Thierry_2 a écrit:Mais Delisle ne fait pas un reportage, il livre une chronique de sa vie quotidienne en tant que conjoint de coopérant. Que sa petite vie quotidienne soit parfois confronté à une situation politique aussi explosive que le conflit israélo-palestinien relève de l'incident, et sa vision ne s'élève jamais au delà de l'anecdotique, un peu comme un film de vacances. Il témoigne en se tenant bien à l'écart, sans plus.
Oui, on est d'accord, mais en attendant, il est catalogué comme reportage par quasi tout le monde.
thyuig a écrit:Nan mais Delisle, il pourrait faire le même livre s'il séjournait actuellement en Syrie, c'est ce côté que je trouve horripilant. Enfin, vous faîtes ce que vous voulez de ça mais personnellement, il n'y a que dans Pyong Yang (?) que j'ai vu glisser le poil de l'ombre d'une critique du régime, et comme par hasard, c'est le seul Delisle qui m'a plu.
c'est en gros, un peu celà où je voulais en venir... il avait déjà fait plus ou moins celà dans son truc Birman(bien que je ne m'en souvienne plus trop)
c'est pas une critique en tant que tel, car il faut assumer se mettre un régime à dos, et celà peut-être difficile à gérer, surtout si on est pas directement concerné.
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bon ceci dit, le sujet est en train de dérailler (et c'est en partie de ma faute)....
Je me suis fai "avoir" ce w-e... J'ai pris le T2 de Chateau Bordeaux, et les deux Douceurs De L'enfer de Grenson.... et j'ai pris par mégarde le Africa Dreams en pensant que c'était le prochain India dream... (voir le sujet les yeux fermés )
Je lis celà cette semaine encore.