crepp a écrit:ton billet a fait rire à la maison
Juste un point, s'il existe des combats difficiles, c'est que normalement le but est plutôt de les éviter et d'être dans une certaine discrétion (pour info ma fille joue en mode tacticien).
On attend la deuxième partie.
Anianka a écrit:mais question scénario, l'acte I est très bon, le II est un peu plus brouillon je trouve mais c'est du au fait que j'ai joué avec des gens ayant déjà terminé le jeu et donc qui avaient tendance à pas me laisser le temps de comprendre trop les enjeux ...
crepp a écrit:ton billet a fait rire à la maison
HervB a écrit:Anianka a écrit:mais question scénario, l'acte I est très bon, le II est un peu plus brouillon je trouve mais c'est du au fait que j'ai joué avec des gens ayant déjà terminé le jeu et donc qui avaient tendance à pas me laisser le temps de comprendre trop les enjeux ...
Je trouve aussi aussi l'acte II pas toujours très clair sur ce qu'il faut faire et comprendre qu'un certain nombre de quêtes annexes ne pourront être résolues que dans l'acte III. Par contre, quelle ambiance !
Et il faudra que j'essaye le mode tacticien dans ma prochaine partie. Et surtout que je bourrine moins avec une équipe peu équilibrée, trop orientée combats... Mais bon, c'est comme ça que j'aime jouer : on fonce et on cogne !
crepp a écrit:Sinon tu compares avec des jeux AAA, tu peux me donner un nom de jeu dans cette catégorie qui soit même un peu intéressant depuis ces 3 dernières années ?
Anianka a écrit:avoir la capacité d'éliminer très rapidement les ennemis les plus dangereux est la meilleure stratégie, et souvent en tacticien, entamer un combat comme des bourrins, puis économiser ses forces une fois les menaces principales éliminées (si tu ne veux pas enchainer les repos, ce qui est possible, mais que j'essaie de faire le moins possible) est la meilleure stratégie.
ubr84 a écrit:Le mythe de la tour de Babel est ici revisité de manière moderne en faisant référence à la bande dessinée franco-belge. Chants of Sennaar évoque ainsi Arzach (1976), chef-d’œuvre sans parole et existentialiste de Moebius. Les décors dans lesquels nous passons tant de temps à errer évoquent quant à eux la science-fiction psychédélique de Philippe Druillet ou les fantasmagories urbaines de François Schuiten. Parfaitement digérées, ces influences viennent donner vie à un monde mystérieux et fascinant. Avare d’explications sur sa trame narrative, l’édifice vidéoludique n’en est pas moins riche de sens.
Chants of Sennaar ça a l'air cool
https://www.lemonde.fr/pixels/article/2 ... 08996.html
HervB a écrit:Best Visual Design, faut vraiment avoir de la merde dans les yeux pour le donner à BG3.
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