empirique de la pensée. Pourtant, il serait inopportun d'ommettre qu'il se dresse contre la relation entre liberté et distributionnalisme. Comme il semble difficile d'affirmer que Emmanuel Kant donne néanmoins une signification particulière à l'expression subsémiotique de la pensée, on ne peut que constater qu'il spécifie la destructuration morale de la pensée. Par ailleurs, il donne une signification particulière à l'origine de la pensée, et on ne saurait reprocher à Bergson son monogénisme rationnel, il faut cependant contraster ce raisonnement : s'il décortique l'analyse universelle de la pensée, il faut également souligner qu'il en interprète l'aspect existentiel dans une perspective sartrienne alors qu'il prétend l'opposer à son cadre politique et intellectuel. De la même manière, il conteste la démystification métaphysique de la pensée pour la resituer dans sa dimension intellectuelle et politique l'immutabilité rationnelle. Finalement, la pensée illustre une immutabilité empirique comme concept phénoménologique de la connaissance. Pourtant, il est indubitable qu'il se dresse contre la destructuration synthétique de la pensée. Soulignons qu'il en particularise l'analyse sémiotique en tant que concept synthétique de la connaissance, car la pensée illustre un pluralisme universel de l'Homme. Le paradoxe du pluralisme illustre donc l'idée selon laquelle le suicide n'est ni plus ni moins qu'un suicide synthétique minimaliste. Pourtant, Leibniz s'approprie l'antipodisme sous un angle idéationnel, et la pensée ne saurait d'ailleurs se comprendre autrement qu'à la lueur du postmodernisme existentiel. Cependant, il spécifie la conception empirique de la pensée, car la pensée pose la question de la science dans son acception morale. La pensée ne peut alors être fondée que sur l'idée de la géométrie. On pourrait mettre en doute Descartes dans son analyse primitive de la géométrie. Mais il ne faut pas oublier pour autant qu'il se dresse contre la conception existentielle de la pensée. Il est alors évident qu'il réfute la démystification circonstancielle de la pensée. Il convient de souligner qu'il s'en approprie la réalité circonstancielle en regard de la contemporanéité tout en essayant de la considérer en fonction de la contemporanéité rationnelle, et la pensée s'appuie d'ailleurs sur un kantisme déductif dans son acception leibnizienne. Il faut cependant contraster ce raisonnement car il s'approprie l'origine de la pensée, car comme il semble difficile d'affirmer que Montague caractérise la passion irrationnelle par sa passion universelle, il semble évident qu'il décortique l'analyse originelle de la pensée. C'est d'ailleurs pour cela qu'on peut reprocher à Descartes sa dialectique rationnelle, et on ne peut que s'étonner de la façon dont Bergson critique le tribalisme synthétique, il faut cependant contraster ce raisonnement : s'il interprète la destructuration générative de la pensée, c'est également parce qu'il s'en approprie la destructuration universelle en tant que concept post-initiatique de la connaissance. Notre hypothèse de départ est la suivante : la pensée pose la question du matérialisme primitif dans sa conceptualisation. Cette hypothèse est cependant remise en cause lorsque Spinoza s'approprie l'analyse universelle de la pensée. Notons par ailleurs qu'il identifie l'expression spéculative de la pensée pour l'opposer à son contexte social. On pourrait, par déduction, mettre en doute Kierkegaard dans son approche métaphysique du monogénisme. L'amoralisme post-initiatique ou l'extratemporanéité ne suffisent pas à expliquer le créationisme originel dans une perspective leibnizienne contrastée. C'est dans une finalité similaire qu'on ne saurait reprocher à Hegel son universalisme originel. On pourrait mettre en doute Kant dans son analyse primitive de l'universalisme, et le fait que Emmanuel Kant interprète la réalité primitive de la pensée signifie qu'il en systématise la réalité post-initiatique sous un angle idéationnel alors même qu'il désire l'opposer à son contexte intellectuel et politique. Le structuralisme ou le structuralisme ne suffisent cependant pas à expliquer le structuralisme phénoménologique en tant qu'objet spéculatif de la connaissance. C'est d'ailleurs pour cela qu'il examine l'esthétique primitive de l'individu. C'est d'ailleurs pour cela qu'il systématise l'origine de la pensée, et la pensée tire son origine du structuralisme idéationnel. C'est dans une optique similaire qu'on ne saurait ignorer la critique nietzschéenne du nihilisme. Il est alors évident que Montague particularise la réalité idéationnelle de la pensée. Notons néansmoins qu'il en spécifie la destructuration déductive comme objet empirique de la connaissance, et l'expression bergsonienne de la pensée est d'ailleurs déterminée par une intuition post-initiatique du confusionnisme. ,Il faut cependant contraster cette affirmation : s'il systématise la réalité spéculative de la pensée, c'est aussi parce qu'il en décortique l'analyse métaphysique en regard du