je suggère d’interdire aussi au pays des Soviets (anticommunisme primaire), en Amérique (anti-américanisme de mauvais aloi, Le lotus bleu (mauvaise image du Japon), tous ceux mettant en scène le capitaine Haddock (promotion indirecte de l’alcolisme), le couple Dupont-Dupond (à l’époque le PACS n’était guère autorisé). Il faudra aussi penser à censurer ceux où l’on voit le répugnant Alcazar qui servit sans doute d’inspiration à un ancien président des Etats-Unis.
Sans oublier ceux où l’on voit un jeune homme (éternel célibataire) flanqué d’un chien on ne peut plus affectueux et fidèle.
Une association française a demandé à Casterman le retrait de la bande dessinée.
Après l’Angleterre, l’Afrique du Sud ou encore la Suède ...
http://www.toutenbd.com/article.php3?id_article=2119
Ils n'ont que ça à foutre?
La polémique sur « Tintin au Congo » rebondit. Deux dessinateurs congolais, Asimba Bathy et Dick Esale, ne voient pas l'intérêt d'interdire la célèbre BD de Hergé. Le hasard fait bien les choses. Alors que la polémique sur Tintin au Congo rebondit en France (où une association juge l'album « offensant » et demande à l'éditeur de le retirer de la vente), plusieurs dessinateurs congolais ont débarqué cette semaine en Belgique pour participer à une exposition de BD (1). C'est le cas d'Asimba Bathy et Dick Esale, deux auteurs très connus dans leur pays et qui mettent pour la première fois les pieds en Belgique.
Tous deux sont entrés dans le monde de la BD en lisant Tintin. « On aimait bien et on rigolait beaucoup », se souvient Asimba Bathy qui a eu la grande chance de rencontrer Bob De Moor en 1985 à Kinshasa. C'est d'ailleurs ce proche collaborateur d'Hergé qui lui a appris les bases du métier. « On a tous commencé par décalquer Tintin. » Il se souvient aussi qu'au temps du Zaïre, Mobutu s'était fâché en lisant la BD et qu'il avait décidé de l'interdire.
« On peut s'offusquer ou en rire, mais ce qui est fait est fait », poursuit Asimba Bathy à propos de l'album paru d'abord en 1930-31 dans Le Petit Vingtième. « D'après ce que mes parents racontaient, la réalité à l'époque était encore pire que ce que l'on voit dans Tintin Même les morts qui n'avaient pas payé leurs impôts étaient fouettés en public. » Le Congo était alors une colonie belge.
« Si on interdit cette BD maintenant, on risque d'en vendre encore plus. Je me demande d'ailleurs si ce n'est pas un coup monté », ajoute Asimba Bathy.
« Une version subjective »
« Cet album est un point de vue de Hergé à une époque donnée. Sur le plan esthétique, c'est du très beau dessin, dit Dick Esale. C'est une version subjective qui correspond sans doute à la piètre vision que les Belges avaient des Congolais Retirer l'album de la circulation, ce serait ôter la culture d'un élément avéré. Il vaudrait mieux ajouter un feuillet explicatif, pour que les lecteurs comprennent que ce Congo n'a rien à voir avec la réalité d'aujourd'hui. »
Pour Asimba Bathy, il y a une lecture plurielle à faire : Pourquoi Hergé a-t-il fait ça alors qu'il n'a jamais mis les pieds au Congo ? « On est en plein dans les clichés qu'avaient les Belges de l'époque sur le pays du diamant. Ils voulaient tout garder pour eux et ont amené des clichés négatifs en Belgique. Hergé a sauté sur l'occasion. Il a mis en exergue le traitement réservé aux Noirs à l'époque », explique-t-il.
« Ce qui me frappe le plus, poursuit Asimba Bathy, c'est tout ce papier inutile qu'on gaspille ici dans toutes sortes de publications alors que nous n'avons rien chez nous. » Ironie du sort, le Congo est sans doute un des rares pays où l'on ne vend pas le moindre Tintin au Congo, officiellement du moins. Par contre, on y trouve beaucoup de reproductions (tableaux, objets, sculptures, etc.) fabriquées par des artistes pour qui Tintin est une précieuse source de revenus. « Nous n'avons pas la même lecture de la protection des œuvres culturelles que chez vous », conclut Asimba Bathy. C'est ça aussi, Tintin vu du Congo.