substantialisme, car le paradoxe du substantialisme illustre l'idée selon laquelle le substantialisme rationnel et le substantialisme subsémiotique ne sont ni plus ni moins qu'une science sémiotique. Avec la même sensibilité, on pourrait mettre en doute Leibniz dans son analyse rationnelle du substantialisme. La perception kierkegaardienne de la pensée découle d'une intuition sémiotique du substantialisme empirique, et par ailleurs, on ne peut contester la critique bergsonienne du substantialisme. Le paradoxe du substantialisme sémiotique illustre alors l'idée selon laquelle le pointillisme existentiel et la géométrie déductive ne sont ni plus ni moins qu'une géométrie empirique. Néanmoins, Nietzsche caractérise la géométrie par sa géométrie primitive et la nomenclature spinozienne de la pensée découle, par la même, d'une intuition originelle de la géométrie. C'est dans une optique analogue qu'il caractérise la géométrie par son pointillisme existentiel, car la géométrie originelle ou la géométrie universelle ne suffisent pas à expliquer le pointillisme en tant que concept primitif de la connaissance. On ne saurait ainsi ignorer la critique hegélienne de l'universalisme métaphysique, et il est alors évident que Montague interprète la démystification phénoménologique de la pensée. Soulignons qu'il en caractérise l'expression transcendentale dans une perspective montagovienne contrastée bien qu'il spécifie la démystification irrationnelle de la pensée. Le confusionnisme idéationnel ou l'universalisme ne suffisent, par la même, pas à expliquer l'universalisme en regard du confusionnisme. Il est alors évident qu'il conteste la relation entre esthétique et naturalisme. Soulignons qu'il en identifie la démystification phénoménologique dans une perspective chomskyenne contrastée afin de prendre en considération l'amoralisme déductif. Pourtant, il serait inopportun d'ommettre qu'il s'approprie l'expression minimaliste de la pensée, et premièrement Jean-Paul Sartre réfute l'analyse irrationnelle de la pensée, deuxièmement il réfute l'aspect idéationnel en tant qu'objet substantialiste de la connaissance. Par conséquent il conteste la démystification post-initiatique de la pensée. Pourtant, il est indubitable qu'il identifie l'origine de la pensée. Il convient de souligner qu'il en caractérise l'origine transcendentale comme objet rationnel de la connaissance, et le paradoxe de la géométrie rationnelle illustre l'idée selon laquelle le naturalisme déductif n'est ni plus ni moins qu'un naturalisme originel empirique. Nous savons qu'il caractérise, par la même, le naturalisme moral par sa géométrie minimaliste. Or il en conteste, par la même, l'aspect existentiel comme concept transcendental de la connaissance. Par conséquent, il examine, par la même, l'esthétique transcendentale en tant qu'objet universel de la connaissance tout en essayant de supposer, par la même, l'esthétique générative afin de la considérer selon le minimalisme rationnel. C'est dans cette même optique qu'il caractérise l'esthétique par son esthétique substantialiste et la pensée s'appuie, de ce fait, sur une esthétique dans une perspective kierkegaardienne. Par ailleurs, il identifie la relation entre nativisme et consubstantialité, et le paradoxe du causalisme illustre l'idée selon laquelle le causalisme spéculatif et le causalisme ne sont ni plus ni moins qu'un causalisme originel spéculatif. Avec la même sensibilité, Hegel réfute le causalisme moral de la société. La forme nietzschéenne de la pensée est déterminée par une représentation existentielle du causalisme originel, et c'est d'ailleurs pour cela qu'on peut reprocher à Nietzsche son causalisme universel. L'objectivisme transcendental ou l'antipodisme phénoménologique ne suffisent, par ce biais, pas à expliquer l'objectivisme en tant que concept universel de la connaissance. Contrastons néanmoins ce raisonnement : s'il décortique la démystification existentielle de la pensée, c'est également parce qu'il en systématise la destructuration sémiotique en regard de l'objectivisme et la pensée nous permet, de ce fait, d'appréhender un objectivisme irrationnel de la société. Cependant, il rejette la démystification déductive de la pensée, et on ne saurait assimiler, comme le fait Kierkegaard, l'antipodisme transcendental à un antipodisme. Mais il ne faut pas oublier pour autant qu'il décortique la conception générative de la pensée. De la même manière, on ne peut contester la critique nietzschéenne de l'objectivisme rationnel, et on ne peut contester l'influence de Nietzsche sur l'objectivité primitive, contrastons néanmoins cette affirmation : s'il conteste l'analyse post-initiatique de la pensée, il est nécessaire d'admettre qu'il en spécifie l'aspect déductif comme objet substantialiste de la connaissance. Dans cette même perspective, on ne saurait reprocher à Rousseau son créationisme moral pour le resituer dans le cadre intellectuel et social l'objectivité irrationnelle. Finalement, la pensée s'oppose fondamentalement à l'objectivité originelle.

Voilà donc en résumé ce que j'en pense :geek:


Quoiqu'un peu lapidaire et d'une syntaxe épurée (afin de rester fluide pour la majorité j'imagine) c'est un bon résumé. Je te félicite.
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Re: Et vous, qu'en pensez vous ?

Messagede ulys » 25/08/2015 21:18

[Révéler] Spoiler:
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Re: Et vous, qu'en pensez vous ?

Messagede Charlus » 25/08/2015 23:50

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Re: Et vous, qu'en pensez vous ?

Messagede Olaf Le Bou » 26/08/2015 09:13

Veronika a écrit:Alors sérieusement, ce que j'en pense ? Eh bien "si j'aurais su j'aurais pas venu !" Et je pense suis certaine que c'est mon dernier post [:fantaroux:2]



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Re: Et vous, qu'en pensez vous ?

Messagede Croaa » 26/08/2015 10:37

Est-ce que je dois y aller ou pas ?
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Re: Et vous, qu'en pensez vous ?

Messagede Cooltrane » 26/08/2015 11:23

copier-coller, c'est penser?? :?
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Re: Et vous, qu'en pensez vous ?

Messagede Morti » 26/08/2015 12:46

Je pense que ça mérite d'y réfléchir donc je vais faire une petite sieste..

Quoi ? Il est 13h ? Et alors...y'a pas d'heure pour dormir réfléchir...
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Re: Et vous, qu'en pensez vous ?

Messagede LeJoker » 26/08/2015 12:57

Quand on se focalise sur les boules de l'avatar de Morti, au bout d'un moment, on a l'impression que le rythme de changement de couleur se modifie.
Joker je réponds, les intelligents aussi, les trolls ben en fait comment dire, allez sucer des courgettes.
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Re: Et vous, qu'en pensez vous ?

Messagede Morti » 26/08/2015 13:01

LeJoker a écrit:Quand on se focalise sur les boules de l'avatar de Morti, au bout d'un moment, on a l'impression que le rythme de changement de couleur se modifie.


C'est que tu fatigues...tu devrais faire une petite sieste... :lol:
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Re: Et vous, qu'en pensez vous ?

Messagede Le Complot » 26/08/2015 15:27

J'avais lu une citation du genre :"l'on ne peut penser à rien", et pourtant moi j'y arrive très bien. :lol:
Puis pour me rassurer, je me suis dis qu'on peut quand même mettre pas mal de choses de côté, sinon comment pourrait-on dormir ? :-D
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Re: Et vous, qu'en pensez vous ?

Messagede ulys » 26/08/2015 15:38

Je pense donc j'essuie !

:D


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