(1) « Talatala », expo de BD congolaises à l'Espace Wallonie, rue Marché aux Herbes 25, 1000 BXL.
( Je ne sais pas si tu es sérieux ou non, mais je vais faire comme si...
ET je ne te considère pas comme un homosexuel )
Baruti, Barly
Scénariste Dessinateur
Identifiant BEL : 3607
Congo
à Kisangani (République Démocratique du Congo; ex-Zaïre)
Originaire du Zaïre, Barly Baruti débute dans les journaux africains et les ateliers graphiques de son pays puis décide de venir en Europe, plus précisément en Belgique, berceau de cette bande dessinée pour laquelle il se passionnea très tôt. Auteur- compositeur-interprète, les pôles d'intérêt de Baruti sont multiples.
Sa collaboration au studio Hergé a comblé son goût de la précision et du réalisme. Il rencontre Frank Giroud avec lequel il signe Eva K, chez Soleil. ''Eva K'', histoire d'une révolte, de l'opposition à une dictature, n'est pas très loin de son vécu ou tout au moins de son imaginaire nourri de son vécu. En mars 98, il dessine la série Mandrill, toujours avec Giroud, mais chez Glénat cette fois, dans la collection Bulle Noire.
héhé ok Romuald, je me suis emballé un peu trop vite, comme très souvent, mais c'était difficile de savoir si c'était du lard ou du cochon quand même
héhé ok Romuald, je me suis emballé un peu trop vite, comme très souvent, mais c'était difficile de savoir si c'était du lard ou du cochon quand même
Une dépêche AFP nous apprend que le Mouvement contre le racisme et pour l’amitié entre les peuples (MRAP) a demandé aux éditions Casterman d’insérer une notice explicative « éclairant le contexte historique de [Tintin au Congo] et appelant à la vigilance contre les préjugés racistes de l’ouvrage ». Cette association souligne son attachement à la liberté d’expression, même si Tintin au Congo véhicule des préjugés racistes.
Tintin au Congo : les nouveaux censeurs reviennent à la charge
Par Alain Léauthier, journaliste à Marianne.
Le CRAN, qui prétend représenter les noirs de France exige l'interdiction de Tintin au Congo. Mais certains radicaux vont encore plus loin...
Le journal Suisse Le Matin a interviewé Zep, ’l’auteur de Titeuf au sujet de « l’affaire Tintin Au Congo ». Il considère qu’il est absurde de censurer cet album d’Hergé : « C’est du politiquement correct qui devient presque du négationnisme. Tintin a toujours été dans l’air du temps et en 1930, quand « Tintin au Congo » a été publié, la majorité de l’Occident voyait l’Afrique comme Hergé la représente ». Plus loin, dans l’interview, l’auteur de Titeuf souligne que certains bibliothécaires s’nterdisent de prendre ses albums en raison de certains sujets qu’il traite. Décidément, les auteurs de BD restent sous surveillance...
Cette histoire finira par me faire broyer du noir ..... oups non, pitié, mot malheureux ... du blanc bien sûr! Et je vais aussi rire blanc (pas jaune). Sinon ils vont se fâcher tout blanc, les Indiens de Tintin en Amérique.
En plus dans Titeuf, ma bonne dame, il paraîtrait que l'on apercevrait même ... enfin comment dire ... la chose
Ca me fait penser à une histoire qui est arrivée ici:
Un politicien à eu un proces sur le dos par l'association des pharmaciens parcequ'il avait traité un autre politicien d'un parti adverse de "menteur comme un arracheur de dents"
Les dentistes n'ont pas apprécié !!!
Si je voulais être aussi con que toi, je demanderai aux homosexuels de présenter des excuses publiquement, pour l'exemple qu'ils donnent aux enfants...La pérénité de l'expèce ne se fera pas avec des relations homosexuelles.
[:kusanagui:6]Si tout le monde devient homosexuel, imagine les efforts que les états devront faire pour que les gens s'intéressent aux relations éthérosexuelles...
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